• Extraits de texte sur la race selon René Binet : essence, conscience, supériorité et courage — Augustin



    Ladite pureté raciale comme fondement de la culture occidentale blanche ?

  • Intégralisme-Organique et l’auteur de l’article se dégagent de toutes responsabilités car n’adhérant pas aux propos de René Binet. Le but ici est de faire connaître les travaux de René Binet pour mieux lutter contre ceux-ci.

    « Nous vivons sans doute un moment où les porteurs de l’idéal rac***, où les créateurs de la race se sont lassés pour un instant d’être les porteurs d’une culture et d’un type humain supéri***. Ils ont pour un temps été affaiblis et amoindris par le mélange des sangs, par le chaos social, par le contact continu avec une échelle de valeurs créée par des éléments venus d’Asie ou d’Afrique.
    (…) Le drame de notre époque est que les hommes européens ont, par lassitude et par faiblesse, abandonné le sentiment de supériorité pourtant évidente de leur race, de leur sang et de leur culture.
    Créateur de toute culture, bâtisseurs de toute civilisation, ils ont accepté pour leur égaux ceux qui, loin de créer, avaient, au contraire, traditionnellement détruit les cultures et les civilisations qu’ils avaient rencontrées sur la route de leur expansion.
    (…) L’intérêt qu’ils (les blancs) portent et qu’ils ont pour mission de porter aux valeurs dont ils sont dépositaires et comptables doit leur faire repousser la supposition même que l’on puisse substituer à la culture traditionnelle de l’homme blanc celle de races qui au cours des siècles ont été inférie****, aussi longtemps que la pureté de leur propre sang sera garante de la permanence et du développement de cette culture.
    C’est pourquoi encore, et comme contrepartie, ils doivent veiller jalousement à la pureté de leur sang, refuser tout mélange et tout mode de vie qui pourraient l’amoindrir, toute échelle de valeurs et tout enseignement qui pourraient conduire à son affaiblissement.
    En acceptant seulement de discuter l’évidence historique de la supériorité de leur race, ils ouvrent la porte à la désintégration de leur personnalité et de leur race. L’ouverture du débat est-elle autre chose, en effet, que la manifestation préalable d’un doute sur la valeur et le rôle historique de leur race et de son devenir ?
    La puissance de la race n’est pas seulement issue de constatations culturelles raisonnées, mais naît d’une certitude évidente et suffisante, congénitale. C’est un sentiment intérieur de supériorité, une foi dans la puissance du sang.
    La prise de conscience totale de la réalité raciale conduit et doit conduire au sentiment de participer consciemment à la forme la plus parfaite du devenir humain et du devenir du monde lui-même. La plus grande insulte qui puisse être infligée à la race toute entière et indirectement à sa propre personnalité par un individu appartenant à la race supérieure est incontestablement le doute ou la fin de non-recevoir opposée à la réalité raciale ou à l’idée de la supériorité de l’homme européen, en tant que créateur et que législateur, en tant que participant à un type unique (…).
    Ce n’est qu’ainsi que se développe le sens de la supériorité absolue de la race dont on hérite la capital racial, en même temps que le sens de la responsabilité à l’égard de cet apport qui doit être transmis accru à la race nouvelle créée en permanence et par chaque homme de la race.
    Nous pourrons donc résumer en une seule formule notre conception : La race détermine l’être, mais l’être consciemment crée la race. L’action est consubstantielle à l’être ; l’obéissance à l’impératif racial s’identifie à la connaissance.
    La loi de l’homme complet est l’effort et le combat. Seul l’homme du parti préparé physiquement et intellectuellement peut vivre totalement, en lui-même, cette lutte. Si l’homme en effet, est perpétuellement divisé entre son désir de se surmonter, de se dépasser lui-même, en faveur d’une nécessité collective impérieuse et son inertie purement animale, seul celui qui est depuis longtemps armé pour cette lutte peut y triompher. Il n’appartient qu’au petit nombre de prendre entière conscience des intérêts généraux de l’espèce et d’entraîner la masse du peuple dans ce sens. Comme héritier et comme ascendant, comme créateur et comme médiateur, comme juge et comme législateur, le parti seul apte à surmonter et à faire surmonter cette hésitation et à conduire le peuple au même but. »
    — extraits de  »Contribution à une éthique raciste » de René Binet.

     



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  • 1 commentaire




    Cette vision essentialiste et aristocratique du socle génétique réverbère sur nombre d'aspects l'hitlérisme pris en sa dimension raciale. Notre pamphlétaire admet le caractère intrinsèque de la race quant à la psychologie individuelle, et au conditionnement culturel qu'elle façonne à divers degrés (on est à des années-lumière de l'existentialisme de Vorgens), mais prétend aussi qu'elle ne peut être, que dans l'optique où elle prend conscience de soi, par la médiation d'une minorité éclairée, formulant ainsi les valeurs de vie sur lesquelles s'assoit l'éducation, en vertu de laquelle doit émerger le type supérieur, soit un homme nouveau. Ce qui rend admirable cette conception, c'est qu'il n'y a guère matérialisme biologique strict, mais idéalisme.


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