• Nouvelle mise au point anti-conspi’ tarés



    Corrélation n’est pas causalité

  • Quelques rappels et ajouts pour commencer :

    Non, aux cabinets de conseil conspi’ !

    Ses adeptes ont une explication très simplifiée dans leur « vision du monde », jouent à se faire peur afin de vivre quelques émotions, tout en se donnant de l’importance vis-à-vis de leurs suiveurs, sans les élever, et ce, également en se rassurant d’être de grands « sachants »…

    N’étant généralement pas des femmes, ils sont contraints de produire un peu de « logos » foireux, afin de vendre et de se vendre.

    Aussi, ils se plantent dans leur étiologie du mal, car ils absolutisent le Mal. Toute leur attention va au Diable, au lieu d’agir pour le Bien commun et pour Dieu. Le moindre clampin laïc se transforme en giga démon surpuissant et paralysant…

    -*-

    Le point commun, étonnant ou non, entre le conspi’ et l’ésotériste, est qu’il croit que le monde n’est qu’un monde d’apparence. Pourtant, ces premiers estiment souvent combattre les seconds (généralement francs-maçons). Il s’agit de tomber dans la gnose de Matrix/Balzac, et de se « matrixer » soi-même.
    Pour ce faire, ils se font frères ennemis.

    Il y aurait un monde simulacre et le monde réel.
    Or, il n’y a qu’une seule réalité.

    -*-

    Corrélation et causalité ?

    L’angle d’attaque du jour se situera au niveau de la corrélation, qui n’est pas causalité, quand corrélation il y a, déjà !

    La distinction entre corrélation et causalité est essentielle dans le raisonnement scientifique, mais aussi dans la vie quotidienne. Pourtant, beaucoup tombent dans le piège de les confondre, une erreur qui est souvent exploitée, notamment dans les théories complotistes et certaines formes de pensée mécanique ou dite intuitive.

    1. Corrélation vs causalité : comprendre la différence

    La corrélation décrit une association ou une relation entre deux événements ou phénomènes : lorsque l’un change, l’autre semble changer aussi. En revanche, la causalité implique une relation de cause à effet, c’est-à-dire que le premier événement (la cause) est responsable de l’occurrence du second (l’effet).

    Par exemple, il pourrait y avoir une corrélation entre la consommation de glace et les coups de soleil : plus la consommation de glace augmente, plus les cas de coups de soleil augmentent. Cependant, il serait absurde de conclure que manger de la glace cause des coups de soleil. En réalité, un facteur tiers est en jeu : les journées ensoleillées (chaleur) entraînent à la fois une plus grande consommation de glace et une exposition accrue au soleil.

    Lorsque l’on est en position d’accusateur également, comme c’est souvent leur cas, c’est à celui qui accuse d’apporter la charge de la preuve.
    Ainsi, les « qui ne dit mot consent », ou les « vous ne m’avez pas répondu, donc vous êtes démasqués, vous êtes juifs » ne constituent en aucun cas des preuves absolus.

    2. Le piège de la Corrélation Trompeuse

    Le fait de confondre corrélation et causalité constitue une erreur logique appelée en latin post hoc ergo propter hoc (après cela, donc à cause de cela). Cela conduit à des raisonnements fallacieux, notamment dans les théories du complot où des corrélations superficielles sont souvent prises pour des preuves de causalité.

    Prenons l’exemple d’un événement mondial (comme une crise économique). Un esprit complotiste pourrait repérer une corrélation entre un événement anodin (comme un discours politique ou un changement technologique) et l’émergence de la crise. En ignorant les multiples facteurs complexes et les causes profondes, ces théories simplifient à outrance, reliant de manière trompeuse deux événements, sans fondement réel.

