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Publié le par Florian Rouanet
Nimio de Anquín fut un philosophe scolastique, chef de file d’une révolution morale, et militant de l’Union Nationale Fasciste
⁂ 𝔄rène du quadrilatère des idées
ℭher lecteur,
Il est des figures qui, telles des statues de marbre ombrées par les voûtes d’un cloître, se tiennent immobiles dans l’Histoire tout en projetant de longs reflets sur le siècle.Nimio de Anquín, professeur cordouan, philosophe formé à la rude école de saint Thomas d’Aquin, fut l’un de ces êtres rares où se combinent l’érudition scolastique, l’ardeur militante et une clairvoyance politique taillée à vif. Loin d’un simple académicien, il fut chef, polémiste, théoricien, et osa le coup de dés : concilier l’ordre ancien et la fulgurance d’un mouvement que l’on disait nouveau, le fascisme catholique.
Dans la fournaise des années 1930, alors que l’Argentine s’ouvre aux tempêtes politiques venues d’Europe, De Anquín forge trois clefs de voûte : un réalisme métaphysique puisé dans la Summa, une révolution morale opposée à la dégénérescence libérale, et une adhésion militante au camp national-fasciste. En particulier, il s’en explique, plume acérée, dans ses chroniques de Crisol (1936) et plus tard dans Nueva Política (1941), où le verbe se fait aussi marteau, sinon faisceau de licteur.
Il n’y eut pas d’équivalent de Nuremberg en dehors de l’Europe, mais nous allons nous plongeons dans un portrait qui diffère hautement des argentins apostats de l’an 2000, acceptant la pratique légalisée de l’avortement, et avec enthousiasme… !
Par sa figure de néo-thomiste au poing fasciste, Nimio était pour une Argentine catholique, et révolutionnaire-conservatrice.⚜️ Entre Aristote et Mussolini, l’Argentin qui voulait régner pour le Christ ⚜️
📄 Annonce
Ce portrait n’est point un exercice de dévotion, il s’agit d’un relevé doctrinal et historique, pièces à l’appui, qui vise à faire comprendre comment un intellectuel catholique argentin a pu se retrouver à la tête d’un parti fasciste tout en professant Aristote et Thomas.🎙️ Antenna I.O. Vox Frequencia

☧ 𝔏exique de cogneur
THOMISME : « Doctrine philosophique et théologique de saint Thomas d’Aquin, qui cherche à concilier la foi chrétienne avec la raison, s’appuyant sur la philosophie d’Aristote. »
https://www.cnrtl.fr/definition/thomismeRÉVOLUTION CONSERVATRICE : Mouvement politique visant à rétablir un ordre traditionnel en recourant à des méthodes de rupture et d’action directe.
https://www.cnrtl.fr/definition/r%C3%A9volutionFASCISME : « Doctrine et système politique autoritaire et nationaliste, fondé sur un pouvoir dictatorial et le « culte du chef », apparu en Italie avec Mussolini. »
https://www.cnrtl.fr/definition/fascisme
☩ 𝔄ncienne école éprouvée
Voici quelques passages érudits en castillan d’origine, avec traduction française fidèle et références précises :
Crisol (1936) et ses trois articles programmatiques :
« Este fascismo es el que se está gestando en España con sangre de mártires y al que nosotros pertenecemos al propiciar el reinado de Jesucristo. »
Traduction : « C’est ce fascisme qui se forme en Espagne avec le sang des martyrs, et auquel nous appartenons en promouvant le règne de Jésus-Christ. »
— Nimio de Anquín, Crisol, 12-IX-1936 (reproduit par Vera de Flachs & Sillau Pérez, 2009 ; voir aussi versions ultérieures).« La revolución social y política será moral, o no será. »
« Nosotros no vamos a defender un sistema que está irremediablemente podrido, ni aceptamos alianzas con ningún partido… »
Traduction française : « La révolution sociale et politique sera morale, ou elle ne sera pas. »
« Nous ne défendrons pas un système irrémédiablement pourri, et nous n’acceptons d’alliance avec aucun parti… »
— Nimio de Anquín, « Una revolución moral », Crisol (Buenos Aires), 12 septembre 1936, p. 3 pour la première partie (passage cité et reproduit par M. C. Vera de Flachs & A. Sillau Pérez, Revista de Historia de la Educación Latinoamericana, vol. 23, nº 36, 2021).
