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Publié le par Florian Rouanet
📜 Une boussole de sapience pour lire les siècles et l'avenir à la clarté du Surnaturel
⁂ 𝔄rène du scriptorium
ℭher lecteur, tenez bon la barre et affutez votre esprit : voici l’arène où l’on guerroie à coups de plume.
Front liminaire contre le matérialisme qui, de nos jours, prétend rabattre l’Histoire à une platitude d’archives sans Providence. Qu’on se détrompe : comme avec la datation, l’ordre naturel — lequel s’écrit en baston ! —, ensuite surélevé, et l’on y voit, maintes fois, Jésus-Christ disposer les temps, les peuples et les sceptres. Qui nie cela s’enferre dans le monument de vacuité que Dom Prosper Guéranger fracassa jadis d’une prose de meilleur aloi.
En effet, le sens de l’Histoire existe bel et bien, mais non point comme une confiscation idéologique aux mains des marxistes* et autres fossoyeurs de l’intelligence. Ceux-ci, croyant détenir la clé du devenir des peuples, n’ont fait qu’ériger un trône de carton sur l’autel de la sophistique.
En vérité, de même est la notion de justice sociale — sous branche de la vertu de justice, comme le distibutisme —, celle que la gauche folle revendique comme son joujou hautement matérialiste, plonge en réalité ses racines dans la philosophie classique et la théologie catholique.Nous n’entrerons point, ici, en centre aéré pour arriérés : l’heure est à l’« envolée spartiate » littéraire et scruptural. À rebours des fadaises, notre devise demeure simple : rendre au Surnaturel sa primauté, et rappeler, sans trembler, la vocation divine des sociétés, chrétiennes en particulier. L’ordre baptise la durée ; la Grâce, derechef, en est le souffle.
-> * Chez les marxistes, le « sens de l’histoire » se réduit à un processus nécessaire et déterministe, entièrement explicable par les lois économiques et la lutte des classes : l’évolution des modes de production engendre mécaniquement des conflits sociaux qui, par une dialectique inéluctable, mèneraient à l’abolition de la propriété privée et à l’avènement du communisme. Ce schéma, matérialiste et athée, exclut toute finalité transcendante, nie la liberté humaine au profit d’un enchaînement prétendument scientifique de causes et d’effets, et assimile l’histoire à une marche irréversible vers un idéal terrestre d’égalité, présenté comme la fin ultime de l’humanité.
📄 Nota bene — Avec Dom Guéranger, nous parlons au « nous », comme il sied, à l’instar du roi, dans des colonnes qui se veulent chantre des ruelles et pugiliste lettré !
⛪ Du scriptorium au forum : clef de lecture totale renvoyant toute chronique au Verbe incarné

🎙️ Antenna I.O. Vox Frequencia — Capsules audios : https://integralisme-organique.com/%f0%9f%8e%99-antenna-i-o-vox-frequencia/
☧ 𝔏exique de cogneur
🪢 Cordage terminologique : ces clefs nous évitent l’écueil d’un crochet syntaxique mal compris ; le logos ne se négocie pas !
HISTOIRE — « Récit, science qui a pour objet le passé de l’humanité ».
https://www.cnrtl.fr/lexicographie/histoire
RÉVÉLATION — « Communication de vérités divines à l’homme ».https://www.cnrtl.fr/lexicographie/révélation
PROVIDENCE — « Sagesse divine qui gouverne le monde ».https://www.cnrtl.fr/lexicographie/providence
SURNATUREL — « Ce qui dépasse l’ordre de la nature ».https://www.cnrtl.fr/lexicographie/surnaturel
NATURALISME — « Système ramenant tout à la nature, excluant le surnaturel ».https://www.cnrtl.fr/lexicographie/naturalisme
ᛟ 𝔄ncienne école éprouvée
📄 Nous écrivons à partir d’auteurs d’autorité, fidèles aux vieilles écoles éprouvées ; que ceux qui maugréent contre le « point de vue chrétien » souffrent que nous exposions la chose selon les règles de la droite raison, éclairée par la Révélation.
