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Publié le par Florian Rouanet
⁂ 𝔄rène du quadrilatère
ℭher lecteur, replongeons-nous dans cette affaire ayant eu cours sous le règne-pitre de François Hollande, ce moment où nous sommes passés de l’effacement politicien à la persistance anthropologique, sans invention ni lubie, contre ces corbeaux de mauvaise augure, brochant systématiquement sur le vide.
Ce qui se joue ici n’est point un badinage de salon, mais notre joute au couteau lexical. Depuis des lustres, l’on nous susurre que le mot « race » serait, per se, de la nitroglycérine ; qu’il faudrait, pour conjurer les spectres d’Adolf Hitler et de Benito Mussolini, l’effacer des tables de la (non) Loi.
Or, l’ordre naturel s’écrit en baston : les faits résistent, la Chair des peuples demeure, quand bien même l’on déplacerait les virgules. En effet, au nom de quel songe pouvons-nous admettre l’existence des sous-espèces animales et, sans broncher, rejeter celles humaines ? Nous ouvrons derechef ce front liminaire : tenir la distinction du réel humain, polyforme, voilà l’unique élégance. Tout le reste n’est que fatras judéo-cosmopolite à prétention faussement universelle.
En effet, même dans ces États-Unis catastrophiquement multi-ethniques, discuter sereinement de l’existence de ce fait est admis jusque dans les plus hauts cercles scientifiques et médicaux. Il n’y a qu’en France, superbement égalitariste, que l’on se choque de ce qui est inné et non modifiable par l’éducation ou l’instruction.
Nous parlons droit et lexique, et nommerons, avec ciselure, ce que le droit actuel sanctionne et ce qu’il laisse à la libre discussion, afin d’éviter tant le silence craintif et la haine à proprement dit.
En substance, sur 4 chapitres nous allons voir : Affaire sous Hollande, d’un point de vue purement légal en France actuelle, post-1945 et rapport obsessionnel « antiraciste » au mot race, devenu tabou…
« L’hérédité et la tradition est l’appel à la race »
— Paul Bourget, La Gazette de France, 19 août 1900.« Je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure. »
— Charles de Foucauld, Lettre à René Bazin, 29 juillet 1916.« Prends garde, mon fils, à la fornication, et par-dessus tout choisis ton épouse parmi la race de tes ancêtres. […] »
— Livre de Tobie, Ancien testament 4:12-13.« Aucun hybride n’entrera dans l’assemblée de Dieu. »
— Deutéronome, Ancien testament, 23:2.✨ Hollande et la promesse inachevée ; l’état du droit positif (2025) ; Nuremberg et l’ombre portée ; doctrine d’équilibre, sereine et tranchante !
☧ 𝔏exique de cogneur
« ETHNIE : Groupe d’êtres humains possédant, en plus ou moins grande part, un héritage socio-culturel commun. » — (CNRTL)
« ANTHROPOLOGIE : Étude des traits distinctifs qui caractérisent les populations humaines. » — (CNRTL)
« RACE : Lignée, ensemble des descendants… ; par extension, ensemble d’individus présentant des caractères communs. » — (CNRTL)
ᛟ 𝔄ncienne école éprouvée
📜 Sentences et sagesse des siècles, pour saine mémoire :
« L’idéologie génératrice des grands massacres du XXᵉ siècle n’est pas le racisme. C’est l’antiracisme. »
« Vouloir l’homme idéal, c’est forcément nier l’homme réel. Vouloir refaire l’homme, c’est nier que son essence préexiste. »
« L’appartenance raciale joue un rôle non négligeable dans la nature de l’homme — dans ce qui fait son être, dans sa complexion. »
« L’idéologie antiraciste contemporaine est structurellement incohérente. Elle prétend défendre la diversité, mais en pratique, elle établit un modèle de société qui débouchera (…) sur l’abolition de toute diversité dans un métissage généralisé. »
« L’œil bridé est un instrument de défense contre le froid. »
« Toute société multiraciale est multiraciste. »
« Nous assistons littéralement à la disparition de l’homme européen. L’humanité blanche, variante européenne et nord-américaine, représentait en 1900 environ le quart de l’humanité totale ; l’ensemble de la race blanche, Inde blanche et monde arabe inclus, représentait quant à lui un tiers de l’humanité. Or, en 2050, si les tendances actuelles se poursuivent, la race blanche, dans sa variante européenne, ne représentera plus qu’un douzième de l’humanité. (…) »
« Quand on se laisse mourir sans réagir, cela s’appelle un suicide. »
« Telle est la grille de lecture officielle : bloc institutionnel mondialiste et antiraciste contre mouvements d’opposition nationalistes et racistes. »
— Michel Drac, La question raciale.«Ainsi, dans les choses naturelles, les espèces paraissent avoir été ordonnées par degré. Par exemple, les choses mixtes sont plus parfaites que les éléments qui les composent, les plantes l’emportent sur les minéraux, les animaux sur les plantes, les hommes sur les animaux, et dans chacun de ces ordres de créatures on trouve une espèce qui vaut mieux que d’autres. C’est pourquoi la divine Sagesse ayant été cause de la distinction des êtres, afin que l’univers fût parfait, Elle a voulu pour la même raison qu’il y eût de l’inégalité entre les créatures. Car l’univers ne serait pas parfait s’il n’y avait dans les êtres qu’un seul degré de bonté.»