https://dialnet.unirioja.es/descarga/articulo/8045253.pdf (Dialnet)« Las minorías fuertes » (10 novembre 1936)
« En rigor, la obra de la democracia no ha consistido tanto en gobernar democráticamente (porque ello es cosa imposible), cuanto en instituir y fomentar el caos en la conciencia popular. Ese régimen político ha cumplido una obra de desintegración espiritual, de atomización humana, de donde ha nacido la economía feroz que ahora hace crisis. »
« De las minorías fuertes es el destino del mundo. Su puño viril ha escrito, está escribiendo y siempre escribirá la Historia. »
Traduction française : « À vrai dire, l’œuvre de la démocratie n’a pas tant consisté à gouverner démocratiquement (car cela est chose impossible) qu’à instituer et à fomenter le chaos dans la conscience populaire. Ce régime politique a accompli une œuvre de désintégration spirituelle, d’atomisation humaine, d’où est née l’économie féroce qui aujourd’hui entre en crise. »
« Le destin du monde appartient aux minorités fortes. Leur poing viril a écrit, écrit et écrira toujours l’Histoire. »
— Nimio de Anquín, « Las minorías fuertes », Crisol (Buenos Aires), 10 novembre 1936, p. 5 (passage cité et reproduit par M. C. Vera de Flachs & A. Sillau Pérez, Revista de Historia de la Educación Latinoamericana, vol. 23, nº 36, 2021, p. 235).
https://dialnet.unirioja.es/descarga/articulo/8045253.pdf« El nacionalismo como hecho espiritual » (21 novembre 1936)
« Podemos, con justicia, hablar de un nacionalismo cristianamente vivificado y nos arrogamos la posesión de sus principios y la custodia de su bandera. »
Traduction française : « Nous pouvons, à bon droit, parler d’un nationalisme chrétiennement vivifié, et nous nous arrogeons la possession de ses principes et la garde de son étendard. »
— Nimio de Anquín, « El nacionalismo como hecho espiritual », Crisol (Buenos Aires), 21 novembre 1936, p. 5 (passage cité et reproduit par R. A. Alarcón, Consensus, vol. 22, nº 2, 2017, s. p.).
https://www.unife.edu.pe/publicaciones/revistas/consensus/volumen22_2/Volumen_22_2.pdf (unife.edu.pe)Nueva Política (Buenos Aires, 1941) :
« La teoría muestra, pero la doctrina enseña; la una propone donde la otra impone. »
« No es congruente, de ningún modo, el concepto de libertad del liberalismo con el concepto de libertad del cristianismo. »
« El liberalismo procede más del Renacimiento que de la Reforma; su personificación inicial no está en Lutero, sino en Erasmo. »
« Podemos definir el “bien común”, diciendo que es “aquello que realmente conviene a la sociedad de la que es el bien final por excelencia”. »
Traduction : « La théorie montre, mais la doctrine enseigne ; l’une propose là où l’autre impose. »
« Le concept de liberté du libéralisme ne s’accorde en aucune manière avec le concept de liberté du christianisme. »
« Le libéralisme procède davantage de la Renaissance que de la Réforme ; sa personnification initiale ne se trouve pas en Luther, mais en Érasme. »
« Nous pouvons définir le “bien commun” en disant qu’il est “ce qui convient réellement à la société dont il est le bien final par excellence”. »
— Nimio de Anquín, « Liberalismo subrepticio y libertad cristiana », Revista de Estudios Políticos, nº 15-16, Madrid, 1944 [rééd. de Nueva Política, nº 10, Buenos Aires, 1941].
https://www.cepc.gob.es/publicaciones/revistas/revista-de-estudios-politicos/numero-15-16-mayoagosto-1944/liberalismo-subrepticio-y-libertad-cristiana-1 (CEPC)Critique d’Hegel :
— 1) Critique de l’« omnipotence du sujet » chez Hegel (métaphysique), dans Ente y Ser. Perspectivas para una filosofía del Ser naci-ente (Madrid, Gredos, 1962).
