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Publié le par Florian Rouanet
Des bons aryens oui, mais aussi des bons à rien » terminant dans notre Syllabus ; soyons en faveur du bon combat scientifique
Préambule
L’étude des Indo-Européens est un domaine fondamental, rigoureux, trop souvent terni par des manipulations idéologiques contemporaines. Jean Haudry, universitaire honnête, incarna l’érudition en son temps, vulgarisant avec sérieux, notamment les travaux de Georges Dumézil, prédécesseur direct.
Seulement, ce sujet fut mis sous surveillance/liste noire, à partir des années 1980, non pour des raisons scientifiques, mais parce que certains y virent un « danger idéologique ». La simple appellation « aryen », pourtant admise raisonnement de la science allemande depuis le XIXᵉ siècle, devint taboue à cause de la fameuse reductio ad hitlerum.
Or, la réalité des Indo-Européens ne saurait être contestée, dans les temps antiques, nous n’avions pas de langue sans peuple, sans communauté rattachée à cette dernière. Leur existence est un fait linguistique, archéologique, ethnique et historique, et c’est dans cette perspective que nous entreprenons ici une analyse approfondie !
#SOSNazisme

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Sommaire
I. Linguistique indo-européenne : empreinte indélébile
II. Système de pensée et structures sociales indo-européennes
III. Autres thématiques liées d’importance (physique, patriarcat, homme européen, indo-germanisme)
IV. Délires gauchistes et conspirationnistes : imposteurs face à la science☧
I. Linguistique indo-européenne : empreinte indélébile
L’empreinte indo-européenne, attestée y compris par les ennemis, est linguistique. Les langues issues de cette famille partagent une structure grammaticale et un vocabulaire communs, confirmant leur origine unique.
1) Des exemples frappants
L’indo-européen originel a légué à ses descendants des mots-clés qui structurent notre pensée, comparés avec le latin et le français :
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Deva (Sanskrit) signifie « lumière du jour », d’où viennent Deus (Dieu), Zeus.
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Med-, qui renvoie à l’idée de soin, de réflexion et de mesure, se retrouve dans le domaine médical (médecin, médication, remède) mais aussi dans les notions de conseil et de sagesse (méditer, médiateur, remédier) ; racines et fonctions essentielles de juger, de soigner, de guider, reliant aux figures du roi sage et du druide.
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Men- (latin mens, grec menos) renvoie à l’esprit, la pensée, d’où « mental », « mémoire », « mensonge ».
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Bellum (latin) signifie « guerre », d’où « belliqueux », « belliciste », « belligérant ».
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Caput (latin) signifie « tête », d’où « capitale », « décapité », « chapiteau ».
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Mir- (mirar en espagnol, mirer en français, mirage) : voir, contempler.
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rég-, conservée en indo-iranien, latin et celtique, est fondamentale. Elle renvoie à la régence, la rectitude et l’autorité religieuse. Celui qui « trace la ligne » est garant de l’ordre.
Ce ne sont là que quelques traces vivantes de notre passé linguistique, européen, qui témoignent d’un fond commun véritablement structurant pour la pensée et la culture.
2) Différences d’évolution selon les langues européennes
Nos langues modernes ont conservé des structures indo-européennes plus pures que d’autres :
- L’espagnol, dans une évolution plus noble, est resté plus proche du latin que le français (comere vs. manger, racine vulgaire).
- Le français, langue latine, influencée par le germanique, a évolué vers plus d’abstraction.
- L’anglais est un mélange de vieil allemand, d’ancien français et de mots savants gréco-latins, ce qui en fait un hybride unique, douteux pour beaucoup !
Et le sanskrit, quant à lui, reste aujourd’hui la langue la plus proche de l’indo-européen originel.
II. Système de pensée et structures sociales indo-européennes
1) Nomen omen : le nom comme destin
Dans les sociétés indo-européennes, le nom était un présage et une injonction morale, ce qui reste dans l’histoire d’après :
- Aristote (le meilleur), Sophocle (la réputation de sage), Hippocrate (la force du cheval).
- Roland (la gloire du pays), Bernard (l’ours fort), Thierry (le riche du peuple).