Dom Prosper Guéranger à propos du « sens chrétien de l’histoire » :
« Mais si l’homme ne peut être connu en entier sans le secours de la lumière révélée, s’imagine-t-on que la société humaine, dans ses phases diverses que l’on appelle l’histoire, pourra devenir explicable, si l’on n’appelle pas au secours ce même flambeau divin qui nous éclaire sur notre nature et nos destinées individuelles ? L’humanité aurait-elle par hasard une autre fin que l’homme ? L’humanité serait-elle donc autre chose que l’homme multiplié ? Non.
En appelant l’homme à l’union divine, le Créateur y convie en même temps l’humanité.
[…] L’histoire doit donc être chrétienne, si elle veut être vraie ; car le christianisme est la vérité complète ; et tout système historique qui fait abstraction de l’ordre surnaturel dans l’exposé et l’appréciation des faits, est un système faux qui n’explique rien, et qui laisse les annales de l’humanité dans un chaos et dans une contradiction permanente avec toutes les idées que la raison se forme sur les destinées de notre race ici-bas.
[…] On ne l’a pas assez remarqué, la religion chrétienne a créé la véritable science historique, en lui donnant la Bible pour base, et personne ne peut nier qu’aujourd’hui, en dépit des siècles écoulés, en dépit des lacunes, nous ne soyons plus avancés, somme toute, dans la connaissance des peuples de l’antiquité, que ne le furent les historiens que cette antiquité elle-même nous a légués. »— Dom Prosper Guéranger, « Du Naturalisme dans l’Histoire — 2ᵉ article », L’Univers, 21 février 1858 ; repris dans Le Sens chrétien de l’Histoire. (La Porte Latine, Liberius)
« J’ai dit, et je le répète ici, que la fin de l’humanité étant une fin surnaturelle, on ne saurait avoir la clef de l’histoire, si l’on ne recourt au point de vue surnaturel. Saint Augustin dans la Cité de Dieu, et Bossuet dans le Discours sur l’Histoire universelle, l’avaient dit avant moi, et mieux que moi ; mais il est permis de le redire, surtout à une époque où tant de gens semblent l’avoir oublié, et apportent dans l’étude de l’histoire une préoccupation toute naturaliste. […]
Dans l’œuvre de ce monde, d’après la foi que nous professons, tout est subordonné à Jésus-Christ et à son Église ; tout doit donc être considéré au point de vue de Jésus-Christ et de l’Église. La Providence divine gouverne les événements et les fait servir à ses fins ; mais les fins de la Providence qui auraient pu être simplement naturelles, si ce monde n’eût pas été appelé à de plus hautes destinées, sont des fins surnaturelles : tel est le catéchisme chrétien, contre lequel se révolte l’orgueil du naturalisme […]. »
« Que certains théoriciens, aux yeux desquels la religion n’est qu’une fantaisie de l’individu […], refusent aux gouvernements le droit de prêter leur concours au maintien et à l’avancement du christianisme, on le conçoit ; mais que ceux qui croient à la mission du Fils de Dieu […], soutiennent en même temps que le pouvoir séculier chrétien n’a pas l’obligation de se mettre au service du Christ pour appuyer ses droits et professer sa foi par les moyens dont il dispose, c’est, je le répète, refuser de reconnaître la vocation surnaturelle dans les peuples, et la réduire seulement aux individus, contrairement à l’honneur de Dieu et à l’enseignement de l’Église dans tous les siècles.
[…] Il serait temps, en vérité, pour plusieurs d’entre nous, d’ouvrir les yeux et de se demander enfin si, avant notre Assemblée constituante de 1789, il n’existait pas par hasard chez nous un droit public chrétien, qui fut renversé alors, j’en conviens, mais dont les principes ne sauraient être contestés et abandonnés par les catholiques, sans un péril véritable pour la doctrine. […]
[…] lorsqu’il s’agit d’anéantir le pouvoir chrétien, il est impossible à l’Église de ne pas protester, parce que le pouvoir chrétien est une chose voulue de Dieu, à raison de la destination surnaturelle de la société humaine. »— Dom Prosper Guéranger, « Du point de vue chrétien dans l’Histoire », Le Monde (Paris), 3 avril 1860. (domgueranger.net, BnF Catalogue, OpenEdition Books)
📜 Sentences d’autorité : pour le texte intégral et les éditions, voir : Le Sens chrétien de l’Histoire (éd. numérique : liberius.net, La Porte Latine)
Σ Plan d’attaque par manche
- ✝️ I — Primauté du Surnaturel dans l’histoire
- 🎯 II — Finalité commune de l’homme et de l’humanité
- 🔑 III — Christianisme, clef universelle de lecture
- 📖 IV — Bible : fondation de la science historique
- ⛪ V — Subordination de l’histoire au Christ et à l’Église
- 🛑 VI — Contre le naturalisme historique et politique
- ⚖️ VII — Pouvoir chrétien : légitimité et devoir
- 🕊️ VIII — Protestation ecclésiale contre la destruction de l’ordre chrétien
Les naturalistes, fieffés incultes se déguisant en méthode, s’enorgueillissent de neutralité, en réalité ils sont partisans, partiaux, et ils ne sont même que fatras intellectuel. Effectivement, le monde médiéval comme l’ère contemporaine ne se lisent pas sans la clef du Ciel. À défaut, tout se brouille, et l’on va à l’encontre du réel.