« Es la actitud de Hegel, quien, al proclamar la omnipotencia del sujeto, anuló al objeto, cayendo todo, de este modo, en el delirio báquico de aquél. »
Traduction : « Telle est l’attitude de Hegel : en proclamant l’omnipotence du sujet, il abolit l’objet, de sorte que tout tombe, ainsi, dans le délire bachique de celui-ci. »— Nimio de Anquín, Ente y Ser. Perspectivas para una filosofía del Ser naci-ente, Madrid, Gredos, 1962. (docs.enriquedussel.com)
— 2) Lecture « christocentrique » de la philosophie de l’histoire de Hegel (philosophie de l’histoire), conférence « Qué es la Historia » (Córdoba, 21 juin 1977), publiée dans Cuyo. Revista de Historia.
« Hegel concibió la Historia Universal centrada en Cristo. […] Para Hegel la Historia Universal es ante y post Cristo. »
Traduction : « Hegel conçut l’Histoire universelle comme centrée sur le Christ. […] Pour Hegel, l’Histoire universelle est d’avant et d’après le Christ. »— Nimio de Anquín, « Qué es la Historia », conférence du 21 juin 1977 (publiée dans Cuyo. Revista de Historia), p. 134-135 (pagination de la revue). https://bdigital.uncu.edu.ar/objetos_digitales/4144/anquincuyo5.pdf
Autres références :
« Por obra del gran Hitler, el liberalismo y la fea democracia han muerto. »
Traduction : « Par l’action du grand Hitler, le libéralisme et la vilaine démocratie sont morts. »
— Nimio de Anquín, « Liberalismo subrepticio y libertad cristiana », Nueva Política, n° 10, 1941 (cité par Codera & Dogliani, La patria hispana, la raza latina). (cris.unibo.it)Autres auteurs :
« La democracia universitaria es tan mala como la democracia política, de la cual no es sino una prolongación dentro de la Universidad. »
Traduction : « La démocratie universitaire est aussi mauvaise que la démocratie politique, dont elle n’est qu’un prolongement à l’intérieur de l’Université. »
— Déclaration de la Corporación Argentina de Estudiantes Universitarios (milieu nationaliste cordobais lié à De Anquín), Los Principios (Córdoba), 17-VI-1938 ; texte reproduit par Vera de Flachs & Sillau Pérez, 2009.
Σ Plan d’attaque par manche
📜 I. Argentin catholique
📜 II. Thomisme intransigeant
📜 III. Révolution morale et “révolutionnaire-conservateur”
📜 IV. Union Nationale Fasciste et option pro-fasciste
Comme avec l'abbé Julio Meinveille : de Thomas à Mussolini, il y a un pont !
On se tromperait, cher lecteur, à croire que les scolastiques ne sortent jamais de leurs bibliothèques. Le docte De Anquín en fut la vivante réfutation : une main sur l’Aristotelis Metaphysica, l’autre sur la bannière de la Unión Nacional Fascista. Sa plume savait peser l’esse et l’ens ; sa voix, quant à elle, galvanisait l’auditoire en martelant que le destin appartient aux minorités fortes. L’homme qui créa un Institut de Métaphysique à Córdoba est le même qui acclama la Cruzada et le fascisme espagnol. Entre le pupitre académique et la tribune militante, il n’y eut point de rupture : ce fut la même recta ratio au service d’une revolución moral.
📜 I. Argentin catholique
Une nation latine rattachant à elle racines sud-américaines, italiennes et allemandes pour une bonne part
Dans l’Argentine du premier XXᵉ siècle, le catholicisme n’était point un simple reliquat colonial de conquistadores ; il structurait encore l’éducation, imprégnait la vie politique et fournissait aux élites une grammaire morale.
De Anquín, né à Córdoba, s’ancra dans ce terreau. Formé dans des institutions confessionnelles, il se lia à des cercles intellectuels où la philosophie scolastique demeurait la clef de voûte.Son catholicisme ne fut pas tiède : il fut confessé dans la liturgie latine, nourri des encycliques de Léon XIII à Pie XI, et vécu comme un impératif militant. La foi, pour lui, n’était point reléguée au sanctuaire : elle devait ordonner la cité entière. Ce socle religieux explique aussi que sa critique du libéralisme ne fût pas seulement politique, mais théologique – l’erreur doctrinale se muant, à ses yeux, en désordre social.
