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Publié le par Florian Rouanet
Nous nous chargeons de rétablir la vérité historique et doctrinale comme à notre habitude. Et après avoir prouvé la prise de distance du mouvement national-socialiste vis-à-vis des allumés du ciboulot occultistes, le propos du jour concerne celui de Monsieur K sur son Telegram à propos d’un « néo-jacobinisme nazi » :
Les origines socialistes, jacobines, étatistes de la révolution nationale socialiste allemande.
Éléments au débat.
#TheocratieParticipative
Ce mot dièse fait référence à l’émission d’Oremus, dont le canal avait rédigé une réponse anti sur-naturaliste qui lui été adressée.
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Tout d’abord, les nations autres que la France, n’ayant pas « bénéficiaient » préventivement du gallicanisme, n’ont pas un grand héritage centralisateur ou national à vrai dire, la conception des Länder, des provinces, est donc davantage de mise dans nos contrées voisines.
De plus, vouloir unir une nation ne fait pas de nous des judéo-maçons, conscients ou inconscients, c’est au contraire une chose logique et naturelle pour une patrie aboutie.En outre, par hostilité aux idées étrangères, les fascismes, allemand comme italien, étaient naturellement hostiles à la Révolution française et à ses émules – et non seulement en matière de « patriotisme », mais aussi pour ce que cela incarnait, pour l’essentiel, en termes de renversement de l’ordre social et religieux.
Maintenant, envoyons quelques références à l’appui, déjà généreusement diffusées par notre camarade Clerical fascism et Bréviaire de combat :
« [NdA : Von Papen déclarait que] « le IIIe Reich était la riposte chrétienne à 1789 », c’est à dire le mouvement contre-révolutionnaire opposé à l’illuminisme français. »
– John Lukacs – Hitler of History (Alfred Knopf, New York, 1997), p.90
« L’an 89 sera rayé de l’histoire »
– Joseph Goebbels, La révolution des Allemands
« Nous voulons détruire l’immorale idéologie de la Révolution française. »
– Gregor Strasser dans son discours du 14 juin 1932
Fascisme et catholicisme :
« Le fascisme, dans sa réalisation concrète, n’est autre que la réaction qui peut être saine,
et même catholique, selon l’ambiance dans laquelle elle se développe. »– Abbé Meinvielle, Conception catholique de la politique
Réaction non a-confessionnelle :
« Lorsque la crise religieuse éclata dans le peuple allemand et que le christianisme commença à se diviser en confessions, l’élément religieux qui était une des bases de la formation de notre État germain s’effaça de plus en plus devant l’autre élément. Les principes transcendantaux perdant de leur netteté, les formes d’organisations purement gouvernementales gagnèrent de l’importance pour trouver leur expression dernière dans la monarchie absolue, qui bientôt déclina à son tour. Car après que la scission confessionnelle eût ébranlé la plate-forme religieuse, l’esprit de la Révolution française détruisit la plate-forme monarchique.
Un ferment de décomposition, c’est ainsi que Mommsen appelle le judaïsme, commença à s’approprier les principes de la conscience sociale des peuples pour leur faire subir une transformation aussi insensée que dangereuse et les déchaîner ensuite sur l’humanité sous forme de socialisme marxiste. Par la démocratie parlementaire s’accomplit la dissolution de la royauté et par là de l’État organisateur. »
– Adolf Hitler, Principes d’action (pp.116-117)
Re-définition d’un bon socialisme goy :
La définition du socialisme selon Hitler
« Le socialiste est celui qui sert le bien commun sans renoncer à son individualité, à sa personnalité ou au produit de son efficacité personnelle. Le terme « socialiste » que nous avons adopté n’a rien à voir avec le socialisme marxien. Le marxisme est contre la propriété privée, ce qui n’est pas le cas du véritable socialisme. Le marxisme n’accorde aucune valeur à l’individu, à l’effort individuel ou à l’efficacité ; le véritable socialisme valorise l’individu et l’encourage à l’efficacité individuelle, tout en estimant que ses intérêts en tant qu’individu doivent être en accord avec ceux de la communauté. Toutes les grandes inventions, découvertes et réalisations ont d’abord été le produit d’un cerveau individuel. On m’accuse d’être contre la propriété, d’être athée. Ces deux accusations sont fausses. »
— Adolf Hitler, le 28 décembre 1938
Pour un Allemand le socialisme est associée à la justice sociale et au Bien commun. L’équivalent d’un socialiste marxisant pour lui s’appelle un social-démocrate.