- Raphaël (Dieu guérit), Léo (le lion, la force), Victor (le vainqueur)
Cette conception se retrouve chez les Romains, les Grecs, et dans l’Europe chrétienne, où l’on baptisait l’enfant en référence à un saint, un exemple, une définition, un roi ou un héros.
2) Société tripartite : oratores, bellatores, laboratores
L’organisation sociale indo-européenne repose sur trois castes fonctionnelles :
- Prêtres & sages (oratores)
- Guerriers & rois (bellatores)
- Producteurs & agriculteurs (laboratores)
Il est fantastique de constater ici que le modèle se retrouve dans le monde védique, chez les Celtes & dans l’Europe médiévale.
Iliade et l’Odyssée, chez Homer, témoigne de notre antique aristocratie indo-européenne, il s’agit simplement de la morale aristocratique campée et magnifiée dans notre littérature orale et traditionnelle la plus ancestrale, celle de nos plus vieilles épopées.
D’ailleurs, concernant la race nordique, Vacher de Lapouge dira avec justesse, que le froid a forgé et édifié une race résistante, endurante, mélancolique, énergique, intelligente, mais froide.
3) Religion : un polythéisme structuré et organique
La religion indo-européenne est hiérarchisée et syncrétiste. Elle distingue :
- Un dieu suprême au sommet du panthéon.
- Des dieux spécifiques à chaque fonction et chaque peuple.
- Une absence totale d’athéisme.
Loin du « Grand Architecte » maçonnique, les dieux indo-européens sont incarnés et liés aux cycles naturels, panthéisme soit.
Entre continuité et métamorphose, l’Europe gréco-romaine, germanique, et/puis chrétienne a intégré et fait muter l’héritage indo-européen :
- L’Iliade et la Chanson de Roland perpétuent l’esprit aristocratique du guerrier.
- La royauté européenne garde un fondement sacré, hérité de l’idée indo-européenne du « roi-prêtre », en combattant toutefois le césaro-papisme, afin de distinguer sans dossier, temporel et spirituel.
- Le christianisme, loin de le nier, a transfiguré cet héritage naturelle par la Grâce, tempérant l’orgueil aristocratique par l’humilité et la foi.
III. Autres thématiques liées d’importance (physique, patriarcat, homme européen, indo-germanisme)
1) Le type physique indo-européen
L’Indo-Européen originel, tel que décrit par les sources antiques et confirmé par les études génétiques modernes, correspond à un phénotype spécifique : peau claire, cheveux blonds, roux ou châtain clair, et yeux bleus ou verts.
Hérodote détaille ainsi les premiers Germains, tandis que Tacite insiste sur leur pureté, soulignant l’absence de mélange. Ces caractéristiques se retrouvent en proportion variable au sein des populations européennes modernes : les Allemands présentent environ 60 % d’ascendance dite « aryenne », contre 40 % pour les Espagnols.
Toutefois, il n’existe pas de « race blanche pure » homogène en ce sens, mais plutôt un ensemble de groupes raciaux européens issus de brassages anciens, souvent éloignés dans le temps.
L’analyse génétique contemporaine montre un tronc commun remontant au « génome Adam », point d’origine de l’humanité, dont les Indo-Européens représentent une branche distinctive.2) Le patriarcat indo-européen
L’instauration du patriarcat par les Indo-Européens constitue une rupture civilisationnelle marquée. Johann Jakob Bachofen (1815-1887), dans son étude sur le droit des mères, décrit la gynécocratie prévalant dans l’Ancien Monde européen/proto-européen, avant l’arrivée des peuples indo-européens.
Ce système était fondé sur des structures religieuses et juridiques où l’ascendance maternelle déterminait la filiation et la transmission du pouvoir. Les Indo-Européens, porteurs d’une conception guerrière et aristocratique, imposèrent progressivement une société patriarcale où l’autorité du père et du chef de famille devint centrale, culminant au sein de l’Empire romain avec le pater familias.3) Le modèle européen de l’homme
L’homme indo-européen, et européen a fortiori, n’est pas un intellectuel abstrait détaché du réel, mais un individu qui incarne pleinement ce qu’il professe. Son modèle s’ancre dans une aristocratie de l’action et de l’exemplarité. L’éducation, qu’elle soit guerrière, philosophique ou religieuse, repose sur la constance et l’assiduité : pour apprendre, il faut d’abord forger son caractère.
