Jean-Marie Le Pen à propos de « l’internationale juive »

Fut une époque où le père Le Pen et le quotidien Présent envoyaient du lourd dans les cerveaux de nos contemporains.
Hélas, avec le recul, ces propos qui peuvent donner l’impression  d’être timorés ou bien imprudents se révèlent être forts justes.

Merci à Jérôme Bourbon, directeur de publication de Rivarol, pour le rappel dans notre dernière vidéo de ce fait d’actualité oublié de tous, sauf de nos adversaires, et je l’espère, de nos camarades !

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« Dans un entretien publié par Présent, revue d’extrême droite, M. Jean-Marie Le Pen affirme que “les grandes internationales, comme l’internationale juive, jouent un rôle non négligeable dans la création de l’esprit antinational”. M. Le Pen cite également “la maçonnerie”, parmi les exemples des forces “qui visent à établir une idéologie mondialiste, réductrice, égalisatrice”. M. Le Pen précise cependant : “Il faut être prudent quand on dit que la maçonnerie et l’internationale juive jouent un rôle. Cela n’implique pas tous les maçons ou obédiences, ni toutes les organisations juives, ni tous les juifs, c’est évident. Mais il y a des gens qui parlent au nom des autres et qui agissent de cette manière. “

Dans le même entretien, M. Le Pen estime qu’il est absurde de “croire que le Parti républicain allemand est une résurgence du nazisme” et qu’il est “inexact” de dire que le MSI italien est un mouvement fasciste ou néo-fasciste. Interrogé sur les perspectives d’action politique du Front national, il répond : “Les prévisions dans ce domaine sont aléatoires. Nous allons vivre pendant quelques années encore dans l’évocation du cinquantenaire de la deuxième guerre mondiale. Le poids du passé est trop lourd dans notre pays, dans nos civilisations. Nous marchons à reculons, en quelque sorte. En permanence, nous regardons ce qui s’est passé.” (…) ».

Le Monde, extrait du 12 août 1989.

Il paraphrasait presque, sans le savoir, le Duce, plus de cent ans avant !

La vision des choses a changé aussi chez Mussolini, car lors de son alliance avec Hitler, le 24 octobre 1938, le Duce déclare :

« Il ne fait aucun doute que le judaïsme mondial était contre le fascisme, il ne fait aucun doute que toutes les sanctions pendant les manœuvres ont été complotées par les Juifs, il ne fait aucun doute qu’en 1924, les affiches antifascistes étaient parsemées de noms juifs, il ne fait aucun doute que leur population n’est pas de 40 000, mais de 70 000 ! Et à tous ceux qui ont un cœur tendre, trop doux, il faut se demander : monsieur, quel serait le sort de 70 000 chrétiens dans un pays de 44 millions de Juifs ? »

Régents et traitement de la communauté juive de Louis XV à Louis-Philippe