• Hitler et les nationaux-socialistes s’insurgeant contre la « kabbale » païenne au sein du régime



    Les compl’autistes en état de sueur totale

  • Nous sommes habitués ici au thème de « déconstruction des mythes complotistes » dont nous avons été inondés après-guerre ; et bien en voilà un de plus à propos du soi-disant gnosticisme/ésotérisme des élites « nazis ».
    Il ne s’agit pas de faire du national-socialisme un mouvement de sympathiques scouts catholiques, mais simplement d’y voir clair. Il n’y a aucun paganisme chez Tonton, ou pis selon certains, de l’ésotérisme maçonnique, des médiums sataniques, etc. Tout au contraire, tous les émules de l’illuminisme français (1789) ont été dénoncés comme étant contraires au christianisme. Et les légions d’Alfred Rosenberg furent écartées pour des raisons similaires.
    Il faut donc – entre autres – citer ce qui suit devant les barjots qui voient des ésotéristes partout. La source type « Libre propos » de Pierre Hillard prend un coup supplémentaire… Contre le complotisme délirant surtout, cultivez-vous et formez-vous philosophiquement, cela demande un plus grand sacrifice, mais celui-ci élève au lieu d’abîmer l’âme !

    Hitler et le national-socialisme s’insurgeant contre la cabale païenne au sein du régime :

    « Nous sommes des nationaux-socialistes et nous n’avons rien de commun avec cette idée völkisch ni avec ce kitsch-völkisch petit-bourgeois, ou avec ces barbes abondantes et ces cheveux longs. Nous avons tous coupé nos cheveux bien courts. »
    – Adolf Hitler, 12 mars 1926, Munich

    « Le national-socialisme n’est pas un mouvement cultiste ; il s’agit exclusivement d’une doctrine politique “völkisch” basée sur des principes raciaux. Donc nous n’avons pas de pièces pour le culte, mais seulement des salles pour le peuple – pas d’espaces ouverts pour le culte, mais des espaces pour les assemblées et les parades. […] Nous ne permettrons pas à des mystiques occultes passionnés par l’exploration des secrets du monde de l’au-delà de s’introduire dans notre mouvement. Ces gens ne sont pas nationaux-socialistes mais autre chose – en tout cas, quelque chose qui n’a rien à voir avec nous. […] À la tête de notre programme, il n’y a pas de secrets suspects, mais une perception claire et une profession de foi simple, […] nous servons ainsi le maintien d’une œuvre divine et accomplissons une volonté divine – non pas dans le crépuscule secret d’une nouvelle maison de culte, mais ouvertement devant la face du Seigneur. »
    – Adolf Hitler, extrait de son discours au congrès du NSDAP à Nuremberg du 6 septembre 1938

    « Sur la question primordiale pour les Hyperboréens de la liberté individuelle, Hitler répond : « Ce n’est pas l’étendu de la liberté individuelle qui signifie un haut degré de civilisation. C’est plutôt dans le cadre d’une organisation qui rassemble la quasi-unanimité des hommes d’une même race, la limitation de cette liberté. ». Une apologie de Charlemagne, le tueur de Saxons met le point final à la discussion… »
    – Thulé : Le Soleil retrouvé des hyperboréens

    « N’est-ce pas assez que les Romains érigeaient de grands bâtiments alors que nos ancêtres étaient encore en train de construire des huttes de boue et « créchaient » dans des villages de glaise ? Himmler commence maintenant à déterrer ces villages de huttes de boue et à s’enthousiasmer pour toutes les haches de tessons et de pierres qu’il y trouve. Par-là, nous ne faisons que démontrer une chose : nous lancions encore avec des haches de pierre et étions accroupis à même le sol autour d’un feu ouvert quand la Grèce et Rome avaient atteint le plus haut degré de culture. De fait, nous aurions toutes les raisons de nous taire au sujet de ce passé. Au lieu de ça, Himmler le crie sur tous les toits ».
    – Alain Brose, Charlemagne dans l’idéologie nationale-socialiste (In : Revue belge de philologie et d’histoire, tome 93, fasc.).

