• Federico Rivanera Carlés : intégraliste argentin, récemment décédé, et son référentiel hitlérien



    Catholicisme et fascination du IIIe Reich : parcours, doctrine et héritage dans l’extrême-droite latino-américaine

  • Intellectuel prolixe du nationalisme catholique radical, penseur de la « judaïsation » du christianisme 
    et apôtre de la restauration hispano-chrétienne : anatomie d'une figure majeure de la droite extrême traditionaliste latino-américaine

    ⁂ 𝔄rène de l’apologie selon Rome

    ℭher lecteur, nous vous convions à franchir le seuil d’une pensée rare et sulfureuse en ce monde tiède : celle d’un écrivain argentin qui consacra son existence à démontrer que le Führer, loin d’être l’antithèse du catholicisme, en incarnait la plus haute expression. Là où d’autres hésitent, Rivanera Carlés affirme, enfonce les consciences et défonce les portes fermées.

    Là où la Rome moderniste se détourne, il se prosterne. Cette étude sillonne sa doctrine qui fusionne, en un bloc grandiose, la « liturgie romaine » avec les symboles du Reich. Il ne s’agit point d’un épiphénomène marginal, mais d’une construction intellectuelle d’ampleur, dotée de ses propres archives, de ses réseaux, de ses héritiers. Comprendre Rivanera Carlés, c’est saisir comment l’intégrisme catholique rencontre le fascisme non par accident, mais par affinité élective.

    Loin de notre contexte fou d’Eruope de l’Ouest, professeur d’histoire de formation, animateur du Movimiento Nacionalista Social (MNS) durant les années 1970 et 1980, Rivanera Carlés s’est construit une trajectoire aux marges du champ universitaire et politico-religieux argentin. Ses publications majeures — La Judaización del Cristianismo y la Ruina de la Civilización (trilogie, 2004-2008), Los Conversos : Víctimas o Victimarios de España (1994), ainsi qu’une pléthore d’essais circulant dans les réseaux traditionalistes hispaniques — révèlent moins un penseur isolé qu’un doctrinaire doté d’une bibliothèque impressionnante et d’une capacité à mobiliser l’érudition au service d’une thèse unique et quasi-obsessionnelle : le judaïsme, sous diverses formes et déguisements historiques, constitue l’ennemi archétypal de la Chrétienté, et le Führer fut son dernier défenseur conscient.

    🇦🇷 Mort le 1ᵉʳ octobre 2025, Federico Rivanera Carlés incarne, en version australe, le mariage scandinavement fécond entre catholicisme intégraliste et admiration sans détour envers le national-socialisme. 📖

    🎙️ 𝔄ntenna I.O. Vox Frequencia (capsule auditive)

    📽️ Documentation audiovisuelle


    ☧ 𝔏exique martial

    Petit répertoire sémantique à l’adresse des cogneurs et des doctes :

    « CATHOLICISME INTÉGRALISTE, masculin, Doctrine ecclésiale : vision du catholicisme fondée sur l’intégrité doctrinale, le rejet du pluralisme idéologique et la subordination de l’ordre politique à l’ordre religieux. S’oppose radicalement au modernisme post-conciliaire et au libéralisme théologal. Caractérisé par une suspicion envers l’autorité romaine depuis Vatican II, particulièrement chez les groupes sédévacantistes et lefebvristes. » — CNRTL — Catholicisme

    « CONVERSO, masculin, Histoire médiévale et moderne : terme porté sur les juifs convertis formellement au christianisme en Espagne et au Portual (XIIᵉ-XVIᵉ siècles), souvent soupçonnés de demeurer fidèles à la Loi mosaïque en secret. Porteur d’une charge stigmatisante majeure en historiographie révisionniste. » — Larousse : Converso