« La raison à cela était que si les étrangers étaient admis à participer aux affaires d’une nation aussitôt qu’ils s’établissaient en son sein, de nombreux dangers pouvaient intervenir, étant donné que les étrangers, n’ayant pas encore à cœur le bien commun, pourraient entreprendre des actions dommageables au peuple. »
— Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique.« La sainte Écriture nous explique l’origine des peuples dans la Genèse, quand elle nous rapporte l’histoire de Noé, sauvé du Déluge : “Noé avait donc trois fils qui sortirent de l’arche, Sem, Cham et Japhet. Or Cham est le père de Canaan… (Gen. IX, 18-27)” »
« La malédiction qui atteint les descendants de Cham explique amplement leur disparition de l’histoire. (…) De fait, les Africains descendants de Cham n’ont aucune influence sur l’histoire. C’est un peuple maudit. Le philosophe de l’histoire ne saurait en tenir compte : la sainte Écriture nous en donne la raison. »
— Abbé Julio Meinvielle, Les Trois peuples bibliques.« Chaque peuple porte la responsabilité du succès de son existence, et l’absorption d’un sang entièrement étranger représentera toujours un risque pour une nation qui a prouvé sa valeur historique. […] La religion Chrétienne demande simplement que les moyens utilisés ne soient pas contraires à la morale et à la justice naturelle. »
— Mgr Grober, archevêque de Fribourg, cité dans Pie XII et le Troisième Reich.« Tout le problème de la constitution des corps se ramène à expliquer le rôle de ces deux éléments. Si l’on défend exclusivement le premier, on tombe dans les excès de l’atomisme ; la considération trop étroite du second conduit aux exagérations du dynamisme. »
« Le principe de passivité, d’inertie, de multiplicité, de division, commun, générique, permanent sous le fleuve des modifications indéfinies ;
le principe d’activité, d’unité, qui distingue, caractérise chaque corps, lui donne son type et son espèce. Le premier, parce qu’il est passif et déterminable, est potentiel et matériel ; le second, parce qu’il est actif et spécifique, est dynamique et formel. »
— R.P. Edouard Hugon, O.P., Les Vingt-quatre thèses thomistes, Maître en théologie, professeur de dogme au Collège pontifical « Angélique » de Rome, membre de l’Académie romaine de Saint Thomas d’Aquin.« Le Roi étant en son Conseil, a fait et fait défense à tous ses sujets Blancs […] de contracter mariage avec les Noirs, Mulâtres ou autres gens de Couleur… »
— Louis XVI, Arrêt du Conseil du Roi, 5 avril 1778.« Le pape espère qu’il n’y aura pas de soldats de couleur au sein des troupes alliées qui seront déployées à Rome après la libération. »
— Télégramme envoyé à la demande de Pie XII, 26 janvier 1944.« La créature corporelle est, quant à l’essence elle-même, composée de puissance et d’acte ; cette puissance et cet acte dans l’ordre de l’essence sont désignés par les noms de matière et de forme. »
— Pape Saint Pie X, décret de la Sacrée Congrégation des études, 27 juillet 1914.« Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable-, quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique, celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la vie répondant à cette foi. »
— Pie XI, Mit brennender Sorge (1937).« Je suis fondamentalement pessimiste quant à l’avenir de l’Afrique parce que toutes nos politiques d’aides sont fondées sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre, alors que tous les tests disent que ce n’est vraiment pas le cas. »
— Dr. James Watson, Sunday Times, octobre 2007.« La Déclaration universelle… : sans distinction de race, de couleur, de sexe, de langue… »
— ONU, 10 déc. 1948. (Nations Unies)Le Statut de Nuremberg (Charte de Londres, art. 6 c) fonde le « crime contre l’humanité ».