    3. Le risque des corrélations fausses

    Il est crucial de comprendre que certaines corrélations peuvent être totalement fausses ou n’avoir aucune signification.
    Cela a été largement démontré par l’humoriste et mathématicien Tyler Vigen, qui a mis en évidence des corrélations absurdes, mais mathématiquement valides entre des données sans aucun lien (par exemple, la consommation de fromage par habitant et le nombre de personnes mortes en tombant de leur lit). Cela montre qu’il est facile de trouver des liens entre des phénomènes, mais que ces corrélations n’ont aucun sens causal.

    Cette réalité met en lumière un problème central dans les théories complotistes ou certaines formes de pensée mécanique : une mauvaise interprétation des données. Les complotistes se basent souvent sur des corrélations superficielles pour justifier des idées préconçues, en ignorant les analyses rigoureuses, la méthode scientifique, ou l’existence de facteurs cachés (ce que fait, à sa différence, le révisionnisme avec son investigation de terrain et comparaison des preuves).

    4. Système de pensée complotiste : modèle machinal et réductionniste

    Le complotisme s’appuie sur un modèle de pensée simpliste et réductionniste qui cherche à trouver des explications immédiates et rassurantes à des phénomènes souvent complexes. Cette vision du monde est linéaire et ignore – ne s’embarrasse pas de – la diversité des causes, des influences, et des contextes. Le complotiste perçoit une corrélation (souvent fortuite) entre deux événements et la transforme automatiquement en causalité, comme si tout était directement relié par un plan global précis, retirant par là, toute variable humaine/instable dans ce projet.

    Un autre aspect réducteur de cette pensée est qu’elle tend à ignorer la complexité de la réalité sociale, scientifique ou économique. Un complotiste cherchera des « agents responsables » (des groupes industriels…) et verra des motifs cachés derrière chaque corrélation, là où l’incertitude et les multiples variables interagissent réellement. Ce mécanisme de pensée remplace une analyse rationnelle par une interprétation machinale où tout doit avoir un lien direct et intentionnel.

    5. La bonne science comme rempart

    La méthode scientifique est conçue pour tester rigoureusement les hypothèses de causalité et pour écarter les corrélations trompeuses ou non pertinentes. Dans une étude sérieuse, les chercheurs (pour autant qu’ils soient bien éclairés, certes !) s’assurent qu’un lien causal est prouvé par des expériences répétées, des contrôles et des tests statistiques rigoureux.

    Le complotisme, par contraste, repose souvent sur des raccourcis cognitifs et des biais de confirmation. Ce dernier est le phénomène par lequel on privilégie les informations qui confirment une croyance préexistante, en rejetant celles qui la contredisent. Un esprit scientifique est, au contraire, ouvert à la remise en question et cherche à réfuter les hypothèses plutôt qu’à les renforcer de manière biaisée.

    6. Conclusion : vigilance critique

    Il est essentiel de comprendre que la corrélation n’est pas la causalité, et qu’une corrélation peut même être complètement fausse ou insignifiante. Adopter cette vigilance critique face aux corrélations permet d’éviter les raisonnements fallacieux et les conclusions hâtives.

    La rigueur scientifique, la prise en compte de la complexité des facteurs en jeu, et l’acceptation que certaines choses peuvent être multi-factoriellement causées sont des armes intellectuelles efficaces contre le simplisme trompeur de la pensée complotiste.

    Pour résumer, corréler ne veut pas dire causer, et être prudent face aux corrélations fortuites nous permet de garder un raisonnement rationnel, fondé sur des preuves solides et non sur des interprétations faciles ou erronées.