Éléments essentiels :
Naissance : 4 septembre 1896, Córdoba, Argentine
Décès : 18 août 1979, Córdoba, ArgentineFormation et carrière académique
- Études de philosophie et de droit à l’Université nationale de Córdoba.
- Spécialisation en philosophie scolastique et métaphysique aristotélico-thomiste.
- Cofondateur de l’Instituto Santo Tomás de Aquino (Córdoba) et créateur de l’Instituto de Metafísica.
- Professeur titulaire de Logique (1930), puis de Métaphysique et Politique à la Faculté de Philosophie et Lettres.
- Auteur d’ouvrages et articles philosophiques majeurs, dont Ente y ser. Perspectivas para una filosofía del ser naciente (1962) et « Las dos concepciones del ente en Aristóteles » (1942).
Engagement politique
- Nationaliste catholique intransigeant, inspiré par Thomas d’Aquin et les courants intégralistes.
- Chef en 1936 de la Unión Nacional Fascista (UNF) à Córdoba, branche argentine d’inspiration mussolinienne et phalangiste.
- Publie en 1936 dans Crisol une série d’articles programmatiques (Una revolución moral, Las minorías fuertes, El nacionalismo como hecho espiritual) prônant un nationalisme spirituel, antilibéral et antidémocratique.
- S’oppose ouvertement à la démocratie parlementaire, au libéralisme et au communisme ; exprime une sympathie déclarée pour le fascisme européen et le franquisme.
- Dans Nueva Política (1941), salue Hitler comme fossoyeur du libéralisme.
Œuvre et héritage intellectuel
- Philosophe thomiste à la rigueur scolastique, mais ouvert au dialogue avec l’idéalisme allemand (Hegel).
- Défenseur d’un « révolutionnarisme conservateur » : réforme morale et politique enracinée dans l’ordre chrétien, latin, occidental.
- Figure marquante du nationalisme argentin de l’entre-deux-guerres et de la pensée catholique traditionaliste en Amérique latine.
- Rejetté à l’ère moderne pour ses positions pro-fascistes.
📜 II. Thomisme intransigeant
Cofondateur à Córdoba de l’Instituto Santo Tomás de Aquino, De Anquín s’impatronisa dans l’enseignement de la logique, de la métaphysique et de la politique. Sa carrière académique s’adossa à une fidélité renouvelée et revendiquée à Aristote et Thomas d’Aquin.
Après guerre, son ouvrage Ente y ser. Perspectivas para una filosofía del ser naciente (1962) prolonge l’analyse des distinctions entre ens et esse, et témoigne d’un réalisme métaphysique refusant les séductions relativistes. Ses articles sur « les deux conceptions de l’ente chez Aristote » (1942) attestent de son inscription dans la plus pure tradition néo-thomiste argentine et hispanique.
Et De Anquín ne fut point un « thomiste figé » : dialoguant avec Hegel, il chercha une synthèse où l’analogie thomiste du esse et la dialectique idéaliste se répondraient. L’ossature scolastique resta ferme : participation de l’être, ordre naturel, finalité objective. Cette architecture doctrinale allait servir de charpente à ses options politiques – éléments qu’utilise d’ailleurs l’auteur Joseph Merel.
📜 III. Révolution morale et “révolutionnaire-conservateur”
En 1936, dans Crisol, il proclame : « La revolución social será moral o no será. »
Par cette formule, il entend substituer à la révolution matérialiste une refondation des âmes, préalable à tout ordre politique viable. Ce fut le cœur de sa stratégie : détruire l’édifice libéral non par le seul décret, mais par une conversion des hiérarchies intérieures.