La réaction anti-maçonnique (italienne) est générale :
Un autre lien sous entendu serait aussi celui d’un prétendu lien avec la franc-maçonnerie, nous allons donc parler des cas allemand et italien en ce XXe siècle sustraité.
Allemagne
« Le 17 août 1935, la franc-maçonnerie est interdite en Allemagne et toutes ses loges dissoutes. »
– Abbé du Thail, National-socialisme et catholicisme. L’impossible réconciliation ?
« Pour affermir sa situation dans l’Etat, il cherche à abattre toutes les barrières par lesquelles la race et l’état civil avaient d’abord gêné sa marche. Pour cela il combat avec toute la ténacité qui lui est propre en faveur de la tolérance religieuse et il a dans la franc-maçonnerie, qui est complètement tombée entre ses mains, un excellent instrument pour mener une lutte qui lui permette de parvenir astucieusement à ses fins. Les classes dirigeantes et les hautes sphères politiques et économiques de la bourgeoisie, prises dans le réseau maçonnique, deviennent sa proie, sans qu’elles puissent s’en douter.. »
Et preuve que cette hostilité du régime durait, pendant la guerre, même sur la fin, notamment dans les territoires occupés par les Allemands :
Photo du quartier général du Corps SS Schalburg situé à Copenhague, au Danemark. Le bâtiment était alors occupé par l’Ordre danois des francs-maçons. Photo d’après 1943.
« Le 21 septembre 1943, la police allemande occupe le siège de l’Ordre maçonnique danois situé à Blegdamsvej. Les francs-maçons disposent de quatre jours pour quitter le bâtiment, qui devient le quartier général du Schalburgkorps à partir du 25 septembre 1943. Le Schalburgkorpset (à l’origine Germanic Corps) est créé le 1er avril 1943. Ce corps était principalement composé d’anciens volontaires danois du front de l’Est et aidait les Allemands à lutter contre le mouvement de résistance. »

Duce
« Nous représentons un principe nouveau dans le monde, nous représentons l’antithèse nette, catégorique, définitive de la démocratie, de la ploutocratie, de la maçonnerie, en un mot, de tout le monde des immortels principes de 1789. »
— Benito Mussolini, La doctrine du fascisme
« Les Maçons en sommeil pourraient se réveiller. En les éliminant, nous sommes sûrs qu’ils dormiront pour toujours ! »«
– Benito Mussolini, discours à Rome, le 27 octobre 1930
Italie suite
« Par la loi du 29 novembre 1925, l’existence des loges maçonniques a été rendue impossible en Italie. Cette loi oblige en effet les associations, institutions et instituts de communiquer aux autorités leur acte de constitution, leurs statuts, leur règlement intérieur, la liste nominative de leurs charges sociales et de leurs sociétaires, ainsi que toutes autres informations touchant leur organisation et leur activité.
Mussolini a ainsi évité le piège que la franc-maçonnerie lui tendait, comme il en a évité tant d’autres. Il se rendit compte que la maçonnerie désire la liberté politique qui mène à l’anarchie ; qu’elle désire la liberté de propagande anti-religieuse. Il reconnaissait dans la mentalité maçonnique de libres-penseurs voltairiens un héritage de la révolution du XIIIème siècle, et il n’a donc pas interrompu un instant sa lutte contre la franc-maçonnerie, dernier rempart du libéralisme agonisant. »
– Herman de Vries de Heekelingen, Le fascisme et ses résultats (Pages 53-54)
Pour approfondir, lire aussi :
Deus Vult répond à Pierre Hillard
Encyclique singulière sous le IIIe Reich
Source Evian de Martin Bormann

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