Alors, avec Dom Prosper Guéranger et tant d’autres, nous confessons que le sens de l’Histoire ne s’éclaire qu’à la lumière de la foi, laquelle vivifie et oriente la raison : non une gnose de salon d’alchimiste, mais la sagesse chrétienne qui dévoile la Providence agissant au cœur des siècles — et ce jusqu’à la Parousie, dépeinte notamment dans l’Apocalypse de saint Jean.
✝️ I. Primauté du Surnaturel dans l’histoire
À rebours des manies d’archivistes dévitalisés, Guéranger rappelle que la lumière révélée n’est point un supplément décoratif ou secondaire, mais la condition de possibilité d’une histoire intelligible. L’homme ne se laisse pas réduire à l’addition de ses instincts, pas davantage la cité à la somme de ses intérêts. Per se, la nature désigne, la grâce dispose ; et, mutatis mutandis, l’historien, s’il veut comprendre, doit consentir à la hiérarchie des causes, où la Providence tient rang royal.
Supposez l’oubli du Surnaturel : aussitôt, les faits s’érigent en idoles et s’entre-détruisent. La guerre n’explique plus la paix, la sainteté ne dément pas le crime, tout devient cavité logique. Nous maintenons donc que la Révélation est un flambeau — non pour violenter le réel, mais afin de lui rendre ses reliefs. Quand bien même l’on déploierait une érudition dantesque, la chronique resterait vide de sens sans l’axe de la grâce, et l’on se répandrait en imprécations contre le sens du réel, faute d’en saisir l’ordre et la finalité.
🎯 II. Finalité commune de l’homme et de l’humanité
L’homme, appelé à l’union divine, n’est pas arraché à la Cité : l’humanité est l’homme multiplié dans ses virtualités. Donc la fin dernière — visio Dei — rejaillit sur le corps social, même lorsqu’il est nié par certains. Telos unique, convergence des peuples vers Dieu : voilà la charpente téléologique qui empêche l’histoire de sombrer en poussière d’événements sans couche ni logique. Sans cette fin, la politique tourne à la mécanique ; avec elle, le temporel devient chemin vers l’Éternel.
Cette orientation confère un critère : sont historiques (au sens fort) les faits qui, au lieu de flatter la fatuité des puissants, servent — fût-ce à rebours — l’avènement des desseins divins. La liturgie même le susurre : le temps sanctifié, par les fêtes et les jeûnes, éduque les peuples fidèles à lire les siècles comme une montée. C’est là, d’un meilleur aloi, l’anti-fatalisme chrétien : libertés humaines et gouvernail providentiel se nouent dans un drame semi-tragique où les causes secondes ne suppriment point la Cause première.
🔑 III. Christianisme, clef universelle de lecture
Si le christianisme est vérité complète, toute « herméneutique » qui prétend s’en passer se heurte à un écran de contradictions. Les philosophies de l’histoire — tantôt progressistes, tantôt cycliques — se désagrègent, faute d’un principe unifiant et d’une nature supérieure. L’Incarnation, elle, centre : elle donne mesure aux grandeurs païennes, pèse les empires — leurs morales —, qualifie les axes par leur rapport au Verbe.
Les annales d’Assur ou de Rome reçoivent, dans la lumière christique, une lisibilité supérieure. Typologie et accomplissement, promesse et donation : les âges cessent d’être méandre indéchiffrable. ET nous préférons la franchise : ou bien l’on lit à partir du Christ, ou bien l’on s’enfonce dans le néant et l’obscurité.