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  • 7 commentaires




    Cette énième clarification est roborative, je ne puis qu’applaudir à ces développements qui, disons-le, démolissent et ruinent épistémologiquement ce tropisme pernicieux. Bien que je ne sois guère cinéphile, je ferai, en passant, remarquer que l'œuvre « Matrix », à laquelle ces demeurés se réfèrent à tire-larigot en entendant jouer les rebelles en plastique mâché et se donner l'illusion d'être « éveillés » aux tréfonds de leur piaule, est le plus grand canular du siècle par lequel le système a pu manœuvrer pour les orienter justement dans la direction qu'il souhaitait leur infuser quand bien même ils pourraient s'imaginer en vain lutter contre. Il n'y a qu'à en décomposer les messages dits « subliminaux » pour s'en convaincre, ceux-ci sont omniprésents : Alors que les esclaves, c'est-à-dire les gens du quotidien, les personnes inconscientes, se trouvent exclusivement représentés par des Blancs moyens et citadins, nous avions en contrepartie une flopée de métèques en guise de « résistants » à cette dystopie, et dont le meneur se trouve être un nègre nommé Morpheus (parmi eux, le seul traître est évidemment un Blanc, et sera mis à mort par un autre nègre). Dans la dernière scène, le protagoniste Neo (interprété par un eurasien), qui est en quelque manière le messie - le sauveur de l'humanité -, vient diffuser une retransmission téléphonique annonçant aux spectateurs le monde libre auquel ils doivent aspirer : un univers sans frontière avec un gouvernement mondial ; ce qui est la finalité de la matrice même. Voilà donc à quel type d'horizon s'identifient nos débiles conspirationnistes, lesquels sont victimes d'un insondable mirage dont deux producteurs juifs et transsexuels ont projeté à l'attention d'innombrables idiot utiles, leur faisant embrasser la cause mondialiste tout en les persuadant qu'ils la combattraient ; c'est un comble ! C'est aussi la raison pour laquelle nombre d'anarchistes (pendant gauchiste du complotisme) se croient « opposés » au système : ces déficients mentaux, obstinément nourris par la propagande exhalée par ce film, s'imaginent que l'hyperclasse mondiale - qui est cosmopolite comme eux - serait foncièrement « raciste », et par-là même inclinerait à « diviser » l'humanité (absurdité totale puisque nous sommes tous déjà divisés par nature en ce que ce sont nos particularismes qui nous distinguent les uns des autres ; la devise « divide et impera » de Philippe II de Macédoine a été manifestement sujette à une interprétation fort erronée par tous ces bons à rien), et croiront ainsi récalcitrer, en faisant en réalité exactement ce que l'oligarchie attend d'eux à son profit, c'est-à-dire concourir à l'uniformisation du monde. Du reste, gageons que cet article fasse date, il revêt une tournure universitaire, et vient en effet réprimer la jactance et la superbe des maniaques qui croient tout savoir, bien que la plupart du temps vaniteux et incultes, en prenant autrui de haut, quand on ne sacrifie pas à leur délire. En parlant de corrélation faussée, on a aussi coutume par exemple d'établir une liaison entre l'effondrement boursier de 1929 et l'ascension d'Adolf Hitler, sous prétexte que ce premier ait atteint une ampleur ayant impacté la situation politique et sociale en Occident, de sorte qu'en provoquant une situation de crise, on voudrait ainsi signifier que la FED eût en conséquence délibérément permise le triomphe de l'hitlérisme, au point d'en devenir la cause. Seulement, on omet ou affecte d'ignorer que cette hyperinflation résulte d'abord d'une surproduction et d’une spéculation de masse financée par le crédit pour satisfaire la demande accrue des pays européens, qui étaient largement absents en tant que producteurs en raison de la guerre, qu'à la fin de celle-ci, lorsque la demande a diminué, il y eut alors une offre excédentaire ayant entraîné une baisse significative des prix avec une saturation du marché mondial. Ensuite, le rapport de cette crise sur le retentissement qu'elle eut sur la victoire nationale-socialiste n'est que contingente. En vérité, cette dernière a bien plus été motivée par le péril communiste qui n'avait cessé de faire rage, en simultané de la hausse du chômage, et la faiblesse des conservateurs face à toutes ces péripéties qui permit ensuite l'accès d'Hitler aux commandes par un pouvoir de transition. Comme nous le voyons ici, les complotistes instrumentalisent un phénomène duquel Führer n'a bénéficié que partiellement, mais surtout à titre indirect (corrélation), et prêtent à ce même phénomène le rôle pivot (causalité) qu'il n'a pas, pour expliquer cursivement la conquête du pouvoir des NS. Il ne faut pas oublier que c’est toute la droite radicale qui est entraînée dans cette fange à chaque fois, car la plupart des théories viennent de là, c’est à se demander si les conspirationnistes ne seraient pas sponsorisés pour discréditer tout un courant de pensée (même s'il est vrai que beaucoup de pseudo-lanceurs d'alerte et autres vidéastes de pacotille qui leur tiennent de représentants se trouvent souvent être des agents pur jus - songeons aux deux hébreux Pierre Jovanovic et Lucien Cerise -, quand il ne s'agit pas de cas d'asile tels Laurent Glauzy, Oleg et Amalek, ou tout simplement d'escrocs avides et bourgeois comme Pierre Hillard). Je le répèterai à satiété, tant que nous serons incapables d’avoir un discours rationnel et sain (ce qui n’exempte pas en outre de radicalité), nul ne nous prendra au sérieux. Merci encore Florian pour ce salubre et salutaire article, il insuffle un peu d’espoir à ceux qui s’efforcent de rester honnêtes et lucides. La raison est peut-être ridicule pour les amateurs du complot, mais elle est au moins universelle et capable de faire communier tous les esprits dans une vérité attestée.


