Mgr Thuc en 1984 : est-ce rétractation personelle, ou captation moderniste-romaine ?

Publié le 10 juillet 2025 par Florian Rouanet

🔍✒️ Au cœur d’un drame qui secoue encore la Chrétienté 🔍✒️

⁂ Arène Tradistannaise !

Ô lecteur pointilleux, arme ton esprit, car le terrain serait miné de rumeurs, de fadaises et de textes apocryphes. Entre la psalmodie romaine moderniste qui brandit la « rétractation » du 25 mars 1982 et l’avis des proches du prélat jurant qu’aucune concession n’eut lieu, la querelle enfle.

Nous remontons donc l’arène : d’un côté, l’hypothèse d’un vieux consecrateur broyé par la Curie, de l’autre celle d’un mordant évêque demeuré intrépide jusqu’au tombeau.

L’ironie de l’histoire — en termes de radicalité —, fait, qu’un peu plus tard, tandis que Mgr Lefebvre deviendra « Non Una Cum » (source Père Épiney) Jean-Paul II suite aux sacres de 1988, Mgr Thuc semble avoir rallié (sous pression, contrairement à l’abbé Lucien) quant à lui autour de l’année 1984, suite à une profession de foi Sede Vacante en 1982.

ANTENNA I.O.

Analyse croisée des témoignages, documents photographiques, des décrets romains modernistes
& bilan épiscopalo-arithmétique des "sacres Thuc"

☧ Sémantique impliquée

Rétractation : « Action de se dédire, résultat d’un désaveu » (Cnrtl)
Captation : « Manœuvre pour s’emparer d’une faveur, d’un dû… » (Cnrtl)
Réconciliation : « Acte solennel par lequel un hérétique est réuni à l’Église et relevé des censures… » — (Cnrtl)

☩ Ancienne leçon létale ?

— P. Francis Miller, O.F.M., disant rapporter un témoignage sur les derniers jours de Mgr Thuc, 26 février 2014. (Father Cekada) :

« Parmi les derniers mots qu’il [Mgr Thuc] m’a adressé alors qu’il était maltraité à New-York, lors des terribles événements qui ont conduit à la perte de notre foyer commun, il a déclaré : “Ils veulent que je signe une réconciliation et que je renonce à tout ce que j’ai fait. Pourquoi ferais-je cela ? Cela détruirait le travail que Dieu m’a donné à faire de préserver les sacrements pour l’avenir. Je ne peux pas faire ça ! »

— Mgr Adolfo Zamora Hernandez, Carta de Mons :

« Il est vrai que les actuels hiérarques de la nouvelle église ont perdu leur prestige de témoins de la vérité en conséquence de leur éloignement de la Vraie Foi. Je le dis fermement tout en sachant qu’ils ne cessent de mentir publiquement, comme dans le cas de la déclaration de Mgr Thuc proclamée par les clercs progressistes et dans laquelle apparaît sa rétractation, et dans le cas des nouvelles publiées dans un journal d’Acapulco avec une écriture très visible, et dans lesquelles ils mentent également publiquement. […] Plus tard, j’ai su qu’ils avaient réhabilité Mgr Thuc. Le Vatican a dit qu’il s’était formellement rétracté. Ils l’ont soumis à une certaine surveillance secrète et ils ont essayé de l’attirer au Vatican de diverses manières, en tentant de l’isoler afin qu’il ne consacre pas d’autres évêques. […] D’ailleurs, il me semble très étrange qu’il ait été réhabilité par le Vatican à sa demande personnelle. Tant de choses ont été dites contre lui, comme elles ont été dites aussi contre nous… Mgr Thuc est mort le 13 décembre 1984, et – comme vous devez le savoir – les progressistes du Vatican et d’autres Américains ont publié en masse la rétractation de Mgr Thuc. (Je l’ai lu ; et j’ai tout de suite réalisé sa fausseté à cause du style dans lequel elle était rédigée. Ce n’était ni le style de Mgr Thuc, ou de tout autre évêque catholique, mais un style progressiste). Presque immédiatement, le journal Novedades de Acapulco a publié une resucée de la nouvelle et a ajouté que Mgr Thuc avait écrit à Mgr Carmona pour lui demander également de faire sa rétractation, etc. Cette lettre est évidemment fausse. Mgr Carmona a déclaré qu’il n’avait jamais reçu aucune lettre, et que s’il l’avait reçue, il n’en aurait pas tenu compte ; car Mgr Thuc était entre les mains de ses ravisseurs, qui étaient des prêtres progressistes, de janvier à décembre 1984. Mgr Thuc ne s’est jamais incliné devant le Vatican comme Mgr Lefebvre. […] Le cas de la mort de Mgr Thuc après son enlèvement méritait un long commentaire en raison des deux documents apocryphes qui lui ont été attribués par ses ravisseurs. »