    « Avec quel mépris les Romains riraient-ils aujourd’hui devant chacun de ces dévoilements ? Quelle absurdité ! Ici nous avons enfin atteint un âge qui a laissé tout le mysticisme derrière, et maintenant il veut recommencer tout ça… Nous pourrions aussi bien rester sous l’autorité de l’Église alors. Elle au moins, elle repose sur une longue tradition. Pensez que je pourrais être canonisé au rang d’un saint de la SS, imaginez-vous ça, je me retournerais dans ma tombe ! »
    – Ibid.

    « Hitler a tout trouvé par la pratique du sacrifice intérieur. L’appel à la croix gammée, sans qu’il y ait à cela la moindre teinte d’occultisme, signifie cette découverte et cette adoption des grandes forces suprêmes, comme étant les seules régulatrices de la vie des sociétés. »
    – Alphonse de Châteaubriant, La gerbe des forces, p.73

    « Les partis qui semblent si chrétiens [NdA : Le Zentrum] nous ont accusés de paganisme ; et alors qu’ils nous ont accusés de cela, nous avons accompli l’un des plus grands actes chrétiens de l’histoire du monde dans l’Agence de secours d’hiver ! »
    – Joseph Goebbels, Reden 1932-1945, p.211 (Helmut Heiber, 1971, S.856)

    « Il y a des gens qui prétendent qu’un miracle est arrivé à ce pays. Ce sont les mêmes personnes qui, tout au long de notre reconstruction politique nationale dans le Reich, n’ont jamais cessé de critiquer la direction nationale-socialiste, mais qui, lorsque leurs succès ne pouvaient plus être négligés, ont essayé de s’en sortir en disant que Hitler avait eu de la chance. Oui, eh bien, c’est le facteur décisif d’une politique. Enfin, il est plus agréable pour un peuple d’être gouverné par un gouvernement chanceux que par un gouvernement malchanceux en permanence, car on aurait dû supposer que nos adversaires avaient eu plus de chance que nous, parce qu’ils ont toujours prétendu que nous n’étions pas chrétiens, impies, païens et adorateurs de Wotan, et qu’ils étaient en revanche les représentants déclarés d’une vision chrétienne du monde croyante en Dieu, et basée sur la foi. Parfois, ils essayaient, pour ainsi dire, de donner l’impression que Dieu était une sorte de collègue de leur faction. »
    – Joseph Goebbels – Reden 1932-1945, pp.310-311 (Helmut Heiber, 1971, S.856)

    « Quand quelqu’un d’un parti opposé dit contre nous : « Vous êtes païens » ! Alors je peux seulement dire : Comment ça ? Sommes-nous si païens ? Est-il païen d’organiser un Winterhilfswerk [secours d’hiver] et donc de nourrir des millions de personnes ? Est-il païen de redonner sa tranquillité d’esprit à un peuple ? Est-il païen d’aider votre pauvre frère et votre voisin ? Est-il païen de restaurer les valeurs familiales ? Et aussi de redonner au travailleur un sens à sa vie ? Est-il païen de reconstruire un État sur des principes moraux, d’expulser l’impiété, de purifier le théâtre et le cinéma de la contamination et de la pollution du marxisme libéral juif ? Est-ce païen ? Si c’est païen, alors nous vous remercions pour un Christianisme qui a fait le contraire ! Les églises disent : « Il est dans votre programme de tenir religieusement sur un sol chrétien positif ». Oui c’est vrai ! Mais nous aimerions seulement souhaiter que les églises veuillent, tout comme nous sommes des chrétiens positifs sur le plan religieux, être nationales-socialistes positives sur le plan politique. À présent nous serons unis, alors rien ne nous séparera désormais. Nous ne voulons pas nous immiscer dans les églises. Aucun d’entre nous ne ressent le besoin d’être un politicien réformateur. Nous pensons plutôt aux choses terrestres. Nous ne nous préoccupons pas non plus de l’au-delà, mais de ce monde, alors nous voulons clairement distinguer ces deux sphères l’une de l’autre : l’une pourvoit au ciel et l’autre à la terre. Le mouvement national-socialiste n’a pas pris ses distances par rapport à cette ligne. Il n’a pas non plus l’intention de s’en éloigner. Il assure le bien-être de la population, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pour cela, il a besoin d’un peuple sain, fort et moralement supérieur. Il ne laisse rien au hasard dans sa tentative de rendre les gens sains, forts et moralement supérieurs. Il a déjà fait beaucoup de travail d’éducation pour ce peuple, et il a l’intention de poursuivre ce travail d’éducation. Il est donc absurde de nous dire aujourd’hui : « Vous avez dissous les autres partis, pourquoi ne pas dissoudre votre propre parti ? ». Les autres partis ont été dissous parce qu’ils étaient superflus, et notre parti reste parce que c’est nécessaire ! Quand on me dit : « Oui, nous sommes tous nationaux-socialistes » ! Alors je ne peux que donner la réponse : Je l’espère, j’entends bien le message, mais je manque de foi ! Mais que se passerait-il si : le mouvement national-socialiste n’est pas seulement là pour faire de tout le monde un national-socialiste, mais aussi pour apprendre à tout le monde à agir en national-socialiste ? Si tous les habitants d’une ville sont catholiques, l’Église catholique va-t-elle se dissoudre ? Alors dites aux prêtres : Eh bien, ils sont tous catholiques, que devrions-nous faire de l’Église ? Non, l’Église reste pour que les gens restent catholiques ! Et si tout le pays est national-socialiste : le parti reste, pour que les Allemands restent nationaux-socialistes ! »
    – Joseph Goebbels, Reden 1932-1945, pp.274-276 (Helmut Heiber, 1971, S.856)