— CICR, base DIH. (ICRC Databases)
Σ Plan d’attaque par manche
- 🏛️ I. Affaire sous François Hollande : promesse, tentatives, inachèvement
- ⚖️ II. Droit positif (France 2025) : ce qui est interdit / ce qui ne l’est pas
- 🕰️ III. Après 1945 : tabou, Nuremberg et la tentation de la table rase
- 🧭 IV. Doctrine d’équilibre : nommer sans haïr, discerner sans faillir
- 🪶 V. Le rôle du judaïsme messianique dans le cosmopolitisme
🏛️ I. Affaire sous François Hollande : promesse, tentatives, inachèvement
Ou des ciseaux lexicaux à la chair des faits, car un mot chasserait l’autre, dit-on. On retire le terme race, mais on garde le vague mot « origine« . Et, ici, l’on voulut chasser la chose par le mot.
Au 1ᵉʳ article de la Constitution, la France « assure l’égalité… sans distinction d’origine, de race ou de religion ». Ce membre de phrase, toujours en « vigueur », résulte d’une rédaction suite aux remous entre la Révolution française et le Tribunal de Nuremberg.
C’est en mars 2012 que François Hollande promit de retirer le mot « race » de la Constitution. Élu, il confia à ses ministres l’étude du comment. En mai 2013, l’Assemblée adopta une proposition de loi (législation ordinaire) pour « purger » divers codes du terme tant honni ; le Sénat ne suivit point et le processus s’éteignit. Pour rappel : ce n’est pas parce que vous ne dites pas « homme blanc » que l’homme blanc n’existe pas.
Toutefois, sous le duc du LGBTisme Emmanuel Macron, l’été 2018 vit l’Assemblée voter, à l’unanimité, la suppression de « race » dans le projet de révision constitutionnelle ; mais l’affaire Benalla torpilla la réforme, et l’article 1ᵉʳ demeura inchangé. Serpent de mer, la velléité reparut, de nouveau sans aboutir. Il faut croire que nul ne peut rien contre ces réalités naturelles !
Il n’y a que promesse et gestes symboliques dans ce double bilan à étiquette gauchiste. Au 28 août 2025, le mot « race » figure encore en Constitution française. En même temps, il faudrait condamné toute la littérature antérieure, et ce, sur des siècles, si l’on venait à abandonner/détester ce mot (Légifrance, Conseil Constitutionnel, Le Monde.fr, Assemblée nationale, Public Sénat)
⚖️ II. Droit positif (France 2025) : ce qui est interdit / ce qui ne l’est pas
D’un point de vue purement légal :
1) Interdit et réprimé.
Avant le Code pénal ne sanctionnant que les violences sur un individu, désormais est sanctionné la discrimination fondée sur l’origine, « l’appartenance ou la non-appartenance » à une race, une ethnie, une nation ou une religion (art. 225-1 s.), ainsi que ladite provocation à la haine, à la violence, à la discrimination (loi dite antiraciste nommée Pleven, en 1972 ; dispositions complétées par la loi dite Gayssot en 1990, rédigée contre le révisionnisme, Robert Faurisson et Jean-Marie Le Pen).2) Non interdit en soi.
Dire, par exemple, « je veux le bien de la race blanche » ou « la prospérité des Noirs » n’entraîne pas, ipso facto, poursuite pénale : l’infraction naît du mépris, de l’injure ou de l’appel à la haine/exclusion visant d’autres groupes, non d’un attachement identitaire positif, mais non exclusif. En droit, l’intention et le contexte gouvernent entre doctrine publique de prévention et rappel des textes. Le Mouvement national catholique a ainsi raison de ne pas abhorrer ni supprimer ces termes.3) Le rôle du juge.
