• Mythe de Siegfried et la jeunesse du IIIe Reich



    Augustin, éléments de culture germanique

  • Avertissement : Nous informons le lecteur que nous ne sommes ni les auteurs ni responsables des
    propos qui vont suivre, dans ce document « paganisant » pour l’histoire.

    Le Mythe de Siegfried et la jeunesse du IIIe Reich.

    EXTRAIT DE L’OUVRAGE ”GUERRE AUX JUIFS”

    « La jeunesse du IIIe Reich, comme Siegfried dans la forêt, s’efforce victorieusement par le retour à la terre, par le contact personnel et profond avec le sol natal, de se refaire corps et âme. Ce n’est pas seulement pour leur santé physique que les citadins, les étudiants, les ouvriers, les « intellectuels » sont obligés, par le « Service du Travail », de venir retremper dans les grands courants de santé qui se dégagent des forêts, des torrents, des montagnes aux horizons sans limites. La nouvelle vénération dont les jeunes allemands, à l’exemple de leurs ancêtres germains et nordiques, entourent les Grandes Forces de la nature, le vent, l’arbre, les eaux courantes n’est pas un « sport » où des athlètes parfois aussi abrutis que spécialisées pourchassent les primes et les cinquièmes de seconde, c’est un éveil, un élan vers le beau, le vrai, l’orgueil de l’homme enfin libre sous le ciel libre… et l’on voudrait mêler le boursier Juif à tout cela ?…
    Siegmund a légué son épée rompue à son fils Siegfried la confiant à la garde de la Walkure, cette vestale germanique de l’Honneur et du Devoir.
    Le jour où le jeune Siegfried en reçoit les morceaux, il se trouve aussi, dans les ombres du Monde souterrain, des gnomes aux doigts crochus pour lui conseiller d’en rajuster les morceaux au petit bonheur.
    Mais écartant les nains « Maîtres du mensonge et Princes des Ténèbres », le héros part dans la forêt abattre le frêne géant qui allumera le feu de sa forge. Dans la caverne de Niebelung, il peine et souffre, s’épuisant en efforts prodigieux, malgré les clameurs de réprobation de Mime le Fourbe, pour limer le glaive brisé, et c’est alors seulement qu’il entreprend de reforger l’Epée. L’ancien glaive de Siegmund s’est
    brisé un jour de Détresse, ” le nouveau glaive portera ce même nom « Nothung » soit « Détresse », tel il a besoin de passer par l’épreuve du feu, et le jeune Germain plonge son acier allemand au cœur du feu de forge.
    Alors s’élève, pivot de la tragédie Wagnérienne, le majestueux Chant de l’Epée. Tandis que le Héros pendu des deux mains au soufflet de forge déchaine la tempête dans le brasier, l’acier entre en fusion, et à sa surface montent les scories, les crasses et les souillures, cependant que Siegfried chante à pleine gorge, dans la fierté de sa force et la pureté de sa jeunesse, l’Epée qui naît.
    Bientôt, toujours chantant et joyeux, il va forger de son bras puissant le lingot d’acier rouge-blanc. A quinze cents ans d’intervalle, les forgerons Allemands chantent aujourd’hui les couleurs du drapeau :

    « Noir est le Charbon
    Blanc est l’Amour
    Rouge rougeoie l’Acier en fusion… »

    Et Siegfried, le preux forge, martelant à pleine force l’Epée sur l’enclume, tandis qu’à chaque gerbe d’étincelles refluent vers les ténèbres dont ils sont sortis les gnomes aux mains avides, « gardiens des trésors », Mime le Menteur et Albéric le Noir, jusqu’à ce qu’il se dresse enfin, debout dans l’orgueil de sa foi et de ses seize ans, dressant vers le ciel l’arme nouvelle qui le fait l’égal des autres Héros, l’Epée Vierge forgée de sa main.
    Pour l’Allemagne Nationale-Socialiste, le Mythe de Siegfried a pris une signification profonde. Elle aussi, née dans le Détresse, a repris en main les morceaux du glaive, et à l’image du Héros de sa légende, elle n’a pas chercher à les réajuster en quelque assemblage précaire. Pour redonner de la « race » au métal, elle l’a plongé au cœur de la fournaise, et la crasse juive s’est mise à bouillonner, tandis que les gnomes juifs, terrifiés, refluaient hors de la vie et du sol allemands. Aujourd’hui, devant le monde ébloui par le feu et alerté par le Chant de la Forge, la jeune Allemagne redevenue l’égale des forts brandit à la face de tous l’arme qu’elle a forgée au prix de tant de sacrifices et réclame le respect et l’égalité parmi les Nations.
    Qui n’a point vu les jeunesses du Reich suivre, haletante d’émotion, le symbole Wagnérien, tandis que le Héros chante sur la scène la beauté de la vie et que, dans l’ ”Abîme mystique ” de l’orchestre, passent en
    frissonnant les leit motifs de la Détresse, de la lutte, de la forge, de l’or, et du feu, jusqu’à l’heure où éclate orgueilleuse et sacrée la phrase de l’Epée, peut encore nourrir des illusions sur un revirement possible du
    racisme.
    Mais qui a vu une fois ces adolescents suivre, à ”pleine âme” si l’on peut dire, le drame Wagnérien dont le symbole est devenu le leur, qui a regardé leurs yeux et vu leurs faces n’a plus la moindre illusion : le Juif n’a plus rien à faire en Allemagne.
    Si d’autres Nations, une fois le feu éteint et l’Epée forgée, désirent récupérer les scories et le mâchefer, l’Allemagne n’y voit pas le moindre inconvénient. Elle a épurer le métal de l’âme de ses Pères, et attend avec sérénité le jour prochain où , à son exemple, ceux des peuples de la Terre qui méconnaissent et critiquent à l’heure actuelle son œuvre de précurseur se verront contraints, inévitablement ( et sans doute sous une forme plus brutale encore) de procéder à la même opération. »


  • Vous avez aimé cet article ? Partagez-le sur les réseaux sociaux !