    Charlemagne, symbole carolingien de la civilisation européenne et référence du IIIe Reich

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  • 11 commentaires




    Salut Florian, quelle PLS cosmique éblouissante, machalla ! Voici quelques citations supplémentaires dont j'ai découvert il y a peu, histoire d'alimenter la démystification. Crois-moi que tu ne vas pas être déçu, quant aux autres ; Noraj de mon débunkage : « Hitler a tout trouvé par la pratique du sacrifice intérieur. L'appel à la croix gammée, sans qu'il y ait à cela la moindre teinte d'occultisme, signifie cette découverte et cette adoption des grandes forces suprêmes, comme étant les seules régulatrices de la vie des sociétés. » - Alphonse de Châteaubriant, La gerbe des forces, p.73 « Les partis qui semblent si chrétiens [NdA : Le Zentrum] nous ont accusés de paganisme ; et alors qu'ils nous ont accusés de cela, nous avons accompli l'un des plus grands actes chrétiens de l'histoire du monde dans l'Agence de secours d'hiver ! » - Joseph Goebbels, Reden 1932-1945, p.211 (Helmut Heiber, 1971, S.856) « Il y a des gens qui prétendent qu'un miracle est arrivé à ce pays. Ce sont les mêmes personnes qui, tout au long de notre reconstruction politique nationale dans le Reich, n'ont jamais cessé de critiquer la direction nationale-socialiste, mais qui, lorsque leurs succès ne pouvaient plus être négligés, ont essayé de s'en sortir en disant que Hitler avait eu de la chance. Oui, eh bien, c'est le facteur décisif d'une politique. Enfin, il est plus agréable pour un peuple d'être gouverné par un gouvernement chanceux que par un gouvernement malchanceux en permanence, car on aurait dû supposer que nos adversaires avaient eu plus de chance que nous, parce qu'ils ont toujours prétendu que nous n'étions pas chrétiens, impies, païens et adorateurs de Wotan, et qu'ils étaient en revanche les représentants déclarés d'une vision chrétienne du monde croyante en Dieu, et basée sur la foi. Parfois, ils essayaient, pour ainsi dire, de donner l'impression que Dieu était une sorte de collègue de leur faction. » - Joseph Goebbels – Reden 1932-1945, pp.310-311 (Helmut Heiber, 1971, S.856) « Quand quelqu’un d’un parti opposé dit contre nous : "Vous êtes païens" ! Alors je peux seulement dire : Comment ça ? Sommes-nous si païens ? Est-il païen d’organiser un Winterhilfswerk [secours d’hiver] et donc de nourrir des millions de personnes ? Est-il païen de redonner sa tranquillité d’esprit à un peuple ? Est-il païen d’aider votre pauvre frère et votre voisin ? Est-il païen de restaurer les valeurs familiales ? Et aussi de redonner au travailleur un sens à sa vie ? Est-il païen de reconstruire un État sur des principes moraux, d'expulser l'impiété, de purifier le théâtre et le cinéma de la contamination et de la pollution du marxisme libéral juif ? Est-ce païen ? Si c'est païen, alors nous vous remercions pour un Christianisme qui a fait le contraire ! Les églises disent : "Il est dans votre programme de tenir religieusement sur un sol chrétien positif". Oui c’est vrai ! Mais nous aimerions seulement souhaiter que les églises veuillent, tout comme nous sommes des chrétiens positifs sur le plan religieux, être nationales-socialistes positives sur le plan politique. À présent nous serons unis, alors rien ne nous séparera désormais. Nous ne voulons pas nous immiscer dans les églises. Aucun d'entre nous ne ressent le besoin d'être un politicien réformateur. Nous pensons plutôt aux choses terrestres. Nous ne nous préoccupons pas non plus de l'au-delà, mais de ce monde, alors nous voulons clairement distinguer ces deux sphères l'une de l'autre : l'une pourvoit au ciel et l'autre à la terre. Le mouvement national-socialiste n'a pas pris ses distances par rapport à cette ligne. Il n'a pas non plus l'intention de s'en éloigner. Il assure le bien-être de la population, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Pour cela, il a besoin d'un peuple sain, fort et moralement supérieur. Il ne laisse rien au hasard dans sa tentative de rendre les gens sains, forts et moralement supérieurs. Il a déjà fait beaucoup de travail d'éducation pour ce peuple, et il a l'intention de poursuivre ce travail d'éducation. Il est donc absurde de nous dire aujourd'hui : "Vous avez dissous les autres partis, pourquoi ne pas dissoudre votre propre parti ?". Les autres partis ont été dissous parce qu'ils étaient superflus, et notre parti reste parce que c'est nécessaire ! Quand on me dit : "Oui, nous sommes tous nationaux-socialistes" ! Alors je ne peux que donner la réponse : Je l'espère, j'entends bien le message, mais je manque de foi ! Mais que se passerait-il si : le mouvement national-socialiste n'est pas seulement là pour faire de tout le monde un national-socialiste, mais aussi pour apprendre à tout le monde à agir en national-socialiste ? Si tous les habitants d'une ville sont catholiques, l'Église catholique va-t-elle se dissoudre ? Alors dites aux prêtres : Eh bien, ils sont tous catholiques, que devrions-nous faire de l'Église ? Non, l'Église reste pour que les gens restent catholiques ! Et si tout le pays est national-socialiste : le parti reste, pour que les Allemands restent nationaux-socialistes ! » - Joseph Goebbels, Reden 1932-1945, pp.274-276 (Helmut Heiber, 1971, S.856)