La jurisprudence prétend protéger la libre expression — pas au sens absolu du premier amendement américain toutefois ! —, tant que l’on n’y glisse ni « hiérarchisation des personnes » (« X vaut mieux que Y », racisme biologique, scientifique) ni appel à l’ostracisme. À défaut d’injure ou de discrimination concrète, la vox populi demeure licite — et soumise à l’appréciation contextuelle d’un juge pénal et de la presse-loi.📄 Délicatesse juridique toutefois, employer « race » est mal vu et expose donc à un risque d’ambiguïté. Ainsi, le législateur parle de « prétendue race » pour pratiquer la « prudence de plume », et surtout la sanction…(Légifrance, Ministère du Travail)
🕰️ III. Après 1945 : tabou, Nuremberg et la tentation de la table rase
Avant 1945 — Aux XIXᵉ-XXᵉ siècles, l’usage fut totalement banal en sciences, lettres, droit ; la DUDH de 1948 elle-même bannit la discrimination « notamment de race ». L’époque charriait ses théories, mais avec effroi et phobie, souvent par honte de soi, jusqu’à jeter le bébé avec l’eau du bain. À la limite, seul l’historien ne confond point constat d’usage et assentiment.
Rupture de Nuremberg — Les Procès (1945-46) gravèrent le « crime contre l’humanité » dans le marbre en l’apparentant au racisme national-socialiste. Dès lors, la prévention passa, chez maints auteurs, par la délégitimation pseudo-scientifique et pseudo-morale de la « race » : discours « socio-constructiviste » triomphant, lexique neutralisé, soupçon généralisé. Mais le paradoxe c’est que pour châtier le racisme, il fallut conserver le terme dans les textes. Cela s’appuie aussi sur une longue « tradition universaliste » proclamée par les agents Franc-Maçonnerie depuis 1789.
D’aucuns voulurent « tourner la page » par l’effacement lexical. Or, nul décret ne dissout la diversité des races humaines : des différences visibles (phénotypes, héritages culturels, ethnicité) et invisibles (dispositions éducatives, état d’esprit) persistent ; le droit ne condamne pas l’existence de tels faits, et en théorie seulement les « atteintes« portées aux personnes en raison de ceux-ci. (Nations Unies, ICRC Databases, Légifrance)
La saine doctrine tient ce bord :
Le réel humain avant le mur du droit. Les ethnies ou races existent, les lignées aussi ; et l’anthropologie, fût-elle revue et corrigée, sillonne des continuités familiales, historiques, corporelles, inées. Nommer n’est point mépriser, au contraire. (CNRTL)
En clair, actuellement l’on peut chérir sa souche sans cracher sur autrui ; l’on peut défendre une culture, une race. La difficulté est de défendre son autonomie collective raciale qui pourtant devrait suivre le fait racial.🪶 V. Le rôle du judaïsme messianique dans le cosmopolitisme
« Nous devons nous rendre compte que l’arme la plus puissante de notre parti est la tension raciale. […] Nous aiderons les Noirs à gravir tous les échelons de la société […] alors commencera un processus qui livrera l’Amérique à notre cause. »
— Israel Cohen, Programme racial pour le XXe siècle (1912), cité par Abernathy, Archives du Congrès, 1957.« Nous révélerons ouvertement notre identité aux races d’Asie et d’Afrique […] Les femmes blanches doivent cohabiter avec des membres des races sombres […] ainsi la race blanche disparaîtra. »
— Rabbin Emanuel Rabinovich, Conseil d’urgence des rabbins d’Europe, Budapest, 12 janvier 1952.« La clé qui résoudra les problèmes sociaux de notre ère est d’abolir la race blanche. »
— Dr. Noel Ignatiev, Université de Harvard.« Ce qu’en tout lieu les gens devront faire, c’est pratiquer la limitation des naissances et augmenter les mariages mixtes […] en vue de créer un monde unique dépendant d’une autorité centrale. »
— Brock Chisholm, USA Magazine, 12 août 1955.« Les Juifs devraient se réjouir que l’Europe chrétienne soit en train de perdre son identité […] il n’y aura pas de vestiges et pas de survivants de l’impureté du christianisme. »
— Rabbin Efrati, YnetNews.« L’islam est d’une certaine façon la religion parfaite [pour les goyim] […]. Les rabbins ont tout de suite accepté l’islam comme un monothéisme, le plus pur, disait Maïmonide. »
— Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent (2002).« Si nos sociétés ne savent pas donner un sens ludique à la mort […] s’il existe une religion de la mondialité, c’est certainement l’islam. »
