• Actualités sur le « Synode amazonien » par Fide catholica



    Bern-gogo au rendez-vous !

  • Fide catholica nous régale de quelques articles sur actualité du « Novus Ordo » au travers du « synode impie » sur l’Amazonie, païen en particulier, auquel s’est livrée la haute hiérarchie vaticane, celle qui prétend incarner la véritable Église du Christ. Il est révélateur de voir Bergoglio surfer sur la même vague que Macron contre le populiste Bolsonaro…
    Voici comme est présenté le site source « Guillaume Von Hazel a fondé Fide Catholica en 2015. Ayant fait des études de langues et de relations internationales, il s’occupe principalement de traductions, de rédaction de synthèses apologétiques et de commentaires d’actualités. Il est auteur du livre “Mystères de la Révolution”, paru en 2019 aux éditions du Collectif Saint Robert Bellarmin ».

    Voici un exemple de prompte et loyale application du magistère de la secte moderniste par ses fidèles authentiques. Si prompte que les célébrants que vous allez voir dans la vidéo plus bas ont même pris quelques heures d’avance sur le calendrier et ont célébré le « dimanche de la parole de Dieu » dès le samedi soir. C’est ce qu’on appelle du zèle ! Peut-être que nos amis du camp « R&R » devraient en prendre de la graine. Par la publication d’une lettre « apostolique » sous forme de moto proprio le 30 septembre dernier, à propos duquel nous avions produit une analyse, François a institué le 3e dimanche du temps ordinaire dans le calendrier conciliaire comme le « dimanche de la parole de Dieu ». À cette occasion, le pseudopape François a souhaité créer un « dimanche entièrement consacré à la parole de Dieu », « de façon particulière », pour « faire revivre à l’Église le geste du Ressuscité qui ouvre également pour nous le trésor de sa Parole afin que nous puissions être dans le monde des annonciateurs de cette richesse inépuisable ». Bien entendu, comme nous l’avions montré dans notre commentaire, il s’agit surtout de pratiquer ce témoignage au moyen de la « grande impulsion » et de la « nouvelle évangélisation » du concile œcuménique de Vatican 2, de la « redécouverte de la parole de Dieu par la constitution dogmatique Dei Verbum » et de l’exhortation « apostolique » Verbum Domini de Benoit XVI. Autant dire, par l’apostasie, le syncrétisme, le relativisme et l’impiété à gorge déployée. Et justement, on a pu assister dès ce samedi à une première mise en application de la lettre Aperuit Illis de François. Et cette mise en application est d’autant plus excellente, que les personnes qui y ont participé ont pu avoir la primeur de l’exemple pastoral de l’antipape lui-même, ce vendredi 4 octobre, au cours de cette cérémonie païenne à laquelle il a activement participé.

    Nos lecteurs et abonnés ont suivi avec nous les événements stupéfiants qui ont émaillé le week-end précédent l’ouverture, aujourd’hui lundi 7 octobre, du synode moderniste sur l’Amazonie. C’est évidemment en premier lieu l’incroyable acte d’idolâtrie à laquelle François a participé vendredi matin avec des membres de la curie moderniste et un groupe de militants indigénistes qui a choqué le monde entier. D’ailleurs, depuis cet événement scandaleux au cours duquel nous avons découvert la déité païenne inca du nom de Pachamama, la « Mère Terre », cette dernière n’a cessé de réapparaître pendant tout le reste de la fin de semaine. Comme par exemple au cours de cette « messe » Novus Ordo de samedi soir, dans l’église occupée de Santa Maria in Traspontina, pendant laquelle les militants indigénistes se sont employés à appliquer à fond le récent motu proprio de l’antipape argentin instituant un « dimanche de la parole de Dieu » sensé aider les simples laïcs à honorer la Sainte Ecriture. Naturellement, le sens de l’honneur, chez les modernistes, est tout relatif. Quant à Pachamama, elle était bien sûr présente à cette occasion.

    Le bilan de cette première semaine de synode amazonien est déjà bien chargé et les tendances majoritaires se dessinent sans surprise autour des thématiques principales de l’évènement. Que le lecteur ne soit pas surpris de voir, parmi les différentes illustrations et extraits vidéo des intervenants du synode, un certain relâchement vestimentaire : la plupart de ces gens ne sont pas de vrais prêtres ou de vrais évêques catholiques. C’est donc justice qu’ils aient délaissé leurs déguisements usuels pour apparaître pour ce qu’ils sont. Il faut dire que c’est véritablement l’esprit de Vatican 2 qui souffle à fond sur le Vatican occupé, aidé sans doute, par les pouvoirs magiques de l’idole amazonienne Pachamama. Retour vers le futur !

    Alors que le synode moderniste sur l’Amazonie est sur le point de s’ouvrir cette semaine, médias et personnalités du monde conservateur en union avec la secte Vatican 2 sont en ordre de bataille, échaudés, à juste titre, par les éléments manifestement hérétiques qui apparaissent dans l’ Instrumentum Laboris (instrument de travail), c’est-à-dire le document préparatoire à cet évènement. De façon stupéfiante, certains d’entre eux, comme le pourtant très prudent Michael Voris, se mettent à attaquer François frontalement et vont même jusqu’à remettre en cause la validité de son élection, pour cause d’hérésie. Le problème, c’est que les enseignements de François ou ceux de l’Instrumentum Laboris du synode amazonien n’ont rien de nouveau. Ils sont en parfaite conformité avec les doctrines de Vatican 2, que les précédents pontifes modernistes, comme Benoit XVI ou Jean-Paul II, ont toujours professé. Pourquoi alors se réveiller maintenant et surtout, quelles conclusions catholiques tirer ?

    Benoit XVI, le champion des conservateurs Novus Ordo, priant à la mosquée bleue d’Istanbul en direction de La Mecque avec des clercs mahométans.

    Représentation sud-américaine sur le sacrifice humain, encore pratiqué aujourd’hui par des païens en marge de leurs sociétés.
    Sainte Messe offerte par le père Henrique de Coimbra, missionnaire franciscain, sur la plage de Coroa Vermelha, dans l’actuel état de Bahia, le 26 avril 1500.

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