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    Dunke Kameraden, ces munitions font plus de dégâts que dans Counter-Strike. Un nouveau tour anti-complotiste va bientôt avoir lieu avec le relai de la réponse deus vultienne à PH : https://www.dailymotion.com/video/x7mxhzl


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    […] on peut préciser là aussi les refus internes au régime : de la franc-maçonnerie et de l’ésotérisme oriental par la même […]


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    […] […]


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    « Si un homme quelconque veut assurer la réalisation pratique d'une idée hardie dont la mise en œuvre lui paraît devoir être utile à ses contemporains, il devra tout d'abord chercher des partisans prêts à entrer en action pour soutenir ses desseins. Et si ces desseins se limitent à détruire le parti au pouvoir et à mettre fin à l'émiettement des forces, tous les gens qui se rallieraient à cette conception et qui proclameraient les mêmes intentions seraient du même parti, tant que le but n’aurait pas été atteint. Ce n'est que le plaisir de chicaner sur les mots et de faire ses grimaces qui peut pousser quelqu'un de ces théoriciens en perruques, dont les succès pratiques sont en raison inverse avec leur sagesse, à vouloir changer une étiquette en s'imaginant modifier ainsi le caractère de parti, que possèdent tous les jeunes mouvements. Au contraire : S'il y a quelque chose qui puisse nuire au peuple, c'est ce renversement avec des pures expressions germaniques anciennes qui ne cadrent pas avec les temps présents, et qui ne représentent rien de précis, mais peuvent facilement conduire à juger l'importance d'un mouvement sur le nom qu'il porte. […] D'ailleurs, j'avais déjà dû mettre en garde, comme je l'ai fait encore depuis, contre ces scoliastes « allemands populaires » ambulants dont l'œuvre positive est toujours égale à zéro et dont, par contre, la présomption dépasse toute mesure. […] Si quelqu'un s'est dépensé pendant quarante ans pour ce qu'il appelle une idée, sans avoir assuré à cette idée le moindre succès et sans avoir empêché la victoire de son adversaire, il a donné la preuve de son incapacité, du fait même de ces quarante ans. Le plus dangereux est que de telles créatures ne veulent pas entrer dans le mouvement comme simples membres ; ils prétendent être accueillis parmi les chefs, seul poste, à leur avis, que mérite leur activité antique et où ils sont disposés à la continuer. Mais malheur si l'on livre un mouvement jeune à de tels hommes ! Il en est comme d'un homme d'affaires : celui qui, en quarante ans, a laissé tomber à plat une grosse maison, est incapable de fonder une nouvelle affaire : de même un Mathusalem « raciste », qui vient d'une grande idée et qui l'a brûlée, est incapable de conduire un jeune mouvement nouveau. D'ailleurs, tous ces hommes ne viennent