Σ Plan par manche

1. 🥊 Chapitre I – La thèse de la non-rétractation
2. 🗝 Chapitre II – La thèse de la rétractation (captation moderniste-romaine)
3. 📏 Chapitre III – Combien d’évêques sacra-t-il réellement ?

🥊 Chapitre I – La thèse de la non-rétractation

1. Contexte : un prélat déjà hors-jeu romain moderniste

Le 21 mars 1982, au jubé de l’église Saint-Michel de Munich, l’archevêque vietnamien proclame que « le Siège de Rome est vacant », entérinant publiquement la Sede vacante qu’il professe depuis les sacres de Toulon (Catholic Endtime Truths).

Dès lors, les pénalités romaines s’abattent de nouveau (décret CDF, 12 mars 1983). Le prélat vietnamien, traqué de visa en visa, trouve asile successivement à Rochester (N.-Y.) puis à Carthage (Missouri), auprès de prêtres vietnamiens, parfois du Novus Ordo. C’est dans ce « huis clos » – soulignent ses partisans – que naîtra la « déclaration de Carthage » (11 juillet 1984) dont l’authenticité est précisément l’objet de litige.

2. Les témoins oculaires à décharge

• P. Francis Miller, O.F.M. — Séminariste puis chapelain de Mgr Thuc (1982-1984), il jure dans un affidavit de 2005 n’avoir jamais vu le prélat signer de renonciation ; il rapporterait au contraire la plainte du mourant. Il souligne sa pleine lucidité intellectuelle – le prélat enseignait encore le latin et venait d’apprendre l’espagnol (Father Cekada).
• Mgr Adolfo Zamora Hernández — Sacré par Thuc à Toulon (17 oct. 1981), tout comme Mgr Guérard des Lauriers, il qualifie la « rétractation » de document progressiste, faux de style et de substance, fabriqué lorsque l’archevêque était « entre les mains de ses ravisseurs » (fundacionsanvicenteferrer.blogspot.com).
• Mgr Moisés Carmona Rivera également — Dans Excélsior (20 févr. & 5 avr. 1985), il dément publiquement avoir reçu la moindre lettre de reniement de la part de son consécrateur et rejette comme « mensonge vaticanesque » toute idée de soumission (ephemeridesacapulcanae.blogspot.com).

Ces trois affidavits issu d’un milieu proche convergent : jamais Mgr Thuc n’aurait volontairement abjuré ses sacres ni reconnu Jean-Paul II.

3. Critique interne des pièces romaines

1. Langage — Le texte diffusé par L’Osservatore Romano emploie une rhétorique conciliaire (« renouveau ecclésial », « communion post-conciliaire ») inconnue de la plume sobre et canonique du prélat.
2. Absence d’original autographe — Aucune archive ne présente l’original signé ; seules circulent des photocopies de faible résolution accompagnées de clichés posés où l’on distingue à peine la feuille.
3. Chronologie défaillante — Les photos, datées du 11 juillet 1984, montrent un archevêque vêtu en clergyman : détail troublant, lui qui portait habituellement la soutane violette même en voyage, d’après les souvenirs des frères franciscains.
4. Isolement forcé — De janvier à décembre 1984, l’évêque est logé, soigné et escorté par un clergé vietnamien favorable au Vatican ; aucune correspondance libre ne sort de Carthage, sinon par leurs soins.