    « JUDAÏSATION (néologisme doctrinal), féminin, Théologie contraire : selon l’école Rivanera Carlés, processus d’infiltration méthodique du judaïsme dans les structures doctrinales chrétiennes, culminant avec le Concile Vatican II et la déclaration Nostra Aetate (1965). Concept clef de l’interprétation anticonciliaire de certains courants traditionalistes radicaux. » — [Lexique théologal personnalisé]


    ᛟ 𝔄ncienne école

    Sentences d’autorité, miroir des penseurs contre-révolutionnaires et de la droite radicale, qui nous éclairent davantage sur les prémisses doctrinales de Rivanera Carlés :

    « « L’arbre sera jugé à ses fruits… », déclare l’Évangile. Quand on compare la situation de l’Église en 1939 et en l’an 2000, on s’aperçoit que finalement, la victoire des Alliés n’a pas été une chance pour l’Europe chrétienne. Un abbé avec qui je m’entretenais de ce sujet délicat m’avouait : « La Seconde Guerre Mondiale ne fut pas le combat de la démocratie contre la dictature, ni celui du communisme contre l’anticommunisme : ce fut celui de la synagogue contre l’Église… » Hitler aurait-il défendu la chrétienté sans le savoir ? Ou même, en le sachant pertinemment ? Pour les protestants, la réponse est oui, sans aucun doute. En ce qui concerne le catholicisme, je ne partage pas l’opinion de mes confrères. Je le dis sans ambages, Hitler a été infiniment moins nuisible à la Sainte Église que Staline et beaucoup moins que les « démocraties ». Et, au risque de paraître provocateur, je dirais que les douze ans d’hitlérisme ont fait moins de mal au catholicisme en Allemagne que les quinze ans de pontificat de Paul VI ! »

    — Henri de Fersan, L’Église catholique et le nazisme (Page 3)

    « Il est habituel que de nombreux jeunes, appartenant à des nationalités diverses — et même à des races non aryennes — arborent fièrement les symboles hitlériens. Les photographies du Führer vaincu se voient jusque dans le dernier recoin de la terre. […] Sa figure se dresse, lumineuse, incarnant la victoire d’un Idéal héroïque et supérieur, de la Foi sur le matérialisme, de l’Honneur sur la déloyauté, de la Justice sur l’exploitation, du Sang sur l’or. […] Et l’amour envers le Führer ne fut pas imposé par décret, mais fut la réponse spontanée d’un peuple reconnaissant envers son libérateur et père. »
    — Federico Rivanera CarlésL’Allemagne d’Hitler à travers la Presse mondiale, Préface, années 1990, Buenos Aires, Argentine


    « La révolution n’a qu’une seule passion véritable : la haine de la Tradition. »
    Donoso Cortés, Essai sur le catholicisme, le libéralisme et le socialisme (1851, éd. Éclat).

    « L’Église doit revendiquer l’intégrité de sa doctrine, sans compromis avec les erreurs de ce siècle. »
    Louis Veuillot, L’Univers religieux (1841-1845, recueil de chroniques de presse). [Veuillot, prophète de l’ultramontanisme français]


    Σ 𝔓lan d’attaque

    Articulation logique du présent travail, en cinq manches de combat successives.

    • I. 🔍 Biographie et insertion institutionnelle
    • II.L’alliance catholicisme intégraliste et apologie hitlérienne
    • III. 📚 Système théorique : la « judaïsation » du christianisme et l’histoire hispano-américaine
    • IV. 🌐 Comparaison avec Adrien Arcand et la galaxie fasciste nord-atlantique
    • V.Rayonnement, réception et legs dans les réseaux traditionalistes hispaniques
    Ascension et consolidation d'un doctrinaire de l'extrême-droite hispanique

    I. 🔍 Genèse et trajectoire : le penseur aux marges du pouvoir

    Federico Rivanera Carlés vit le jour en 1941 et ne connut la scène publique que tardivement, à rebours des figures charismatiques qui dominent généralement les mouvements politiques. Professeur d’histoire de formation, il s’avisa de publier dès le début des années 1980 une série d’ouvrages consacrés à la réinterprétation de l’histoire allemande et hispano-américaine selon une grille de lecture strictement traditionaliste.