pas pour constituer une fraction du nouveau mouvement, pour le servir et pour travailler dans l'esprit du nouvel enseignement ; dans la plupart des cas, ils viennent assurer, une fois de plus, le malheur de l'humanité par application de leurs idées personnelles, cela sous la protection du jeune mouvement et grâce aux possibilités qu'il offre... Mais ce que peuvent bien être ces idées, c'est assez difficile à expliquer. La caractéristique de ces créatures, c'est qu'elles rêvent des vieux héros germaniques, des ténèbres de la préhistoire, des haches de pierre de Ger et de boucliers ; ce sont, en réalité, les pires poltrons qu'on puisse imaginer. Car ceux-là même qui brandissent dans tous les sens des sabres de bois, soigneusement copiés sur d'anciennes armes allemandes et qui recouvrent leur tête barbue d'une peau d'ours naturalisée, surmontée de cornes de taureau, ceux-là n'attaquent, quant au présent, qu'avec les armes de l'esprit, et s'enfuient en toute hâte dès qu'apparaît la moindre matraque communiste. La postérité ne s'avisera certainement pas de mettre en épopée leurs héroïques exploits. J'ai trop bien appris à connaître ces gens-là pour que leur misérable comédie ne m'inspire pas le plus profond dégoût. Leur façon d'agir sur les masses est grotesque, et le Juif a toute raison d'épargner ces comédiens « racistes » et même de les préférer aux champions du futur État allemand. Ajoutez à cela que ces hommes ont une présomption démesurée et qu'ils prétendent, malgré toutes les preuves de leur incapacité parfaite, comprendre tout mieux que personne ; ils sont une plaie pour ceux qui se battent honorablement droit devant soi et qui estiment qu'il ne suffit pas d'applaudir les actes héroïques du passé, mais qu'il convient aussi que leurs propres actions laissent à la postérité des souvenirs aussi glorieux. Parmi tous ces gens-là, il est souvent bien difficile de distinguer ceux qui agissent par bêtise profonde ou par incapacité et ceux qui agissent pour des raisons déterminées. C'est ainsi qu'en particulier, j'ai toujours eu le sentiment que les soi-disants réformateurs religieux, à la vieille mode allemande, n'étaient pas suscités par des puissances désirant le relèvement de notre peuple. En effet, toute leur activité s'emploie à détourner le peuple du combat commun contre l'ennemi commun qui est le Juif ; et, au lieu de le conduire à ce combat, elle l'engage dans de funestes luttes religieuses intestines. C'est justement pour cela qu'il était utile de doter le mouvement d'une force centrale pratiquant l'autorité absolue dans le commandement. C'est par ce moyen seul qu'il était possible d'interdire toute activité à ces éléments nocifs. Et c'est aussi pourquoi nos Assuérus racistes sont les ennemis les plus acharnés d'un mouvement caractérisé par son unité et par la rigoureuse discipline avec laquelle il est conduit. » (Mein Kampf, Tome I, Chapitre XII)