📖 IV. Bible : fondation de la science historique
Les historiens paganisant décrivent ; l’Écriture interprète en dévoilant la Cause finale
Guéranger assène un soufflet aux lieux communs des gens sécularisés : la Bible a fondé la véritable science historique. Non parce qu’elle livrerait un répertoire de curiosités, ou de science pure, mais parce qu’elle ordonne, elle livre la Parole de Dieu aux hommes : Création, chute, promesse, Alliance, accomplissement — cinq piliers qui confèrent aux faits sens et échelle.
De là, quatre sens (littéral, allégorique, moral, anagogique) faisant pièce aux lectures platement positivistes. La généalogie y devient métaphysique du temps, la loi pédagogue, la prophétie cadre de reconnaissance. Sans ce socle, l’érudition se perd en trous et alvéoles ; avec lui, les lacunes mêmes parlent.
L’antiquité classique n’est pas méprisée, on lui donne sa boussole ultime, on l’a surélève !
Nous ne jetons pas aux orties Hérodote ou Tacite ; nous disons seulement :
ils trouvent place, ils reçoivent rang, quand la Révélation leur donne horizon
⛪ V. Subordination de l’histoire au Christ et à l’Église
« Tout est subordonné à Jésus-Christ et à son Église ».
Voilà une ontologie du temps. Le Divin Crucifié, Fils de Dieu, règne dans l’histoire — par sa grâce qui irrigue le Corps mystique notamment. Ainsi, la Providence ne bafoue pas les libertés, mais les ré-accordent comme un maître de chapelle, afin que la symphonie serve les fins surnaturelles.
L’Église, sacrement d’unité, porte la mémoire et l’interprétation des âges. Les conciles, les moines, les missionnaires : autant de catalyseurs qui ont donné au temps un rythme et aux peuples une direction, et non un visage. Qui refuserait cette subordination, livrerait l’histoire à la quotidienneté sans horizon spirituelle — ou avec une fausse spiritualité —, où l’événement devient idole, puis vide abyssal.
🛑 VI. Contre le naturalisme historique et politique
Le naturalisme — imposture subversive sous vernis scientifique — prétend réduire la religion à une fantaisie individuelle ou collective. Pareille nullité tourne l’histoire à zéro : elle décape la grâce jusqu’à laisser un squelette de causes efficientes, sans finalité. À échelle politique, une même manie dégraisse la cité de sa vocation surnaturelle, prétendument pour la « libérer » : cela abandonne les hommes aux appétits.
Que rétorquer ? D’abord, que la neutralité est une fable mensongère : chacun sert une fin, avouée ou non. Ensuite, que les peuples ont, comme les personnes, une destination plus haute que le confort.
Quand l’État se dit indifférent au Christ, il n’est pas neutre : il milite pour autre chose, un autre culte — ici celui de l’Homme autosuffisant. Nous nous gendarmerons contre cette dégénérée prétention, qui exporte l’opprobre sous couleur de dit progrès.
⚖️ VII. Pouvoir chrétien : légitimité et devoir
Guéranger ne caresse pas : les gouvernements — chrétiens ou non en soi — ont l’obligation d’appuyer l’Église et de professer la foi. Il ne s’agit ni d’une « théocratie de caporal », ni d’un « cléricalisme disgracieux », mais de la justice rendue à Dieu — premier créancier de la société — et du souverain bien, tutoyé à sa véritable altitude. Abaisser l’État au rôle d’huissier du marché, c’est voler la cité sur ses fins.
Ses tâches concrètes ? Sanctification du temps (repos dominical), protection de la famille, liberté et aide de l’Église dans sa mission, éducation ordonnée à la vérité, droit respectueux de la loi naturelle, culte public qui n’a point honte de nommer le Fils de Dieu. Qu’on accuse cela de « rêverie médiévale » : c’est droit public chrétien — renversé en 1789, certes, mais dont les principes demeurent, étant simplement « méprisés par certains hommes ».
Renoncer à ces principes, c’est déshérence et pis encore : capitulation.