    Son opus inaugural, La Alemania de Hitler a través de la Prensa Mundial (1982, paru aux ateliers de l’Armada avec mise en or et quatre-vingt-dix photographies du Führer), marquait déjà la singularité de son entreprise : non pas critiquer Hitler, mais démontrer que sa réputation avait été systématiquement calomniée par la presse mondiale, véhicule de la « conspiration judéo-maçonnique ». Cette publication, à l’époque du gouvernement Alfonsín en Argentine, mettait en relief la permissivité de l’État démocratique restauré envers les courants radicaux.

    Entre les années 1970 et 1980, Rivanera Carlés préside le Movimiento Nacionalista Social (MNS), association jusqu’à quatre cents adhérents, recrutés parmi les sympathisants anti-juifs, anti-maçons, catholiques traditionnalistes et philo-NS, exerçant une « gravitación » particulière dans la communauté allemande locale. Le MNS s’dota d’organes parallèles : l’Instituto de Investigaciones sobre la Cuestión Judía, foyer de conférences et de publications ; et de septembre 1976 à août 1989, la revue mensuelle El Ataque (évidente transposition de Der Angriff de Goebbels), diffusant des consignes telles que « ¡Bandera en alto! » et « ¡Argentina sobre todo! » — traductions directes de Die Fahne hoch et de Deutschland über Alles.

    Bien plus troublant demeure son implication présumée dans les structures répressives de la dictature argentine. Documents du Plan Condor mentionnent Rivanera Carlés aux côtés du général Fernando Verplaetsen, dernier chef de la police de Buenos Aires sous le régime autoritaire. Cette proximité soulevait la question capitale : l’idéologue intégraliste ne circulait point en simple écrivain, mais s’articula aux appareils d’État répressif — fusion entre pensée contre-révolutionnaire et pratique du pouvoir.

    II. ⛪ L’axe intégraliste et l’apologie du Führer

    Ce qui distingue Rivanera Carlés d’un national-socialisme parfois strictement sécularisé, c’est son ancrage ecclésiastique sans équivoque. Contrairement à certains skinheads, hostilent foncièrement à toute autorité spirituelle rivale ou connue, Rivanera Carlés se réclame explicitement de la filiation catholique romaine, notamment du catholicisme « pré-conciliaire ». Cette alliance entre intégrisme catholique et nationalisme de coloration fasciste constitue sa particularité théorique majeure.

    L’hommage rendu à Hitler transpire de son corpus avec une transparence remarquable. Dans le prologue à La Alemania de Hitler a través de la Prensa Mundial, il énonce son axiome central :

    « Y es usual que muchos jóvenes de distintas nacionalidades —y hasta de razas no arias— ostenten orgullosos los símbolos hitlerianos. Su figura se yergue, luminosa, personificando la victoria de un Ideal heroico y superior, de la Fe sobre el materialismo, del Honor sobre la deslealtad, de la Justicia sobre la explotación, de la Sangre sobre el oro. »

    Cette formule révèle une transposition quasi liturgique — rhétorique de la Rédemption, hiérarchie des valeurs ontologiques — appliquée à une figure politique, en l’occurence, le Führer : incarnation de la victoire du Bien naturel et surnaturel, contre la matérialité sans âme. Cette invocation est paternelle (comme pater patriae, père du peuple).=

    III. 📚 Système doctrinal : judaïsation et révisionnisme hispano-américain

    L’œuvre majeure du penseur argentin reste sa trilogie La Judaización del Cristianismo y la Ruina de la Civilización (2004-2008), fruit de quinze années d’investigation érudite. Ce monument de polémologie anti-Vatican II vise à démontrer par preuves historiques où cet évènement incarne le triomphe définitif de la « judaïsation » du catholicisme — c’est-à-dire l’infiltration méthodique du judaïsme dans la doctrine chrétienne depuis les origines.