4. Contre-enquête sur les « neuf photographies »

Les partisans de la rétractation exhibent un lot de neuf clichés : arrière-plan neutre, quelques témoins non identifiés, et la signature finale. Or :

• Métadonnées absentes
• Témoins silencieux
• Incohérence rituelle…

Ainsi, selon les défenseurs de la non-rétractation, l’ensemble relève plus de la mise en scène persuasive que de l’acte juridique formel.

5. Frise chronologique (1982-1984)

6. Synthèse critique

Au terme de cet examen, la « thèse de la non-rétractation » s’appuie sur :

• un trépied testimonial (Miller-Zamora-Carmona) concordant ;
• des arguments textuels et codicologiques dévoilant des anomalies majeures ;
• la permanence idéologique : jamais l’archevêque n’est filmé ni enregistré professant l’obédience à Wojtyla/Jean-Paul II.

En contre-point, le camp romain n’offre guère qu’un dossier photographique non expertisé et un avis publié post mortem. La prudence veut donc qu’on ne tienne pas la soumission de 1984 pour un fait certain, mais plutôt pour une hypothèse instrumentalisée, afin de neutraliser un vieil évêque déjà trop compromettant.

Toutefois, ces articles, et notamment le livre des abbés Kelly et Jenkins sont surtout motivés par l’entretien de la dissension au sein de l’ex FSPV, car ils n’ont pas digéré le fait que soient révélés leurs agissements et leur esprit sectaire quelques années auparavant. C’est aussi totalement hypocrite, comme le montre cet article, car en parallèle l’abbé Kelly a été sacré en octobre 1993 par Mgr Mendez dans des circonstances bien pire (quant à l’état idéologique et mental du consécrateur) que ce qu’il reproche à Mgr Thuc :
« Mgr Mendez, SSPV et l’hypocrisie ».

🗝 Chapitre II – La thèse de la rétractation (captation)

Ce dossier d’une vingtaine de pages, paru en portugais, semble solide. Il faudrait que les « thucistes » ravisent leur jugement, par honnêteté, mais non pour abdiquer. D’ailleurs, aucun de ses évêques post-Vatican II ne sont revenus, eux.

1. Préambule — d’un prélat errant à un vieillard « rapatrié »

Au début de 1984, Mgr Pierre-Martin Ngô-Đình Thục, 87 ans, vit pauvrement chez les franciscains de Rochester (N.Y.). Las, des compatriotes vietnamiens inquiets de son excommunication — et poussé, dit-on, par le nonce apostolique aux États-Unis — organisent son transfert vers la Congrégation de la Mère du Rédempteur à Carthage (Missouri). De là jaillira l’initiative d’un retour officiel dans le giron romain, conçu comme un acte de réparation après les sacres illicites de 1981 et la déclaration dite sédévacantiste de Munich (1982).

2. L’« Opération Sauvetage » (janvier-juillet 1984)

La police locale, saisie d’un bref incident de route, constata que l’évêque « avait pleine liberté de choisir sa résidence » — détail souvent omis par la controverse, mais consigné dans le rapport inséré dans la brochure brésilienne The Rescue of Ngô Đình Thục (Scribd).

3. La Déclaration du 11 juillet 1984 : analyse diplomatique

Texte (extraits) :

1. « Je rétracte toutes mes erreurs relatives aux consécrations de 1981… »
2. « Je reconnais le Pape Jean-Paul II comme successeur légitime de Saint Pierre… »
3. « Je demande pardon pour le scandale causé… »
4. « J’exhorte les évêques que j’ai consacrés à se réconcilier eux aussi… »

Le document porte la signature P. M. Ngô-Đình Thục et fut expédié séance tenante à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui, par note interne, releva l’intéressé « des censures encourues » — tout en maintenant les sanctions visant les évêques « thuciens » (Scribd).