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    […] Nouvelle mise au point anti-conspi’ tarés Cette énième clarification est roborative, je ne puis qu’applaudir à ces développements qui, disons-le, démolissent et ruinent épistémologiquement ce tropisme pernicieux. Bien que je ne sois guère cinéphile, je ferai, en passant, remarquer que l’œuvre « Matrix », à laquelle ces demeurés se réfèrent à tire-larigot en entendant jouer les rebelles en plastique mâché et se donner l’illusion d’être « éveillés » aux tréfonds de leur piaule, est le plus grand canular du siècle par lequel le système a pu manœuvrer pour les orienter justement dans la direction qu’il souhaitait leur infuser quand bien même ils pourraient s’imaginer en vain lutter contre. Il n’y a qu’à en décomposer les messages dits « subliminaux » pour s’en convaincre, ceux-ci sont omniprésents : Alors que les esclaves, c’est-à-dire les gens du quotidien, les personnes inconscientes, se trouvent exclusivement représentés par des Blancs moyens et citadins, nous avions en contrepartie une flopée de métèques en guise de « résistants » à cette dystopie, et dont le meneur se trouve être un nègre nommé Morpheus (parmi eux, le seul traître est évidemment un Blanc, et sera mis à mort par un autre nègre). Dans la dernière scène, le protagoniste Neo (interprété par un eurasien), qui est en quelque manière le messie – le sauveur de l’humanité -, vient diffuser une retransmission téléphonique annonçant aux spectateurs le monde libre auquel ils doivent aspirer : un univers sans frontière avec un gouvernement mondial ; ce qui est la finalité de la matrice même. Voilà donc à quel type d’horizon s’identifient nos débiles conspirationnistes, lesquels sont victimes d’un insondable mirage dont deux producteurs juifs et transsexuels ont projeté à l’attention d’innombrables idiot utiles, leur faisant embrasser la cause mondialiste tout en les persuadant qu’ils la combattraient ; c’est un comble ! C’est aussi la raison pour laquelle nombre d’anarchistes (pendant gauchiste du complotisme) se croient « opposés » au système : ces déficients mentaux, obstinément nourris par la propagande exhalée par ce film, s’imaginent que l’hyperclasse mondiale – qui est cosmopolite comme eux – serait foncièrement « raciste », et par-là même inclinerait à « diviser » l’humanité (absurdité totale puisque nous sommes tous déjà divisés par nature en ce que ce sont nos particularismes qui nous distinguent les uns des autres ; la devise « divide et impera » de Philippe II de Macédoine a été manifestement sujette à une interprétation fort erronée par tous ces bons à rien), et croiront ainsi récalcitrer, en faisant en réalité exactement ce que l’oligarchie attend d’eux à son profit, c’est-à-dire concourir à l’uniformisation du monde. Du reste, gageons que cet article fasse date, il revêt une tournure universitaire, et vient en effet réprimer la jactance et la superbe des maniaques qui croient tout savoir, bien que la plupart du temps vaniteux et incultes, en prenant autrui de haut, quand on ne sacrifie pas à leur délire. En parlant de corrélation faussée, on a aussi coutume par exemple d’établir une liaison entre l’effondrement boursier de 1929 et l’ascension d’Adolf Hitler, sous prétexte que ce premier ait atteint une ampleur ayant impacté la situation politique et sociale en Occident, de sorte qu’en provoquant une situation de crise, on voudrait ainsi signifier que la FED eût en