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Voici qui est utile pour saisir le logiciel de la peur, ainsi que l’utilisation du Big Data orwellien (dictature des chiffres informatiques). Ne croyez pas que le « Système » essaie de provoquer une fausse réaction avec ce type de production : celui-ci ne prendrait pas le risque de faire monter le taux de « désobéissance civique ».
Papy Klaus Schwab nomme cela “la force structurante de la peur” (sic). Effectivement, celle-ci permettrait de faire avancer les petits papiers globalistes à propos du réchauffement climatique, du néo-écologisme, du délire sanitariste et d’un hypothétique bioterrorisme (expression reprise par Bill Gates, qui est en aucun cas un comploteur, tant il est transparent dans chacun de ses actes et propos !).
C’est le découragement et incapacité à réagir qui est recherchée par la propagande médiatique. En effet, encore faut-il dépasser le stress et l’incertitude que provoquent les évènements – certes assez anxiogènes de nos jours – pour survivre à la tempête qui s’annonce. Le courageux n’est pas l’homme qui n’a jamais eu peur : c’est celui qui se sert de ses craintes comme tremplin afin de faire monter son adrénaline.
De plus, je suis pour l’écologie lorsqu’elle entre en adéquation avec sa définition originelle : appréciation de la politique naturelle, défense des terres agricoles et des paysages.. Mais là se retrouvent des glissements sémitiques, euh, ma langue a fourchée, des glissements sémantiques !
Il ne faudrait tomber ni dans un extrême ni dans un autre, car d’un côté les complots existent (actions concertées et exécutées par un groupe d’hommes contre César, Henri IV ou Kennedy, etc.), et de l’autre, certains prétendus complots ne s’avèrent pas être vrais (typiquement : Trump victorieux selon QAnon, attentats sous faux drapeaux avec hologrammes, surutilisation des clones et sosies en politique, la terre plate et les aliens).
C’est le but d’une thèse universitaire à la base : soit elle se confirme parce que conforme à la réalité, soit elle ne se confirme pas, car elle est fausse ou à moitié fausse.
Nous retiendrons l’expression suivante de la vidéo relayée : “c’est la tyrannie du risque zéro !”. Exact ! Car si nous devons vivoter de telle manière pour abattre le moindre danger, alors mieux vaut, dès à présent, arrêter de traverser au feu, de tenter un salto arrière ou de participer à un combat de boxe amateur… 😉
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“Si tu finis en caleçon et à la rue l’année prochaine, lorsqu’il fait -5 degrés Celsius en hiver, c’est la faute du virus, et pour ton bien du con !”
Jean-Enfumeur.
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