4. Preuves de réception romaine moderniste

1. Publication officielle — L’Osservatore Romano (édition italienne du 17 décembre 1984, édition anglaise du 24 décembre, p. 59) reproduit in extenso la rétractation et précise que Jean-Paul II en a « accepté le contenu ». ­(Scribd)
2. Necrologium de l’Acta Apostolicae Sedis — au 13 décembre 1984, la feuille d’État cite : « Mons. Pierre-Martin Ngô-Đinh-Thuc, Arciv. tit. di Bulla Regia » — mention impossible pour un prélat toujours frappé d’excommunication.

Ces deux éléments constituent, aux yeux des « canonistes modernistes » (si l’on veut haha), la garantie juridique d’une réconciliation effective et reconnue ab Ecclesia.

5. Signes publics de communion

• Août 1984 — Marian Days : photographies montrant Mgr Thuc assistant et communiant à la messe Novus Ordo sur le campus de Carthage, entouré de prêtres vietnamiens. (Scribd)
• Correspondance : une lettre du 15 juillet 1984 aux dominicaines de Fanjeaux, où l’archevêque se dit « ravi d’être rentré dans l’obéissance du Pape », est reproduite en annexe C de la même brochure brésilienne (Scribd).

6. Les témoins favorables

L’absence de démenti ultérieur de ces clercs, malgré vingt années de polémiques, renforce la crédibilité du dossier.

7. Objections et réponses

8. Frise de la « voie romaine » (1983-1985)

| 12 mars 1983 | CDF : nouvelle excommunication pour les sacres de 1981 |
| 11 juil. 1984 | Rétractation signée à Carthage |
| 17 déc. 1984 | Publication par L’Osservatore Romano |
| 13 déc. 1984 | Mort de Mgr Thuc (avant-veille de l’annonce) |
| 6 févr. 1985 | Nécrologe AAS — inscription « en règle » |

9. Synthèse

La thèse de la rétractation s’appuie donc sur un dossier cumulatif :

• un acte écrit, daté, signé, conservé à la nonciature ;
• la double publicité Vatican (L’Osservatore, AAS) impossible sans validation pontificale ;
• des signes liturgiques objectifs (participation au Novus Ordo à Marian Days) ;
• la concordance de témoignages vietnamiens et de la CDF.

En bonne logique canonique, ces pièces forment un minimum probatoire suffisant pour conclure que l’archevêque fut, au moins juridiquement, réconcilié avec Rome avant de mourir. Il demeure certes la question — délicate — de sa liberté intérieure ; mais l’ecclésiologie romaine, attachée aux actes externes, considère ici le dossier comme clos.

Nous penchons pour l’hypothèse de la captation moderniste, en estimant que cela ne remet pas en question la légitimité de son combat passé. Voici pourquoi nous basculons :

La brochure brésilienne The Rescue of Ngô Đình Thục publie neuf clichés datés probants du 11 juillet 1984 : l’archevêque y signe une déclaration révoquant ses erreurs et reconnaissant Jean-Paul II ; le texte fut reçu par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi qui annonça la levée des censures, puis reproduit dans L’Osservatore Romano du 17 décembre 1984. (Scribd)

Les tenants de cette version avancent :

• le caractère officiel des photos, prises dans la maison « Mẹ Đấng Cứu Chuộc » à Carthage (Missouri) ;
• l’inscription de son nom au nécrologe de l’Acta Apostolicae Sedis (vol. 77, 1985) ;
• l’absence publique de toute protestation postérieure de l’intéressé avant sa mort (13 décembre 1984).

Cependant, la nature même de la “captation” — pressions psychologiques, isolement, fragilité physique — entretient seulement encore le doute sur la liberté de l’acte ; d’où la prudence requise.