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    Citation fort pertinente, à laquelle il convient d'ajouter (pour le grand public) que les diverses occurences ici du mot « raciste », chaque fois employé péjorativement, sont une inexactitude de la traduction française (faite avec l'aide de ce qui deviendrait la LiCRA) ; c'était le mouvement « völkisch » que visait Hitler (par exemple : « 𝑐𝑒𝑠 𝐴𝑠𝑠𝑢𝑒́𝑟𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠 » ; dans le texte original : « 𝑑𝑖𝑒𝑠𝑒𝑟 𝑣𝑜̈𝑙𝑘𝑖𝑠𝑐ℎ𝑒𝑛 𝐴ℎ𝑎𝑠𝑣𝑒𝑟𝑒 »), c'est-à-dire ceux qu'en français on appellerait néo-païens.


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    Tout à fait, il convient bien de souligner que le vocable « völkisch » est très particulier. Il renvoie à signifier ce qui est propre au peuple et donc populaire, mais compris dans une perspective ethniciste. Traduit littéralement dans une langue néo-latine, ce serait du folklore, un terme qui, dans un pays comme le nôtre, serait relégué à un domaine très spécifique et non en phase avec la politique, de sorte que dans la version française de « Mein Kampf », « völkisch » est bien souvent associé et/ou remplacé par « raciste ». Bien qu'idéologiquement ils auraient un sens assez commun, « rassistisch » est une expression qu'Hitler utilisait rarement dans son pamphlet. Cependant, la conception völkisch était, aux yeux d'Hitler, éminemment équivoque. Selon lui, elle caractérisait un idéal vers lequel il fallait tendre, et dont l'application idéologique dans toutes les sphères vitales de la nation formerait son État organique, et ainsi, la communauté de destin. Elle signifiait la sauvegarde des caractères propres au peuple allemand : obéissance, ordre, discipline, respect de l'autorité, fidélité, honneur, amour et assiduité au travail autant manuel qu'intellectuel, propreté, pureté des mœurs. Cependant, les racialistes paganisants qui se sont accaparés un tel terme, furent, pour Hitler, tout à fait différents. Ils méritaient peu d'appréciation, voire du mépris en tant qu'ils ne furent que des pseudo-racistes, dont l'activité était en fin de compte strictement romantique. En bref, lorsque l’idée völkisch était confinée à la théorie, elle trouvait dans la prose d'Hitler une connotation nettement positive, mais lorsqu'il parlait de ses propagateurs ou de ses représentants, le ton devenait alors péjoratif. Au passage, par « Ahasver », Hitler se référait ici à un nom qui fut donné, à partir du 17ème siècle, au Juif errant condamné au sempiternel parasitisme pour avoir refusé au Christ marchant au supplice de se reposer sur le seuil de sa maison. « Ashaver » dérive effectivement d’Assuérus, qui était le nom du roi perse Xerxès Ier. Si ce dernier n'était pas juif, ce nom fut choisi parce que le Livre d'Esther décrit les Juifs comme un peuple apatride dispersé dans toutes les provinces du vaste empire achéménide. Il est donc clair qu’Hitler considérait, par cet antonomase, les néo-païens comme des juifs de synthèse, et rien ne saurait être plus véridique.


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    « Hitler avait dès le début été contre le sectarisme völkisch et avait même utilisé quelques mots sarcastiques à son encontre dans les assemblées. Dans son livre, il s'en est fortement distancé. Il était également quelque peu méfiant à l'égard de la préhistoire que j'ai toujours chérie. » (Alfred Rosenberg, Mémoires, p.96).


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    Merci pour vos précisions fort instructives, fort pertinentes et fort érudites. Je ne puis qu'applaudir en vous tirant mon chapeau.


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    Et je vous remercie à mon tour pour votre commentaire dithyrambique qui, je dois dire, me va droit au cœur telle une Ritterkreuz!


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    « Pensez-vous que si le Christ était soudainement apparu aujourd'hui et était entré dans le Landtag, le Fils de Dieu qui a proclamé l'amour éternel, et qu'il avait vu comment les représentants politiques du Parti populaire bavarois ont pris position pour l'abattage [casher] des animaux, il aurait probablement repris le fouet immédiatement. » (Adolf Hitler, extrait de son discours à Munich du 29 février 1928).


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