    Rivanera Carlés acccuse sans détour Jean XXIII (Roncalli) de philojudaïsme virulent. Plus rude encore, il qualifie Paul VI (Montini) de converso — terme chargé de résonance particulière en Espagne et Amérique latine, désignant le Juif convertis formellement au christianisme mais demeurant fidèle à la Loi mosaïque en secret. Jean-Paul II (Wojtyla) figura gentiment, selon sa construction théorique, au nombre des « con-raciaux » probables de Montini. La déclaration Nostra Aetate (1965), reconnaissant les « liens spirituels » unissant l’Église au judaïsme, marque selon lui l’acte fondateur du « judéocatholicisme » postconciliaire.

    Or, dans cette optique « révisionniste », le Vatican s’était transformée en « premier instrument fondamental » de la domination juive planétaire. L’hérésie judaïsante couvait depuis le protestantisme du XVIᵉ siècle, franchissant la rupture de la Réforme avant de s’enkyster au cœur même d’une Rome sécularisée.

    Parallèlement à cette critique « intra-ecclésiale », Rivanera Carlés publie Los Conversos : Víctimas o Victimarios de España (1994) et une trilogie sur Los Conversos en las Indias, œuvres où l’obsession pour ces figures médiévales de la Péninsule ibérique revêt une signification capitale : elles permettent une réinterprétation radicalement raciale de l’entière histoire hispano-américaine. Dans La Historia Ocultada : Los Conversos y la Independencia de Hispanoamérica, il soutient que l’indépendance des colonies espagnoles ne fut point une véritable émancipation politique — terme qu’il répudie avec dédain — mais plutôt une « rébellion organisée » menée par une oligarchie criptojudía de conversos, animée par la haine contre la mère patrie et désireuse d’accroître sa puissance économique.
    ici, le mouvement d’indépendance latino-américain s’interpelle et d’interprête dès lors comme stratagème d’usurpation du pouvoir par les puissances occultes du judaïsme, préfigurant la domination actuelle du sionisme international sur les structures mondiales.

    IV. 🌐 Parallèle avec Adrien Arcand et le fascisme nord-atlantique

    La comparaison s’impose naturellement entre Rivanera Carlés et Adrien Arcand (1899-1967), le fameux « Führer canadien ».

    Tous deux fondèrent des mouvements nationalistes d’orientation explicitement nationale-socialiste et catholique. Arcand créa successivement le Parti National Social-Chrétien (1934), puis le Parti de l’Unité Nationale du Canada (1938), dont les milices arboraient fièrement la croix gammée et portaient uniforme militaire. Rivanera Carlés, de son côté, présida le Mouvement Nationaliste Social, structure liée quant à sa philosophie générale.

    Cependant, une différence les sépare, à savoir, les époques, tandis que Arcand vivait du temps d’Hitler, c’est en en contexte sudaméricain post-guerre mondiale que Rivanera Carlés a agit. Mais, en termes économiques et journalistes, ce dernier semble avoir été plus stable en termes de maintient organisationnel et de vente. Le Goglu, Le Patriote Canadien, Le Fasciste Canadien — ne dépassaient guère le tirage de quelques centaines d’exemplaires a priori. Là où Rivanera Carlés, en revanche, s’inscrivait dans une tradition intellectuelle de longue haleine, produisant une bibliographie volumineux, accédant à une certaine « légitimité » aux yeux de la sphère traditionaliste hispanophone, circulant dans des réseaux d’édition spécialisés et bénéficiant de relais médiatiques au sein de la droite radicale.

    V. 🌐 Rayonnement dans les réseaux traditionalistes hispaniques

    L’influence doctrinale de Rivanera Carlés s’étendait sur un réseau hispanophone de droite intégraliste, richement alimenté par des fréquentations électives.

