• Religion et Race selon l’archevêque Gröber en 1937



    Bijou catholique et national-socialiste

  • Voici la traduction en français de la partie gauche de l’image du Manuel des questions religieuses contemporaines :

    « Le Manuel des questions religieuses contemporaines fut édité par l’archevêque Conrad Gröber, évêque de Fribourg-en-Brisgau, et publié en 1937 avec l’approbation de l’épiscopat allemand.

    En effet, ce livre était la déclaration officielle de l’Église catholique allemande sur toutes les questions politiques et religieuses de l’époque. Le livre n’était pas simplement un livre sur des questions religieuses, mais plutôt un véritable manuel sur les questions contemporaines de l’époque, y compris l’histoire, la philosophie, la race, la foi catholique, les controverses contre l’Église, le mariage et la famille, etc. »

    — Prof. Dr. William G. von Peters

    Et enfin, voici la traduction de la partie droite, plus prolifique :

    Puisque chaque nation porte la responsabilité de sa propre existence heureuse, et que l’introduction de sang complètement étranger dans une nationalité historiquement attestée constitue toujours un risque, aucune nation ne peut être privée du droit de préserver son statut racial antérieur sans perturbation et de mettre en place des sauvegardes à cet effet. La religion chrétienne exige seulement que les moyens employés ne violent pas les préceptes moraux et la justice naturelle.

    La législation raciale actuelle ne peut donc que signifier que la race et la culture nationales d’origine doivent être protégées de la dégénérescence et cultivées. Si un peuple veut préserver son caractère unique, les fils et les filles des familles autochtones qui sont héréditairement sains doivent se marier avec des familles similaires et éviter les mariages avec des personnes d’autres races au sens indiqué ci-dessus.

    (…)

    Il convient d’ajouter ici que, du point de vue du christianisme, la recherche scientifique et l’attention portée à la race sur une base scientifique ne peuvent qu’être accueillies favorablement. Tous conviendront que l’amour pour son propre peuple ne doit jamais se traduire par la haine de peuples de composition différente. Nous détestons le péché, mais pas les personnes qui sont racialement différentes de nous. En outre, personne ne croira que le simple fait d’avoir une excellente composition dispense du devoir moral de s’éduquer avec persévérance pour nourrir son âme. À cet égard, un chrétien valorisera les moyens de la grâce de l’Église par-dessus tout.

    Une étude raciale et une attention portée à la race, qui élèveraient la race elle-même à la plus haute valeur en tant que vision du monde et de la vie et qui seraient ainsi tentés d’attaquer le christianisme, se trouveraient fatalement dans l’erreur. Parce que la race et le christianisme ne sont pas opposés, mais différents ordres qui se complètent l’un l’autre. La race est quelque chose de donnée par la nature pour chaque peuple particulier. Le christianisme est une révélation surnaturelle pour tous les peuples. De ces deux ordres, harmonieusement liés l’un à l’autre, fleurit la perfection de la personnalité, de la famille, de l’humanité.

    Archevêque Conrad Gröber,
    Handbuch der religiösen Gegenwartsfragen
    (1937), p. 437-438
    (Manuel des questions religieuses contemporaines).

    Le document supra complète, sous certains aspects, celui de son confrère, le cardinal Faulhaber, à propos de « Judaïsme, Christianisme et Germanisme ».
    Nous avons là une preuve supplémentaire de l’appui magistériel de l’Église à propos du racialisme. En effet, rien n’est condamnable dans sa réalité naturelle et dans sa défense politique, tant que l’on n’élève pas la matière, partant la race (naturalisme), au-dessus des lois de Dieu.

    Il est important pour nous de le savoir ainsi, car dans un registre proche, l’impérialisme a souvent été préféré par l’Église. Nous le constatons lorsqu’il y avait le Saint Empire romain germanique, ou encore plus récemment, l’Autriche-Hongrie, avant qu’éclatât la Grande guerre.
    Cependant, après coup, les nationalismes en Europe, dans un cadre moral certes, furent acceptés et promus qu’il soit italien ou autre, pourvu que le temporel n’empiétât pas sur le spirituel et que les nations n’empiétassent pas sur l’Ordre universel.

    Tandis que le dernier paragraphe, quant à lui, réitère la condamnation d’avance de tout ce qui est proféré, en ce moment même, dans les colonnes de Démocratie participative et avant cela, par une certaine Nouvelle droite, ainsi que les racialistes païens allemands.

    Le Vatican fut contre le mélange des races sous le Duce


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  • 8 commentaires




    La question raciale en Islam est relative (et non secondaire) par rapport à la spiritualité et la morale d'un peuple. L'Islam n'est ni pour le métissage ni pour la guerre interraciale, il est pour l'entente des peuples sur des bases spirituelle et morale. S'il y a métissage, il doit rester dans la sphére privée cest-à-dire un cas marginal ou une exception dans la régle.


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    […] est certes traditionnel de privilégier les siens et de garder l’homogénéité (Religion et Race selon l’archevêque Gröber en 1937). Mais ici, ils font du zèle en prônant pareil déni des autres races qui, pourtant, ont le droit […]


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    […] dans sa condamnation du racisme matérialiste, l’Eglise catholique, et avec, tout l’épiscopat allemand, a admis, qu’il était juste et bon de faire grandir sa race (et nous en possédons moult […]


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    […] Mgr Gröber, archevêque de Fribourg, déclara en 1934 (contextualisation à trouver davantage !) : « La restauration de l’honneur allemand, après les humiliations imposées par Versailles, est un devoir auquel aucun citoyen, et aucun chrétien, ne saurait se dérober. » […]


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    […] Religion et Race selon l’archevêque Gröber en 1937 […]


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