— Jacques Attali, Le sens des choses (2006).« Nous avions inspiré la constitution française, la Déclaration des Droits de l’Homme […] sont toutes inspirées de la Torah. »
— Rabin Sitruk, Neuilly-sur-Seine, 13 mai 2007.« Israël […] est partie prenante à tous les programmes de l’Europe des 27 […] Aucun pays hors du continent n’a le type de relations qu’Israël entretient avec l’Union européenne. »
— Javier Solana, discours à Jérusalem, 21 octobre 2009.« La Grande-Bretagne et ses dominions, avec la République américaine et les Juifs, constituent toute la race d’Israël. […] C’est elle qui doit instaurer un Gouvernement mondial. »
— Bulletin officiel du British Israel, 1933.« Si la vie d’un seul soldat juif devait être mise en danger […] Que Gaza devienne un site archéologique. »
— Jacques Kupfer, Likoud mondial, 15 juillet 2014.« L’Union que nous désirons fonder doit rapprocher tous les Juifs du monde par les liens d’une solidarité indéfectible. »
— Adolphe Crémieux, Discours d’inauguration de l’Alliance Israélite Universelle, 17 mai 1860.« L’homme de demain sera un bâtard. Les races et les classes disparaîtront […] La race eurasio-négroïde de demain, dont l’apparence extérieure sera semblable à celle de l’ancienne Égypte, remplacera la diversité des peuples par la diversité des individus. »
— Richard de Coudenhove-Kalergi, Idéalisme politique (1925).« L’objectif, c’est de relever le défi du métissage. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. […] Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore. »
— Nicolas Sarkozy, conférence de presse à Palaiseau, 17 décembre 2008.« Juifs de France, sans vous la France n’est plus la France ! […] »
— Manuel Valls, discours place du Trocadéro, 19 mars 2014.« Car, dans le premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups […] restent un homme mort et un homme libre. »
— Jean-Paul Sartre, préface aux Damnés de la terre, Frantz Fanon (1961).« Les Blancs se sont eux-mêmes mis hors humanité. […] »
— Maryse Duhamel, Martinique 1ère, 25 février 2015.« Le Blanc va être une vieille chose dépassée […] »
— Michel Onfray, Europe 1, 17 janvier 2017.
☩ 𝔖entence par KO
Doctrine équilibrée et radicalement vraie : la suppression d’un mot n’a jamais aboli la réalité.
Qu’on cesse de maugréer contre les syllabes : la race — terme cabossé par l’histoire contemporaine, s’auto-reniant — survit dans le droit, mais surtout comme balise répressive, tandis que l’homme concret persiste, avec ses visages, ses héritages, ses coutumes, sa biologie.
La frilosité née de la Révolution française et au Tribunal de Nuremberg — croyant conjurer le mal par des interdits lexicaux et autres vaines incantations — confond, verbe et chose. Or, le surnaturel n’abolit pas le naturel ; de même, le droit ne prétend point dissoudre la glèbe des peuples, mais protéger la dignité de chacun.
« La race, la constitution du sang, avec les aptitudes propres à son essence, est un produit de la loi naturelle. […] Vouloir se libérer du racisme, c’est susciter le libéralisme contre une loi naturelle plus forte que les hommes et au-dessus des hommes. »
— Adrien Arcand, Mon Livre d’Heures (1935-1936).
📚 Pour approfondir
- Texte constitutionnel (art. 1ᵉʳ) — état en vigueur (Conseil constitutionnel & Légifrance). (Conseil Constitutionnel, Légifrance)
- Discriminations et répression pénale : Code pénal art. 225-1 s. ; provocation non publique R.625-7. (Légifrance)
- Loi Pleven (1972) et Loi Gayssot (1990) — textes. (Légifrance)
- Épisode Hollande (2012-2013) : promesse et proposition adoptée à l’Assemblée (non suivie au Sénat). (Le Monde.fr, Assemblée nationale)
- Séquence 2018 : vote de l’Assemblée pour suppression (révision avortée, affaire Benalla). (Le Monde.fr)
- Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) — version officielle ONU. (Nations Unies)
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Benito Mussolini sur la dénatalité blanche — Document publié en 1934 par L’Osservatore Romano
L’Europe boréale contre la dénatalité — Jean-Marie Le Pen
Religion et race selon l’archevêque Gröber en 1937
Héritage de la Contre-Réforme et du Concile de Trente face au protestantisme — Repères pour la Contre-Révolution française (France, Espagne, Empire)
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