conséquence délibérément permise le triomphe de l’hitlérisme, au point d’en devenir la cause. Seulement, on omet ou affecte d’ignorer que cette hyperinflation résulte d’abord d’une surproduction et d’une spéculation de masse financée par le crédit pour satisfaire la demande accrue des pays européens, qui étaient largement absents en tant que producteurs en raison de la guerre, qu’à la fin de celle-ci, lorsque la demande a diminué, il y eut alors une offre excédentaire ayant entraîné une baisse significative des prix avec une saturation du marché mondial. Ensuite, le rapport de cette crise sur le retentissement qu’elle eut sur la victoire nationale-socialiste n’est que contingente. En vérité, cette dernière a bien plus été motivée par le péril communiste qui n’avait cessé de faire rage, en simultané de la hausse du chômage, et la faiblesse des conservateurs face à toutes ces péripéties qui permit ensuite l’accès d’Hitler aux commandes par un pouvoir de transition. Comme nous le voyons ici, les complotistes instrumentalisent un phénomène duquel Führer n’a bénéficié que partiellement, mais surtout à titre indirect (corrélation), et prêtent à ce même phénomène le rôle pivot (causalité) qu’il n’a pas, pour expliquer cursivement la conquête du pouvoir des NS. Il ne faut pas oublier que c’est toute la droite radicale qui est entraînée dans cette fange à chaque fois, car la plupart des théories viennent de là, c’est à se demander si les conspirationnistes ne seraient pas sponsorisés pour discréditer tout un courant de pensée (même s’il est vrai que beaucoup de pseudo-lanceurs d’alerte et autres vidéastes de pacotille qui leur tiennent de représentants se trouvent souvent être des agents pur jus – songeons aux deux hébreux Pierre Jovanovic et Lucien Cerise -, quand il ne s’agit pas de cas d’asile tels Laurent Glauzy, Oleg et Amalek, ou tout simplement d’escrocs avides et bourgeois comme Pierre Hillard). Je le répèterai à satiété, tant que nous serons incapables d’avoir un discours rationnel et sain (ce qui n’exempte pas en outre de radicalité), nul ne nous prendra au sérieux. Merci encore Florian pour ce salubre et salutaire article, il insuffle un peu d’espoir à ceux qui s’efforcent de rester honnêtes et lucides. La raison est peut-être ridicule pour les amateurs du complot, mais elle est au moins universelle et capable de faire communier tous les esprits dans une vérité attestée. […]


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    […] (aujourd’hui l’ennemi désigné n’est pas le Juif, mais l’extrême droite. Il y a même une forme de complotisme du régime à en faire le fomenteur de toute chose !), qui structure le politique de manière intrinsèque. Le libéralisme, en cherchant à échapper […]


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    […] il existe un parti pris partial et mensonger, dans les médias de l’Ouest (à sa façon, complotiste antirusse raisonnant comme un Soral anti-soralien : Patrick Sauce sur BFM avait osé l’expression « […]


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    […] juste de dire que les mauvaises nouvelles détériorent la santé, et qu’à cet effet, les fameux conspirationnistes de tout bord, tournant en rond et se faisant du mal, en tant que corps malade, dans une société elle même […]


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    […] Nouvelle mise au point anti-conspi’ tarés […]


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