Cette ligne l’inscrit dans le camp (au sens large, non étroitement allemand) des révolutionnaires-conservateurs : refus de l’ordre libéral issu du XIXᵉ siècle, volonté de restaurer l’autorité et la hiérarchie, recours à des élites actives pour briser la médiocrité démocratique. D’où son éloge des « minorías fuertes » :
« De las minorías fuertes es el destino del mundo. Su puño viril ha escrito, está escribiendo y siempre escribirá la Historia. » (Crisol, 10 novembre 1936)
Il conçoit le nationalisme comme un « fait spirituel » – non un calcul économique ou un réflexe ethnique –, conditionné par une révolution morale préalable. Dans cette optique, la politique n’est point une mécanique, mais une liturgie sociale.
📜 IV. Union Nationale Fasciste et option pro-fasciste
La convergence de son catholicisme intransigeant et de sa doctrine hiérarchique trouva un débouché politique concret : en 1936, De Anquín prit la tête de la Unión Nacional Fascista (UNF) à Córdoba. Les historiens, tel C. Tcach, identifient l’UNF comme l’un des pôles fascistes argentins, lié aux milieux universitaires et à la colonie italienne.
Ses articles de Crisol posent les bases d’un fascisme catholique : anti-libéral, anti-démocratique, corporatiste et centré sur le règne social de Jésus-Christ. La formule la plus éclatante, publiée le 12 septembre 1936, liait l’héroïsme espagnol à sa cause propre :
« Este fascismo es el que se está gestando en España con sangre de mártires y al que nosotros pertenecemos al propiciar el reinado de Jesucristo. »
En 1941, dans Nueva Política, son alignement sur l’axe fasciste européen se fit explicite :
« Por obra del gran Hitler, el liberalismo y la fea democracia han muerto. »
Ainsi, sa métaphysique réaliste fournissait l’armature, sa stratégie révolutionnaire-conservatrice donnait le mouvement, et son adhésion fasciste situait ce mouvement dans le contexte des luttes du temps.
🛎 𝔖entence par KO
📄 Nota bene
De Anquín n’est pas un fasciste « malgré » son thomisme, il le fut, en raison de celui-ci, voyant dans le réalisme aristotélico-thomiste le seul socle apte à refonder l’ordre naturel, hiérarchique, organique et chrétien.En termes de « fascisme catholique », tandis que l’ère contemporaine nous offre l’abbé Giulio Tam, en Italie, l’histoire argentine a proposé tant l’abbé Meinvielle que De Anquín.
Et ainsi se dessine la figure d’un intellectuel de fer : thomiste par le principe, révolutionnaire-conservateur par la stratégie, fasciste par l’option historique. L’homme fut à rebours des compromis mous, préférant l’intransigeance des « minorías fuertes » au verbiage parlementaire et à l’athéisme rouge.
Entre la scolastique et le salut national, il voulut jeter un beau pont de granit ; et ce pont, comme tant d’ouvrages des années trente, menait aussi au champ de bataille !
📚 Pour approfondir
- Vera de Flachs, María Cristina — El profesor Nimio de Anquín. Análisis de su pensamiento político y de su trayectoria en la Universidad de Córdoba (Argentina) — version HTML et PDF
- Vera de Flachs, María Cristina — El profesor Nimio de Anquín… — PDF, Dialnet
- Vera de Flachs, María Cristina & Sillau Pérez, Antonio — Nacionalistas versus reformistas. Violencia y política en la Universidad de Córdoba (Argentina), 1936-1938 — PDF, CIAN, Univ. Carlos III de Madrid
- Vera de Flachs, María Cristina — Ideología y política. Docentes y estudiantes en el proceso de radicalización de la Universidad de Córdoba — PDF, Dialnet
- Sillau Pérez, Antonio — Nacionalidad y Catolicismo — PDF, RiMe (2011)
- Fuentes, Juan Francisco & Dogliani, Patrizia (dir.) — La patria hispana, la raza latina: Política y cultura entre España, Italia y Argentina — PDF, CRIS-Unibo
- Revista de Estudios Políticos (CEPC) — notice de Liberalismo subrepticio y libertad cristiana — lire en ligne
- UPTC — fiche listant Nueva Política, n° 10, 1941 — lire en ligne
- Alarcón, Rafael Augusto — La Andragogía y su fundamentación filosófica — PDF, Consensus (2017)
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