Ce modèle se traduit par l’idéal du chef guerrier, qui ne se contente pas de donner des ordres, mais se distingue par son honneur, sa bravoure, son être, son savoir et son sens du sacrifice.
Son but ultime est de laisser son nom gravé dans la mémoire des hommes, car l’immortalité homérique ne réside pas dans la simple survie biologique, mais aussi dans la gloire et le souvenir, perpétués par les générations futures à travers les récits et les traditions.4) L’Européisme et l’unité civilisationnelle suite
L’idée d’une Europe uniformisée de Vlissingen à Bucarest, fondée sur un genre de jacobinisme continental, relève de l’utopie et de l’ignorance historique. Les Européens ne forment pas un bloc monolithique, mais une mosaïque de peuples distincts aux traditions enracinées. Cependant, l’unité des Blancs est indéniable, leur héritage commun remontant à la synthèse gréco-romaine et aux structures germaniques antiques.
Thomas Ferrier, obsédé par un européanisme radical, néglige ces nuances fondamentales. L’ambition d’un empire européen n’est pas absurde en soi, mais elle ne peut se concevoir que sur la base d’une élite cohérente, enracinée dans les antiques modèles greco-romains et germaniques. Loin d’une uniformisation forcée, l’unité européenne ne peut exister que dans le respect des héritages locaux, tout en intégrant un cadre supérieur inspiré du « roman racial indogermanique », qui reconnaît la force des lignages et des traditions ancestrales comme fondements de toute grande civilisation.IV. Délires gauchistes et conspirationnistes : imposteurs face à la science
Le sujet des indo-européens entre en liste noire à partir des années 1980 seulement, suite à l’affaire du procès international/israélien d’Eichmann en 1961 et surtout du « shoahtisme » de ce moment décennal donc.
Les deux pendants, fieffés cancres et non des chercheurs, sont par ailleurs souvent des ramassis de blaireaux et de cuistres, niant même jusque l’existence du gaulois/celte, témoignage insigne des monuments de nullité qu’ils sont.
1) Négationnisme gauchiste : refus idéologique des faits (par conformisme mental et social)
Depuis les années 1980, il est devenu mal vu d’évoquer les Indo-Européens. Pourquoi ?
- Parce qu’ils rappellent un héritage racial et civilisationnel commun aux européens.
- Parce qu’ils mettent en échec la thèse du multiculturalisme universel.
- Parce qu’ils contredisent les dogmes progressistes sur l’histoire des peuples.
Aujourd’hui, les mêmes idéologues nient jusqu’à l’existence des Gaulois, ou pensent que Vercingétorix parlait wolof !
2) Complotisme décadent : la fuite hors du réel
À l’opposé, les conspirationnistes, en roue libre quand ils sont récentistes, transforment l’histoire en conte délirant :
- « Charlemagne n’a jamais existé ».
- « Charlemagne était un oriental talmudiste ».
- « Les pyramides volantes ont été bâties par des extra-terrestres supérieurs à nous ».
Ces fables sont une insulte à la rigueur scientifique. Loin d’éclairer l’histoire et notre actualité, elles la plongent dans le « véritable » obscurantisme, ou encore le relativisme absolu.
3) Restaurer une vision cohérente & enracinée
L’indo-européanité n’est ni un fantasme linguistique gauchiste, ni une lubie conspirationniste, mais un fait historique et ethnique fondamental pour intégrer l’identité de nos pays.
Rejeter cet héritage, c’est nier nos propres racines et couper l’Europe de son héritage intrinsèque.
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Conclusion
L’Europe moderne doit cesser d’avoir honte d’elle-même. Renouons collectivement avec nos héritages bons, neutres et authentiques.
L’indo-européanité est un socle qui se retrouve dans nos langues, nos traditions, notre pensée.Plutôt que de sombrer dans un négationnisme progressiste ou dans un conspirationnisme fantaisiste, il est temps de retrouver une vision saine, enracinée et noble de notre passé.
Pour cela, il nous faut être sans tabou, contre le gauchisme conspirationniste, et accessible, pour pas être dans une tour philosophique mérélienne non plus !
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