Sixième Heure de Jean-Jacques Doucet aux éditions Saint Rémi – Dionysos Andronis

“Sixième Heure” de Jean-Jacques Doucet

          éditions Saint-Rémi, France, 2014

         Avec son deuxième roman ci-dessus, l’ex-Colonel Jean-Jacques Doucet, ayant combattu pendant la guerre d’Indochine, nous prouve qu’il a un talent incontestable de romancier, et c’est heureux.

Son premier roman s’intitulait “Café Sucre” et il était édité par une maison d’édition morte aujourd’hui. Nous avons été un peu surpris de constater que notre “éditeur préféré”, Bruno Saglio n’est pas seulement antisioniste, mais (pour nous les Grecs qui avons subi l’occupation ottomane pendant de nombreux siècles) anti-islamique aussi ; et la lecture de ce roman est tombée pendant l’attentat à Strasbourg (quatre années après l’édition de cet ouvrage) commis par le musulman intégriste radical Cherif Chekatt.

L’auteur nous avait confié : “J’ai écrit “La Sixième Heure” suite à diverses expériences vécues sur le terrain et – essentiellement – à la lecture du Coran qui est une véritable atteinte à nos lois issues de nos Évangiles. La conclusion de ce roman tient des événements d’aujourd’hui ; elle les a même devancés. Il est vrai que ce ne fut pas une surprise, puisque tout était écrit. La surprise vint surtout du lâche silence de nos institutions”.

Le chevalier Miguel Cordobès chevauche l’Espagne et la France (encore Francie à cette époque) afin de mener une bataille sans merci contre les envahisseurs musulmans. Son ami troubadour Godfrey De Coeurjoie (joli nom de héros) récite ses poèmes tout en suivant le trajet du Seigneur Cordobès.

Les références à la Grèce Ancienne commencent dès la page 8 et Socrate établit la “maïeutique indolore et soucieuse de belles choses” (op.cit.pp.8-9). De plus, sur la page 165 et au début du chapitre “Nos Pères les Grecs” la même phrase est répétée pour une deuxième fois et cela est une preuve qu’en aspirant à la Grèce Ancienne nous trouverons la voie de libération du joug islamiste qui nous supprime comme peuples européens jusqu’à aujourd’hui – et depuis le neuvième siècle.

La sixième heure serait celle qui sonne la mort des Européens et qui sera suivie par les trois autres : la septième heure serait celle de la mort de l’Europe, la huitième heure serait celle de sa mise au tombeau et la neuvième heure celle de la Résurrection du peuple européen et chrétien.

Le grand romancier que voilà nous avait demandé, en décembre 2018 quand nous l’avions contacté : “Et si nous rajeunissions un peu ?” Cette question résume le très beau contenu de son roman puisqu’avec cette question, il sous-entend que notre Renaissance sera effectuée si nous nous débarrassions de ce processus d’islamisation mortelle commencé il y a bien longtemps. Avec le sang qui coulera cette fois pour les idéaux de nos Ancêtres Grecs !

 Écrit par Dionysos ANDRONIS.