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Les évènements s’accélèrent depuis la révolte des Gilets Jaunes et le Pacte de Marrakech, du côté populaire comme celui étatique. La fermentation est là. Le projet peu altruiste réservé à sa population est rendu de plus en plus public. Idem, concernant la Loi de censure du net (étatique française et structurelle européenne), la fin de toute « White Pride » via Facebook alors même que les « Black Pride » et « Gay Pride » y sont tenues en révérences. C’est à cette offensive à laquelle nous assistons et qui est révélatrice de qui est ciblé comme ennemi principal.
Les quelques débats de début avril dans le cadre des élections européennes ont été proprement hallucinants, seuls les thèmes de « racisme et d’homophobie » étaient retenus, plus rien n’existe d’autres dans le monde, même pas les rivières, l’oxygène et les oiseaux. Tout ça, on s’en fout. Juste « racisme et homophobie ». Deux plus deux font combien ? Racisme et homophobie. Il ne reste que racisme et homophobie dans la vie. Vous avez compris ? Racisme et homophobie ? Merci. Dans d’autres époques et d’autres contextes, l’Union Européenne aurait pu représenter une véritable force unificatrice, mais au lieu de cela les peuples européens sont brimés chez eux…, ces agents ne sont finalement que des échappés de l’hôpital parisien psy de Saint-Anne, élargie à échelle nationale et européenne. Bref, passons.
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« La postérité vous maudira » voilà comment se conclut le dernier discours historique de Jean-Marie Le Pen au Parlement Européen. Tel un chant du cygne ! Même en mode épave âgé il lui reste suffisamment de Points de Vie pour empêcher les mondialistes de dormir sur leurs deux oreilles, et une certaine force d’attaque afin d’expédier ces horribles gobelins dans le Valhalla des satanistes. Certes cet homme aura toujours été celui qui a un pied dans le système, mais avec un pied au-dehors ce qui lui donna une liberté que toutes les autres lavettes n’ont jamais eue et lui envie bien secrètement. Une liberté que n’auront jamais ni sa fille ni sa nièce.
Jean-Marie a raison de dénoncer que l’UE est un carcan anti-européen au sein même de l’Europe par sa structure oppressive. Et pour lui répondre sur le fond, il faut préciser plus exactement qu’un nationalisme qui s’oppose à un autre nationalisme (ou plutôt un patriotisme excessif) : oui c’est en effet la guerre que cela provoque, admettons-le. Notons cependant que vous pouvez être auto-proclamés « mondialistes » et les guerres continueront quand même, par voie de conquête, géopolitique et financière comme nous le voyons encore au Moyen-Orient et à l’Est. Ainsi, la paix sociale absolue n’est qu’une illusion. L’excès peut être d’un côté comme de l’autre, ça ne condamne en soi ni le principe de nation ni le principe d’universel. Il faut tenir compte de ces choses-là pour être réaliste.
Ceci dit, ce discours plaisant ne nous fera pas oublier que Monsieur est un des responsables de la situation : pour ne pas avoir voulu incarner le pouvoir, et également en plaçant sa mégère à la tête de la dynastie structurelle Front National depuis renommée pour se laver de son héritage fascisant. Aussi, dès lors qu’il a sincèrement cru aux principes de la démocratie moderne vers les années 1990 il est demeuré beaucoup plus infécond… Loin est le temps où il lisait Jacques Ploncard d’Assac.
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Ce à quoi nous assistons n’est jamais que le résultat de la politique du tribunal de Nuremberg de 1945 qui interdit au « mâle blanc cisgenre » (sic) son droit même à exister et à être lui-même. C’est-à-dire être culturellement fasciste, car son déterminisme l’y pousse, impliquant différentes normes culturelles dont le national-socialisme n’est qu’une expression naturelle lorsqu’il est poussé dans ses retranchements par une situation de crise. Et cela est aussi sûr, que toute la haine future prononcée par nos ennemis politiques à l’annonce du décès de M. Le Pen sera en réalité une haine tout adressée aux Français blancs pour ce qu’ils sont et seront.
L’UE aurait pu être toute autre chose si elle avait été faite par « l’Axe » comme il était prévu selon l’agenda de quelques éléments du IIIe Reich moins pangermanistes (ou intra-germanistes dénoncé par José-Antonio Primo de Rivera pour ne pas assumer leur principe impérial plus large) et les fascistes de Gabriele d’Annunzio. Il se serait agi de bander les énergies nationales de notre continent pour se sortir d’une menace continentale, répétitive et éternelle. Que le scénario de sa mort (structurelle et physique) soit plausible ne doit pas nous faire omettre que l’Europe, qui n’est pas la même échelle qu’un pays européen et donc pas de même nature, doit se doter d’une communauté de destin pour mieux se défendre collectivement des assauts qui lui font face. Au final, les listes populistes ont compris cela au moins inchoativement : disons que c’est un début de lucidité, compréhension de manière incomplète, mais effective en puissance. Les pays qui composent l’Europe avant d’être particuliers sont issus d’une même variation, celle Européenne de l’humanité. Les nationalismes quand ils ne sont pas dans l’excès loin d’être anti-universels : il complète l’universalité. L’État en France parle de mauvais complotisme sur le Grand Remplacement migratoire alors même que les documents officiels de l’UE et de l’ONU en traite à ciel ouvert et que les choses sont visibles dans n’importe qu’elle quartier ou commune de plus de 3000 habitants ; et eux ne se gênent pas pour faire du complotisme de bas étage lorsqu’ils disent qu’Orbàn, Poutine et Salvini financent en ligne directe les Gilets Jaunes.
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Pour terminer le propos, en fin de députation européenne Bruno Gollnish y a aussi ajouté son grain de sel. Il dénonce à juste titre la dictature de l’UE-RRS, formule bien trouvée et exacte au faire et à mesure que se radicalise face aux peuples cette structure supra-nationale. Il dénonce une ambiance luciférienne et il sait bien de quoi il parle, ayant vue de près ces agents déconnectés des réalités tant géographiques, que sociales et économiques. La réponse sera intra-européenne et identitaire, et au moment de la radicalisation de l’UE les deux hommes dégagent, définitivement : chose curieuse et qui tombe à point nommé ! Idem pour le sinistre Florian Philippot.
Pour retrouver un peu d’Europe dans ce marasme. Voici les bonnes citations de l’empereur Charles Quint, champion de la religion catholique admis par les historiens et dernier Grand Empereur des monarchies européennes :
« Je parle espagnol à Dieu, italien aux femmes, français aux hommes et allemand à mon cheval.» « J’ai appris l’italien pour parler au pape ; l’espagnol pour parler à ma mère ; l’anglais pour parler à ma tante ; l’allemand pour parler à mes amis ; le français pour me parler à moi-même. » « La langue française est langue d’État, la seule propre aux grandes affaires. » « Paris n’est pas une ville, c’est un Monde. » « Il faut être maître de soi pour être maître du monde. » « Sur mon empire le soleil ne se couche jamais. »
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