📏 Chapitre III — « Combien d’évêques ‒ au juste ‒ Mgr Thuc enfanta‐t-il avec ou sans « mandat romain » ? »

1. Prolégomènes méthodologiques

Nous ne retenons d’abord que les consécrations où l’archevêque vietnamien agit comme consécrateur principal après avoir agit après les effets du conciliabule Vatican II (1976-1982). Les re-consécrations sub conditione, les ordinations presbytérales ou les lignées ultérieures ne comptent point encore. Les sources s’échelonnent entre le Décret CDF du 17 IX 1976 (vatican.va), la Notification du 12 III 1983 (vatican.va), la littérature traditionaliste (CMRI ; T. Boyle) (cmri.org, tboyle.net) et les notices biographiques a minima (Wikipedia, Fandom).

2. Le noyau dur : huit sacres incontestables

Bilan minimal : 8 évêques, épiscopat transmis de façon certaine et documentée.

3. Le halo incertain : consécrations alléguées, mais litigieuses

Bilan maximal (si l’on crédite tous les bruits) : + 6 noms, soit 14 évêques.

Et nous pensons personnellement ces consécrations vraies, existant encore, bien que plus isolationnistes.

4. Tableau d’ensemble

Mais encore :

5. Les consécrations (avant Vatican II)

7. Bilan chiffré et conclusion concernant les sacres Mgr Thuc

🛎 Sentence par KO

Les pièces du dossier se partagent, à rebours l’une de l’autre, entre affidavits fervents et photographies officielles.

Quand bien même l’on pencherait pour une rétractation captieuse, la question de la liberté intérieure du prélat demeure pendante, et également, la légitimité de son combat passé ! En effet :

Dans le meilleur des cas, il s’est rallié sous influence et persécution — donc pas vraiment rallié.
Dans le pire des cas, il se serait rallié de plein consentement.

Quant à son œuvre sacramentelle, elle est, numériquement, un fait brut : par un total de 20 véritables évêques — avant et après Vatican II — étalés sur plusieurs décennies.

Reste à discerner le fait — lorsque Mgr Lefebvre lui établit une stabilité, Mgr Thuc multiplie les lignées —, et estimer que cette moisson relève d’un « miracle providentiel »…

La Rédaction

🥊 Nos articles de la Straße

https://integralisme-organique.com/2025/07/singer-lepouse-quand-le-vatican-palmar-de-troya-et-republicanistes-osent-parodier-leglise/

https://integralisme-organique.com/2025/06/mgr-guerard-des-lauriers-a-t-il-renie-sa-propre-these/

https://integralisme-organique.com/2025/07/ex-mgr-franco-munari-prelat-tristement-eclipse-formaliter-froc-a-lombre-ex-fsspx/

https://integralisme-organique.com/2025/06/qui-sont-les-mendezistes-troisieme-lignee-episcopale-depuis-vatican-ii-les-catholiques-byzantins/

https://integralisme-organique.com/2025/06/deux-cardinaux-deux-conclaves-deux-mondes-veto-imperial-contre-rampolla-fumee-blanche-et-these-siri/

https://integralisme-organique.com/2025/07/chefs-politiques-et-conciles-reformateurs-de-constantin-au-xxi%e1%b5%89-siecle/

https://integralisme-organique.com/2025/04/roy-de-la-terre-plate-henri-v-de-la-croix-panache-du-pitre-consomme/

https://integralisme-organique.com/2025/05/troisieme-dimanche-apres-paques-mgr-scharf-heritage-thuciste-de-mgr-korab/

https://integralisme-organique.com/2025/03/mgr-thuc-suite-dune-defense-en-regle-dun-eveque-incompris/

https://integralisme-organique.com/2024/04/vie-et-combat-de-mgr-thuc-lignees-sedevacantistes/

https://integralisme-organique.com/2025/06/mgrs-lefebvre-et-thuc-deux-colonnes-de-granit-dressees-dans-la-tempete/

https://integralisme-organique.com/2025/06/mgr-george-musey-leveque-des-marges-entre-sacre-thuciste-et-linternationale-catholique-depuis-lamerique/