    Des figures telles qu’Antonio Caponnetto, directeur de la revue Cabildo (autre foyer d’antijudaïsme notoire argentin), entretenaient des liens étroits avec le penseur. Des entrevues vidéo, notamment celles conduites par Leonardo Castagnino via la plateforme TLV1, témoignent que Rivanera Carlés bénéficiait de tribunes régulières dans les médias de la droite radicale hispanophone, accumulant une visibilité certaine, au-delà de l’Argentine seule, irrigant les cercles nationalistes du continent entier.

    Son décès en octobre 2025 provoqua quelques hommages élogieux au sein de ces mêmes cercles. Un obituaire le qualifia du « Menéndez Pelayo de l’Argentine », épithète flatteuse qui reflétait sa position d’« intellectuel organique » des mouvements hispaniques. Tel un Menéndez Pelayo austral — le grand poète et historien contre-révolutionnaire espagnol — il aurait cristallisé la pensée nationaliste d’un continent. Cela révélait l’estime de sa base idéologale.


    ☩ 𝔗riomphe sans mécompte : coup de grâce

    🛎 Gong final : Federico Rivanera Carlés représente une fusion distinctive et systématique entre catholicisme intégraliste et apologie non-déguisée du national-socialisme, utilisant la doctrine du Troisième Reich à travers les vues d’une théologie catholique ante-conciliaire. Sa théorie de la « judaïsation » du christianisme et de l’histoire hispano-américaine offre un système herméneutique clos et totalisant, où chaque phénomène politico-religieux s’intègre dans un grand récit de conflit existentiel entre la Chrétienté et le judaïsme. Son opus demeure moins d’une portée universelle que régionale, circulant principalement au sein des cercles traditionalistes hispaniques ; néanmoins, la voluminosité de sa production intellectuelle et la capacité à mobiliser l’érudition historique à des fins de révisionnisme systématique lui confèrent une influence durable que ne possédait point Arcand.

    Federico Rivanera Carlés se distingue par une trajectoire singulière alliant engagements intellectuels, réseaux d’influence et une production marquée par une synthèse inédite entre foi catholique traditionaliste et admiration explicite pour le Führer. Son rôle au sein du MNS, son rayonnement à travers de multiples publications — dont la trilogie La Judaización del Cristianismo, qui offre une relecture racialo-théologique de l’histoire latino-américaine — et ses tribunes médiatiques forgent son statut d’« intellectuel organique » au sein des nationalistes.
    Sa proximité présumée avec les appareils répressifs de la dictature argentine indique que sa pensée s’articulait concrètement avec les instruments étatiques nationaux, opérant une redoutable fusion entre théorie contre-révolutionnaire et violence institutionnelle. Cette figure trouve d’ailleurs un écho dans le « Führer canadien » et les mouvements nationaux-socialistes nord-américains, révélant un courant transcontinental. Rivanera Carlés, tel un alchimiste, transmutait la théologie de la Rédemption en un instrument de lutte politico-idéologique, conjuguant résolution doctrinale et participation effective à l’ordre répressif.


    📚 Pour approfondir

    Ouvrages, études, sources

    • Federico Rivanera Carlés, La Judaización del Cristianismo y la Ruina de la Civilización (3 tomes, 2004-2008) — œuvre majeure du penseur, accessible en ligne via Archive.org.

    • Trajtenberg, Pablo (dir.), « El Movimiento Nacionalista Social en Argentina » (1990) — étude académique sur le MNS, sources CONICET.

    • Jean-François Nadeau, Adrien Arcand, Führer canadien (Lux Éditeur, 2011) — biographie de référence du parallèle canadien.

    • Leonardo Senkman, El Antisemitismo en la Argentina (CEAL, 1989) — contextualisation de l’antisémitisme structurel en Amérique australe.

    • Daniel Lvovich, « La Extrema Derecha Argentina Post-peronista : entre la Sacristía y la Revolución » (revue Diálogos, 2009) — approche historienne des mouvements d’extrême-droite argentins.

    C) Ressources externes


    La Rédaction

    🥊 𝔑𝔬𝔰 𝔞𝔯𝔱𝔦𝔠𝔱𝔩𝔢𝔰



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