🕊️ VIII. Protestation ecclésiale contre la destruction de l’ordre chrétien
Lorsque des pouvoirs s’emploient à anéantir le pouvoir chrétien, l’Église proteste par devoir, charité, mission. Car Dieu veut que la société, ordonnée au bien commun temporel, serve aussi la fin ultime, surnaturelle. Taire cette vérité serait se commettre à la désuétude de la foi, laisser la glèbe aux philistins et célébrer, en pompe triste, la victoire de la vacuité, qu’elle soit maçonnique, marxiste et/ou libérale…
La protestation est ici plutôt obéissance à l’Ordre d’ailleurs. Elle garde les pauvres de l’âme, rappelle aux puissants que leur autorité est ministère.
Et nous, derechef, conjurons : retour au Christ-Roi, sans quoi les siècles se déferont en no man’s land mental, où la chiennasse des idéologies croira régner, avant d’être balayée par l’Ineffable.
Ci-gît toute politique qui refuse sa fin !
☩ 𝔖entence par KO
Guéranger écrivait au XIXᵉ siècle, mais son trait demeure intemporel, actuel. Nos querelles d’écoles ne s’apaisent qu’en présence du Seigneur. Et de l’école dite contre-révolutionnaire, prenons-le en référence avec le cardinal Pie, ainsi que la triplé de Monseigneur anti-libéraux au même siècle, par exemple.
Ainsi s’achève notre corps-à-corps polémique : l’histoire véritable n’est point une assemblée de bouses et de faits, mais l’itinéraire de la Grâce dans le temps. Qu’on cesse de se commettre avec les philistins du naturalisme ; qu’on redresse la mire vers le Ciel.
Alors, la chronique des hommes cessera d’être sans cap, et deviendra, sous l’Auguste Main de la Providence, un chant probe. Appelez non l’ambulance, mais la raison éclairée, ainsi que l’Église — Elle seule exporte la lumière qui corrobore et guérit.
Quelques oracles d’Avenir !
(La Sainte Bible, Abbé Crampon, Apocalypse de saint Jean, éd. Desclée, 1923)« Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a confiée pour découvrir à ses serviteurs les événements qui doivent arriver bientôt ; » « Le voici qui vient sur les nuées. Tout œil le verra, et ceux même qui l’ont percé ; »
— Ap 1.https://fr.wikisource.org/wiki/Bible_Crampon_1923/Apocalypsehttps://www.bibliatodo.com/fr/bible/bible-catholique-crampon-1923/apocalypse-1-7« Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. »
— Ap 3, 11.https://www.levangile.com/bible-CRA-66-3-11-complet-contexte-non« Et je vis, quand il eut ouvert le sixième sceau, qu’il se fit un grand tremblement de terre, »
— Ap 6, 12.https://www.bible.com/fr/bible/504/rev.6.bcc1923« Voici que je viens comme un voleur. »
— Ap 16, 15.https://www.bible.audio/bible-CRA-66-16-15-complet-contexte-non.htm« Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, »
— Ap 21, 4.https://www.bibliacatolica.com.br/fr/la-sainte-bible-augustin-crampon-1923/apocalypse/21/« Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. » « Oui, je viens bientôt. Amen ! Venez, Seigneur Jésus ! »
— Ap 22.https://gratis.bible/fr/cramp23/rev/22https://bible.catholique.org/apocalypse-de-saint-jean/3505-chapitre-22
📚 Pour approfondir
- Dom Prosper Guéranger, Le Sens chrétien de l’Histoire (éd. numérique, Liberius). (liberius.net)
- Dom Prosper Guéranger, Le Sens chrétien de l’Histoire. (La Porte Latine)
- Dom Prosper Guéranger, « Du Naturalisme dans l’Histoire » (cycle d’articles, 1858-1859), dépôts et rééditions. (domgueranger.net)
- Dom Prosper Guéranger, « Du point de vue chrétien dans l’Histoire », Le Monde (3 avril 1860). (domgueranger.net)
- Saint Augustin, La Cité de Dieu.
- Mgr Bossuet, Discours sur l’Histoire universelle.
- Études critiques : C. Blanchard, « Bibliographie de Dom Guéranger ». (brepolsonline.net)
- Synthèses récentes : notices et présentations de l’œuvre « Sens chrétien de l’Histoire ». (liberius.net, Voice of the Family)
— La Rédaction
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