• Une ultime chance pour enrayer la machine transhumaniste délirante



    Prométhée sera notre bouclier !

  • Ceci pour clore notre série d’articles à  propos de la IVe révolution industrielle déjà établie à partir des travaux de Klaus Shwab, de Jacques Attali, de Laurent Alexandre, de Luc Ferry ou encore du combattant humaniste (et non transhumaniste !), Olivier Rey.

    C’est peut-être très hypothétique et résumé, mais mieux vaut y croire avec détermination avant d’être définitivement emporté par ce courant puissant, quasi irrésistible, dans les quelques décennies à venir. Voici mon petit pavé lancé dans la mare :

     

    Technologie dans une Europe chrétienne :

    L’Europe ferait mieux de prendre de court Amazon (qui investit une trentaine de milliards de dollars par an dans la conquête spatiale) afin d’établir un projet technologique d’ampleur qui lui soit favorable tout en garantissant son indépendance sur son sol et dans le monde.

    La robotisation des tâches manuelles doit être développée pour se débarrasser de la politique d’immigration massive/substitution à court terme (style politique japonaise par exemple). Celle-ci pourrait prendre un peu plus de temps, afin que les gens s’y habituent et ne finissent pas à la rue du jour au lendemain, mais il faut la faire à cause de notre manque démographique…

    Avec un chef Très Chrétien, certaines choses seraient bien évidemment inacceptables moralement : bébés laboratoires, avortements, destruction du génome humain, etc.

    Toutefois, en nous remettant au thomisme, c’est une réflexion d’ordre naturel, nous savons d’emblée que la technologie, en soi, est tout à fait neutre. Soit, ni bonne ni mauvaise, mais il s’agit plutôt d’un instrument du Bon Dieu pour nous rendre la vie plus confortable selon les siècles, et au mieux, agréable (quand la matière est bien domptée, certes).

    Il nous faut parallèlement développer un Droit International qui défend nos principes universels, afin de ne pas être dépassé par d’éventuels concurrents, notamment asiatiques ou ultra-globalistes (qui viseront plus volontiers l’idée d’un être humain augmenté et déshumanisé à terme).

     

    France et Allemagne :

    Non, ces grosses vaches de Merkel et de dame Le Pen ne servent strictement à rien. Oubliez-les, tout de suite.

    La déstabilisation de la société française n’est peut-être pas souhaitable, mais elle est inévitable. Profitons-en, et pour le meilleur ! S’il nous faut prévoir le pire, il faut toujours souhaiter le meilleur. Et il est juste de dire que la crise des Gilets jaunes ne demande qu’à être réveillée, dont acte.

    Cependant, le mouvement doit être général, et l’Allemagne doit se réveiller à tout prix, afin de foutre en l’air l’ère (héhé) du néo-soviétisme UE (la monnaie numérique et le pass sanitaire nous forcent à trouver des moyens dissidents de vivre) et d’envoyer, à la place, un néo-impérialisme germanique tenant tête aux technocrates de l’Asie et des GAFAM (souvent judéo-talmudiques pour les seconds) : qui eux, voudront le faire à leur sauce, soit dans la démesure (l’hubris), la quête d’immortalité, l’abolition de la fécondité, l’homme à la place de Dieu, etc…

    Ce duo contemporain d’excellence fut jadis celui de la Grèce et de Rome, comme de l’Antique ! L’un pour son intellectualité/université, l’autre pour sa force de frappe. Ceux qui ne le comprennent pas n’ont qu’à se rhabiller et périr (conservateurs autistes  de droite, bobos gauchistes et autres guignols).

     

    Avenir :

    Les gens s’inventent toujours des difficultés, or, nous n’en avons jamais connu si peu et il faut arrêter avec ça (sauf cas de chômage et de menace de guerre civile bien sûr). D’où les histoires à deux balles de phobies ici ou là, car le commun des mortels est nul ; les gens s’ennuient et s’inventent des problèmes au lieu de se construire une bonne vie, ainsi qu’une culture générale sérieuse et tangible : c’est qu’ils n’arrivent pas à se faire une place en société tout simplement… C’est pourquoi les complotistes sont des asociaux caractérisés aussi. La politique spectaculaire poussée au bout fera le reste, et dans cette catégorie, l’ère covid au gouvernement fait que les Telenovelas n’ont plus rien à leur envier en la matière. Mais alors plus du tout !

    Par ailleurs, Laurent Alexandre, passé chez Conversano, est certainement un Ennemi en majuscule (transhumanisme athée) ! Néanmoins, il a une personnalité propre avec une caboche et il est conscient des enjeux technologiques (ce qui change du fantôme Joe Biden). Il demeure intéressant et plus respectable que la moyenne (qui ne vaut plus rien de toute façon). Ce judéo-roumain assimilé à la culture républicaine française est un fou impressionnant, et à la limite, je préfère en opposition le projet spatial humble et rationnel de Jacques Cheminade. Toutefois, même avec l’ennemi mortel il faut une charité, et Alexandre est tout sauf abruti. Il faut le combattre par les moyens honnêtes. Il croit juste au contexte actuel et il est trop régimiste, voila un de ces problèmes. Moi qui ai plus tendance à soutenir un Sylvano Trotta contre lui, parce que j’ai vraiment envie d’en finir avec ce régime pourri et sa conception pourrie, je dois reconnaître qu’il finit par être inaudible et à côté de la plaque à cause de son ultra-complotisme débil (ex : enlèvements extra-terrestres glauzyens).

    Soyons conscient des enjeux camarades, pensons et agissons global contre le globalisme actuel pour un monde plus équilibré, plus humain et où la parole européenne subsiste et porte encore et encore. C’est Poutine qui a répondu au gourou Schwab en lui disant okay pour la numérisation, mais pour l’homme et pour la nation alors !


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  • 2 commentaires




    […] article pour un métier d’avenir qui doit concerné nombre de jeunes et de moins jeunes ! Vous en faites peut-être […]


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    Prométhée est un personnage ambivalent : on peut le voir du meilleur œil, pour sûr ! mais il ne faut pas oublier que la F.·.M.·. a cherché à en faire un avatar luciférien par de légères altérations. Je suppose qu'ils ont trouvé le principe de cette interprétation dans les religions à mystères, vraisemblablement originaires d'Orient (c'est-à-dire du Proche-Orient), que pratiquaient les élites grecques dès la période classique au moins et qui, avec Eschyle (Ve siècle avant Jésus-Christ), en arrivaient à occuper l'espace public. Une fois les notables bien corrompus, le reste devait tomber. | Vers la fin du Moyen-Âge des gibelins italiens, révoltés contre le catholicisme, adoptèrent la cabale qui devenait hégémonique chez les juifs. Ils y mêlèrent un peu de tout, y compris des reviviscences des religions à mystères, inventant ce qui serait l'idéologie de la F.·.M.·. et des autres sectes lucifériennes. | C'est ainsi que d' A. L. Constant (qui signait « Éliphas Lévi » ses œuvres) à l'extrême gauche jusqu'à Evola à l'extrême droite, tous les mécontents trouvent à se ranger dans les hordes lucifériennes dont une composante est au pouvoir depuis un ou deux siècles, selon les pays. | Le gnosticisme et le manichéisme, ces égouts collecteurs de toutes les hérésies (Léon le Grand), ont sous ce déguisement pseudo-antique réussi à s'emparer même de la dissidence.


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